Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’une des forces du film tient à la double reconstitution de scènes bibliques et de vie, dans des couleurs extrêmement fidèles aux toiles du Caravage [...].
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par François Forestier
Sa fin tragique éclaire son mythe : le film, malgré une mise en scène banale, est porté par cette histoire de feu, et la puissance de Caravage emporte tout.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Michele Placido rend compte de son génie, de sa folie et de sa décadence, et donne au peintre des airs de « rock star » christique, éprise de vérité et de fureur créatrice.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Eric Biétry-Rivierre
Placido livre là un biopic intelligent et respectueux. Car plutôt que de verser dans le banal film de cape et d’épée [...], il s’est surtout employé à rendre le côté mystique et écorché vif du personnage, peintre star de son époque avec les caprices et les audaces que cela comporte.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La rédaction
Michele Placido, réalisateur de « Romanzo Criminale », fait entrer dans la vie et la tête du Caravage, manieur de pinceau et d’épée, aussi bien les profanes que les spécialistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Jean-Loup Bourget
Un portrait éclaté de l’artiste, mais aussi de la société romaine et des débats esthétiques et théologiques de la Contre-Réforme dans le sillage récent du concile de Trente.
Télé Loisirs
par Éléonore Santoro
Riccardo Scamarcio, qui semble avoir le personnage dans la peau, porte les traits de ce peintre légendaire et subversif, avec une insolence déstabilisante.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit à vertu pédagogique qui analyse le processus créatif de façon démonstrative et captive par sa chasse à l’homme, en dépit d’une mise en scène qui manque parfois d’envergure.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
L’histoire qui nous est contée du Caravage participe, dans le film, à l’élaboration progressive d’une large fresque qui épouse les contours, le grain, les couleurs et les clairs-obscurs de l’œuvre du peintre. Mais qui, aussi, restitue la misère, la saleté, la violence et la beauté qui, parfois, surgissent au milieu du chaos. Malgré quelques postures théâtrales et certains traits esthétiques empesés, ce parti pris parvient à protéger le film de l’académisme fréquemment adopté en pareil exercice.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Ces dernières années du maître, malgré une belle effervescence, souffrent d’une narration confuse qui ne convainc pas tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Michele Placido mêle habilement le portrait d'un génie au travail à la peinture d'une Italie rétrograde du XVIème siècle pour un film au récit ombrageux et au casting solide.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un biopic honnête qui a le mérite de prendre ses distances avec la réalité historique pour proposer le portrait attachant d’un précurseur de la liberté artistique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Au final, le film n’échappe pas à un certain académisme, et malgré les efforts de Riccardo Scamarcio, peine à donner vie à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Malheureusement, Placido a épuisé son dispositif au bout d'une heure. Des séquences se répètent, le récit patine. « Caravage » ne se laisse plus voir que comme un bel ouvrage, avec cette photographie qui reproduit les contrastes violents du maître.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thierry Chèze
Cette obsession pédagogique enferme le film dans un classicisme et par ricochet une absence d’audace qui contredit au fond son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Le film se répète et s’enferme souvent dans des huis clos asphyxiants, sans parvenir à faire émerger des scènes saillantes. Le plus intéressant est lié au parcours d’un inquisiteur, surnommé l’Ombre, dépêché par l’Église pour enquêter sur les mœurs dissolues du peintre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Des dangers de la truculence : soucieux de ne pas soumettre à un traitement trop léché le subversif Caravage, qui déclarait « je cherche le réel », Michele Placido signe une cinecittàde débordante de crasse académique, de rousseur généralisée, et de Contre-Réforme hypostasiée.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’une des forces du film tient à la double reconstitution de scènes bibliques et de vie, dans des couleurs extrêmement fidèles aux toiles du Caravage [...].
L'Obs
Sa fin tragique éclaire son mythe : le film, malgré une mise en scène banale, est porté par cette histoire de feu, et la puissance de Caravage emporte tout.
Le Dauphiné Libéré
Michele Placido rend compte de son génie, de sa folie et de sa décadence, et donne au peintre des airs de « rock star » christique, éprise de vérité et de fureur créatrice.
Le Figaro
Placido livre là un biopic intelligent et respectueux. Car plutôt que de verser dans le banal film de cape et d’épée [...], il s’est surtout employé à rendre le côté mystique et écorché vif du personnage, peintre star de son époque avec les caprices et les audaces que cela comporte.
Le Parisien
Michele Placido, réalisateur de « Romanzo Criminale », fait entrer dans la vie et la tête du Caravage, manieur de pinceau et d’épée, aussi bien les profanes que les spécialistes.
Positif
Un portrait éclaté de l’artiste, mais aussi de la société romaine et des débats esthétiques et théologiques de la Contre-Réforme dans le sillage récent du concile de Trente.
Télé Loisirs
Riccardo Scamarcio, qui semble avoir le personnage dans la peau, porte les traits de ce peintre légendaire et subversif, avec une insolence déstabilisante.
Le Journal du Dimanche
Un récit à vertu pédagogique qui analyse le processus créatif de façon démonstrative et captive par sa chasse à l’homme, en dépit d’une mise en scène qui manque parfois d’envergure.
Le Monde
L’histoire qui nous est contée du Caravage participe, dans le film, à l’élaboration progressive d’une large fresque qui épouse les contours, le grain, les couleurs et les clairs-obscurs de l’œuvre du peintre. Mais qui, aussi, restitue la misère, la saleté, la violence et la beauté qui, parfois, surgissent au milieu du chaos. Malgré quelques postures théâtrales et certains traits esthétiques empesés, ce parti pris parvient à protéger le film de l’académisme fréquemment adopté en pareil exercice.
Les Fiches du Cinéma
Ces dernières années du maître, malgré une belle effervescence, souffrent d’une narration confuse qui ne convainc pas tout à fait.
Paris Match
Michele Placido mêle habilement le portrait d'un génie au travail à la peinture d'une Italie rétrograde du XVIème siècle pour un film au récit ombrageux et au casting solide.
aVoir-aLire.com
Un biopic honnête qui a le mérite de prendre ses distances avec la réalité historique pour proposer le portrait attachant d’un précurseur de la liberté artistique.
La Croix
Au final, le film n’échappe pas à un certain académisme, et malgré les efforts de Riccardo Scamarcio, peine à donner vie à ses personnages.
Les Echos
Malheureusement, Placido a épuisé son dispositif au bout d'une heure. Des séquences se répètent, le récit patine. « Caravage » ne se laisse plus voir que comme un bel ouvrage, avec cette photographie qui reproduit les contrastes violents du maître.
Première
Cette obsession pédagogique enferme le film dans un classicisme et par ricochet une absence d’audace qui contredit au fond son sujet.
Télérama
Le film se répète et s’enferme souvent dans des huis clos asphyxiants, sans parvenir à faire émerger des scènes saillantes. Le plus intéressant est lié au parcours d’un inquisiteur, surnommé l’Ombre, dépêché par l’Église pour enquêter sur les mœurs dissolues du peintre.
Cahiers du Cinéma
Des dangers de la truculence : soucieux de ne pas soumettre à un traitement trop léché le subversif Caravage, qui déclarait « je cherche le réel », Michele Placido signe une cinecittàde débordante de crasse académique, de rousseur généralisée, et de Contre-Réforme hypostasiée.