Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Quemener_cathy
Suivre son activité
5,0
Publiée le 13 septembre 2021
A la fois film, documentaire, reportage. Original dans son montage. Très instructif. Une vraie quête. Le réalisateur est complètement investi dans l'objectif de protéger les forêts. A voir.
un film qui donne la patate,et donne de la force pour réaliser ses rêves quoi qu'il arrive ! Et si en plus vous aimez la nature et les forets tropicales, courrez le voir!
il y a urgence à écouter des voix comme celle de Francis Halle et retrouver notre relation avec la forêt. Le film de Luc Marescot est un très bel encouragement pour nous y mener.
Film présenté hier soir au cinéma Bonne Garde à Nantes en présence de Luc Marescot. Un film plein d'énergie positive , inclassable qui nous montre les dessous du cinéma et qui parle de la planète,des forêts et de la nature avec beaucoup de respect. On a envie d'y croire.
Par le prisme d'un film a créer on découvre la forêt équatoriale et sa mise en danger. Un moment délicieux réjouissant qui met en mouvement. Une superbe découverte. 2h de gagnées.
Un film suprenant, stimulant pour changer notre regard quant à une écologie bienveillante mais plus pugnace afin de nous réveiller sur l'urgence de l'état des forêts tropicales : le poumon vert de notre planète souffre, s'essoufle et nous avec insidieusement... Merci Luc Marescot et quel bel hommage à Francis Hallé, cet homme exceptionnel amoureux de la belle canopée. Allez soutenir Luc en allant voir son film et lui donner les moyens de réaliser "the botanist".
Un film captivant ! Surtout que nous venons de le voir en avant-première à Villefontaine suivi d'un débat avec le réalisateur Luc Marescot : un régal !! un Homme extraordinaire et organisé par l'Association New Hera Il y a de beaux interviews et de très belles images de la forêt tropicale. Ce film est l'emblème de la persévérance et de l'Espoir en un monde meilleur. je recommande vivement ce film
Ce récit personnel du combat de Luc Marescot est celui que chaque défenseur de l'environnement mène à sa façon. Une belle leçon d'espoir, très inspirante.
Vu en Avant première avec Luc Marescot. Un défenseur des arbres courageux et tenace qui nous fait découvrir deux mondes : celui des arbres et des forêts que nous devons protéger coûte que coûte, grâce notamment à un Francis Hallé botaniste doux rêveur et passionnant et de magnifiques images, et celui du monde du cinéma où un parcours du combattant démarre pour espérer un jour réaliser un thriller écologique où les émotions gagneront le cœur du public qui comprendra alors que protéger ces forêts est urgent et vital.
Un film pas comme les autres, qui se vit, avec du suspens, des rebondissements et des rencontres et un attachement certain à ce combat (presque) solitaire. Faisons bouger les choses !
Depuis son plus jeune âge, Luc Marescot est un amoureux de la nature : dès l’âge de 7 ans, il s’est passionné pour les films sur les icebergs que son père, pilote d’hélicoptère de Paul-Emile Victor, projetait dans le salon familial. Un tour du monde de 2 ans, réalisé avec 3 copains, lui a permis d’être repéré par Nicolas Hulot pour lequel il réalise 3 sujets sur cette expédition. Intégré dans l’équipe d’Ushuaïa en tant que caméraman, puis de réalisateur, il travaille également avec Haroun Tazieff, Jean-Louis Étienne et Théodore Monod. Toutefois, c’est sa rencontre, à Madagascar, il y a 20 ans, avec le botaniste Francis Hallé, spécialiste des forêts primaires et, particulièrement, de leur canopée, qui va s’avérer déterminante pour la suite de sa carrière. Il va alors tourner une douzaine de documentaires sur les forêts tropicales et finir par se convaincre que le meilleur moyen de toucher le grand public et de l’amener à se positionner en faveur de la protection de ces forêts contre une déforestation aveugle réside dans la réalisation d’un film de fiction sur ce sujet. Ce film s’appellerait « The botanist » et aurait Leonardo DiCaprio en tête d’affiche. En effet, lorsqu’on est réalisateur de documentaires pour la télévision et qu’on souhaite apporter sa contribution à la sauvegarde des forêts primaires, il n’est pas interdit d’être lucide et de prendre conscience qu’un grand film de fiction avec une approche écologique jouant sur l’émotion aura plus d’impacts sur les spectateurs que le meilleur des documentaires. Lorsque cette lucidité arrive à vous freiner dans votre élan en vous avertissant que vous n’êtes pas prêt, tant financièrement que techniquement, à entreprendre ce grand film de fiction, rien ne vous interdit d’avoir de l’imagination, une imagination qui vous pousserait vers la réalisation d’un film qui ne soit pas vraiment un documentaire sans pour autant être une fiction, un film qui vous mettrait en scène de façon savoureuse face à toutes les difficultés qu’il faudrait vaincre pour arriver au graal : la réalisation de ce fameux thriller écologique. Ce réalisateur de documentaires a un nom, Luc Marescot, et on souhaite la réussite de cette première entreprise en attendant, qui sait, la suivante : le grand film de fiction.