Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On retrouve l’ampleur de sa mise en scène qui transfigurait "Moonlight" (2016), à travers les mouvements de caméra parfois vertigineux de ce récit initiatique sur la parentalité toxique, la famille qu’on se crée, la trahison, la vengeance, le courage, l’entraide.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Un film d'animation à couper le souffle.
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Si Barry Jenkins prend plus de risque que son prédécesseur, en racontant une histoire inédite, il ne parvient pas à encapsuler ce qui fait de cette histoire un monument du cinéma jeunesse. Une aventure qui manque cruellement de cœur... et des musiques dignes de ce nom pour nous faire rêver.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Renaud Baronian
On apprécie également les séquences saisissantes de réalisme grâce à l’évolution des techniques d’images numériques 3D. C’est vrai pour les animaux et criant de vérité pour les environnements où ils évoluent. En revanche, l’anthropomorphisme cher à Disney en prend un sacré coup justement à cause de la perfection des images (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Olivier Lamm
Réalisé par l’oscarisé Barry Jenkins, le prequel, qui suit le lionceau anthropomorphique dans sa quête de légitimité royale, est étonnamment correct.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Une œuvre en phase avec son temps, donc, qui démontre la capacité qu’ont certains artistes à s’approprier des blockbusters / franchise de studios, sans dénaturer leur âme
Ouest France
par Anaïs Berno
Un divertissement qui n’aura aucun mal à réunir toute la famille pour une aventure qui n’arrive certes jamais à la cheville du chef-d’œuvre de 1994 mais qui rattrape le gros loupé de 2019.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télérama
par Cécile Mury
Un brin de subtilité au pays des fauves, sans jamais sacrifier au plaisir du spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Les enjeux politiques qu’évoque Jenkins – la monarchie, l’héritage du pouvoir et la méritocratie – sont à peine effleurés, écrasés par un récit simpliste.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Trente ans après Le Roi Lion, Mufasa raconte la jeunesse du père de Simba, héros du dessin animé au succès triomphal dont Disney a produit une version en images de synthèse photoréalistes en 2019. Reprenant la même technique, cette fable, spectaculaire mais trop prévisible, célèbre l’union face à la force.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un film spectaculaire, mais cadré, formaté.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Dans ce nouveau film Disney qui raconte les aventures du père du Roi lion, la technologie abolit la frontière entre réalité et fiction. Et c’est agaçant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le cinéaste semble assez peu intéressé par des personnages qu'il va se contenter de regarder cavaler sur des envolées symphoniques. Ainsi le nom d'un auteur respecté et oscarisé, vient-il s'imprimer, tel un label artistique bio, sur l'emballage d'un projet industriel.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Le Monde
par Murielle Joudet
En somme, Disney tient le cap sur sa stratégie pantouflarde : faire du neuf (et du très laid) avec du vieux et ainsi s’assurer un immense succès sans aucune prise de risque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Malgré une grande signature d’auteur (le Barry Jenkins de “Moonlight”), la suite du “Roi Lion” live de 2019 est une quête d’hyperréalisme animal inconciliable avec le conte et vouée à l’échec.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Journal du Dimanche
On retrouve l’ampleur de sa mise en scène qui transfigurait "Moonlight" (2016), à travers les mouvements de caméra parfois vertigineux de ce récit initiatique sur la parentalité toxique, la famille qu’on se crée, la trahison, la vengeance, le courage, l’entraide.
Public
Un film d'animation à couper le souffle.
Le Journal du Geek
Si Barry Jenkins prend plus de risque que son prédécesseur, en racontant une histoire inédite, il ne parvient pas à encapsuler ce qui fait de cette histoire un monument du cinéma jeunesse. Une aventure qui manque cruellement de cœur... et des musiques dignes de ce nom pour nous faire rêver.
Le Parisien
On apprécie également les séquences saisissantes de réalisme grâce à l’évolution des techniques d’images numériques 3D. C’est vrai pour les animaux et criant de vérité pour les environnements où ils évoluent. En revanche, l’anthropomorphisme cher à Disney en prend un sacré coup justement à cause de la perfection des images (...).
Libération
Réalisé par l’oscarisé Barry Jenkins, le prequel, qui suit le lionceau anthropomorphique dans sa quête de légitimité royale, est étonnamment correct.
Nice-Matin
Une œuvre en phase avec son temps, donc, qui démontre la capacité qu’ont certains artistes à s’approprier des blockbusters / franchise de studios, sans dénaturer leur âme
Ouest France
Un divertissement qui n’aura aucun mal à réunir toute la famille pour une aventure qui n’arrive certes jamais à la cheville du chef-d’œuvre de 1994 mais qui rattrape le gros loupé de 2019.
Télérama
Un brin de subtilité au pays des fauves, sans jamais sacrifier au plaisir du spectacle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les enjeux politiques qu’évoque Jenkins – la monarchie, l’héritage du pouvoir et la méritocratie – sont à peine effleurés, écrasés par un récit simpliste.
La Croix
Trente ans après Le Roi Lion, Mufasa raconte la jeunesse du père de Simba, héros du dessin animé au succès triomphal dont Disney a produit une version en images de synthèse photoréalistes en 2019. Reprenant la même technique, cette fable, spectaculaire mais trop prévisible, célèbre l’union face à la force.
Le Dauphiné Libéré
Un film spectaculaire, mais cadré, formaté.
Le Figaro
Dans ce nouveau film Disney qui raconte les aventures du père du Roi lion, la technologie abolit la frontière entre réalité et fiction. Et c’est agaçant.
Les Echos
Le cinéaste semble assez peu intéressé par des personnages qu'il va se contenter de regarder cavaler sur des envolées symphoniques. Ainsi le nom d'un auteur respecté et oscarisé, vient-il s'imprimer, tel un label artistique bio, sur l'emballage d'un projet industriel.
Le Monde
En somme, Disney tient le cap sur sa stratégie pantouflarde : faire du neuf (et du très laid) avec du vieux et ainsi s’assurer un immense succès sans aucune prise de risque.
Les Inrockuptibles
Malgré une grande signature d’auteur (le Barry Jenkins de “Moonlight”), la suite du “Roi Lion” live de 2019 est une quête d’hyperréalisme animal inconciliable avec le conte et vouée à l’échec.