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    Cessez-le-feu
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 763 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 octobre 2020
    L'histoire, qui se déroule en 1923 concerne Georges Laffont (Romain Duris) un homme qui traumatisé par les horreurs de la Première Guerre mondiale a du mal à se réinsérer dans une société de gens qui ne pensent qu'à oublier et avoir des amusements. Pendant un temps il trouve refuge en Afrique où il mène une vie aventureuse avant que les circonstances ne le poussent à retourner dans sa maison familiale. Là il doit lutter pour prendre un nouveau départ tout en s'occupant de sa mère affligée (le deuil sans fin de Jean, l'un de ses trois fils, tué au combat) et de son frère Marcel également affaibli à cause de ses expériences de guerre. Une situation assez tendue en effet à peine apaisée par la relation que Georges développe avec Hélène une enseignante sensible en langue des signes. Certains blâmeront le Cessez-le-feu pour le temps mort qui ralentit parfois l'action. Il est vrai que des moments aussi lents existent. Mais après tout c'est plutôt un film méditatif qu'un film d'action endiablé. Emmanuel Courcol est un metteur en scène compétent privilégiant à juste titre les personnages ainsi que des acteurs haut de gamme interprétant une histoire qui fait réfléchir au milieu de l'excellente recréation du début des années 1920 et il y a des choses pires dans la vie, non...
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 034 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2018
    « L'impossible...le quasi impossible, c'est d'en revenir et de revivre ! » Un film èmouvant dans lequel Romain Duris incarne un officier français après la première guerre mondiale qui part en Afrique pour tourner la page! Ce qui est troublant quand on lit les tèmoignages de l'èpoque, c'est que les hommes qui revenaient de cette foutue guerre 14-18 n'ètaient pas du tout vu comme des hèros! Aucune compassion aucun soutien! On voulait les effacer, limite les oublier et ne pas les regarder parce que ça rappelait les annèes terribles de la Grande Guerre! spoiler: On comprend mieux pourquoi le personnage central du film retourne en Afrique! Et son frère, lui, reste en France! Deux frères donc, une mère, et une soignante qui va essayer de rèapprendre le langage des signes à un des frères moins fort en apparence qui a perdu la parole!
    C'est la guerre de 14, ces horreurs mais pas seulement des gueules cassèes! C'est plutôt celles des têtes et des coeurs cassès! Les acteurs sont remarquables, les personnages extrêmement forts, avec une mention pour Marcel, incarnè magistralement par Grègory Gadebois! il y a aussi de l'espoir dans ce film mais pas pour tout le monde car on n'est toujours seul face à sa souffrance...
    Caine78
    Caine78

    6 828 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2017
    Bon... Certes, il est toujours très honorable de réaliser un film sur le traumatisme des soldats revenus de la Première Guerre mondiale, tout comme des répercussions que celui-ci peut avoir sur leurs proches. D'ailleurs, il y a une vraie pudeur, un vrai regard sur les personnages qui n'a rien de fabriqué, l'interprétation d'ensemble étant de bonne facture, même si celle de Romain Duris n'est vraiment pas celle qui m'a le plus convaincu (ce qui est évidemment embêtant). Non, ce qui m'a gêné, c'est que je n'ai jamais très bien su où Emmanuel Courcol voulait en venir. Enfin, si, puisque je l'ai évoqué ci-dessus, mais au niveau du traitement, de l'approche, j'avoue être dubitatif. Il y a certes d'assez beaux personnages, discrets, « humains » (dont Marcel, excellent Grégory Gadebois), sans que je ne sois jamais réellement ému, touché par ces différents destins, faute peut-être de scènes vraiment marquantes spoiler: (si ce n'est celle du traumatisme des soldats que lance Georges à Hélène)
    ou d'une écriture appliquée mais un peu morne, l'ennui n'étant parfois pas loin. Que le cinéma français aborde l'Histoire avec recul et intelligence, c'est très bien. Dommage que j'aie été aussi moyennement sensible à son traitement : qui sait, peut-être le serez-vous plus.
    cylon86
    cylon86

    2 556 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2017
    Acteur dans divers films et séries (notamment dans "Le pharmacien de garde", "Welcome" ou encore "Ainsi soient-ils") et scénariste pour Philippe Lioret, Emmanuel Courcol passe à la réalisation sur le tard (à 59 ans) avec "Cessez-le-feu", drame sur le traumatisme vécu par les soldats après la première guerre mondiale, période relativement peu représentée dans le cinéma français.

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    Roub E.
    Roub E.

    993 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2018
    Un joli film sur l’impossibilité des soldats de la grande guerre à reprendre une place dans la société. Même si la patrie et l’ensemble de la population se dit reconnaissante m, elle ne veut pas voir ou revoir ses hommes si affaiblis dans leur chair et dans leurs esprits. De ce côté les soldats se rendent compte qu’ils ont souffert pour des idées qui n’étaient pas les leurs et une société qui les rejette, du coup grandi chez eux l’envie d’ailleurs et pourtant les blessures les suivront. Encore une fois on trouve un Romain Duris impeccable pour porter ce film au côté de Celine Salette qui prouve une nouvelle fois qu’elle peut quasiment tout jouer. C’est une réussite.
    Eselce
    Eselce

    1 427 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 janvier 2018
    Décors et ambiance soignés, on aperçoit brièvement l'enfer des tranchées de la Grande Guerre et les traumatismes qui s'en suivent pour les survivants. Idem concernant le commerce lié à la reconstruction. Récupérer le métal, s'occuper des corps. Les prestations sonnent justes, on appréciera particulièrement celle de Romain Duris.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 197 abonnés 5 218 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2017
    "Faire l'impossible", c'est arriver à revivre en oubliant la douleur du traumatisme.
    Le sujet évidemment fort est traité par l'horreur de la guerre et la compassion de l'entourage. Au final c'est bien Marcel le personnage central et l'histoire d'amour qui se développe autour de lui est assez décevante.
    Le récit est malgré tout intense et d'une émotion contenue.
    traversay1
    traversay1

    3 669 abonnés 4 886 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2017
    Acteur et surtout scénariste, notamment de plusieurs films de Philippe Lioret, Emmanuel Courcol passe à la réalisation sur le tard avec Cessez-le-feu. Dans ce film sur le stress traumatique de la première guerre mondiale, il prend beaucoup de temps (trop) pour installer ses personnages, en particulier celui de Romain Duris avec un épisode africain qui ne brille pas par sa concision. Cessez-le-feu est un film qu'il serait malséant de critiquer trop vertement mais qui n'offre cependant pas énormément de raisons de s'enflammer. De la bonne qualité française aurait-on dit à une certaine époque, très psychologique, avec quelques beaux paysages et des sentiments forts. Mais sans surprise tant du point de vue de son récit que de sa mise en scène. A signaler tout de même la grande interprétation de Grégory Gadebois, immense et pas seulement pour sa stature.
    moket
    moket

    543 abonnés 4 352 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2018
    Après un démarrage prometteur durant lequel on respire le poids du traumatisme des tranchées, et malgré d'excellents interprètes, le film devient un peu plan-plan. Son esthétique et sa réalisation font très "téléfilm". Dommage.
    Fabien S.
    Fabien S.

    565 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2020
    Un très bon film sur le trautisme de la première guerre mondiale avec Romain Duris. Un très beau drame.
    Hotinhere
    Hotinhere

    576 abonnés 5 020 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2021
    Un drame sensible sur les traumatismes psychologiques liés à la guerre mais qui manque un peu d'intensité en multipliant les récits, en dépit d'une belle distribution.
    ffred
    ffred

    1 735 abonnés 4 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 avril 2017
    La bande-annonce, vue par hasard, ne me disait trop rien. Mais le trio d’acteurs en tête d’affiche était plus qu’alléchant. J’ai bien fait de me pousser un peu. J’ai adoré. Voilà un premier film réalisé de façon on ne peut plus classique, voir académique. Mais quand c’est tellement bien fait, comme ici, ce n'est que du bonheur. Un bon vieux film à la française où tout est là. Une mise en scène discrète mais élégante et solide, un scénario parfaitement écrit, des personnages attachants bien dessinés, une direction d’acteur impeccable. Sans compter une très belle direction artistique, avec notamment les superbes images de Tom Stern, directeur de la photo (entre autres) de Clint Eastwood. Tous les acteurs sont...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 395 abonnés 4 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2017
    La Première Guerre Mondiale est terminée. Georges a connu l’horreur des tranchées et préfère se réfugier en Afrique et mener une vie hasardeuse. Il va pourtant revenir en France et devoir affronter les stigmates de la guerre, notamment son frère qui traumatisé, ne parle plus. Au travers du portrait de ces deux frères, Emmanuel Courcol dresse un tableau de l’après-guerre qui tente de se reconstruire. Bien plus que des histoires de sentiments, c’est toute la psychologie des personnages qui doit se rétablir. Tourné en partie à Nantes, Cessez-le-feu est une œuvre douloureuse comme il s’en fait peu. Le cinéma cherche sans cesse à montrer, ici il est question de développer l’état qui s’en suit.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 359 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mai 2017
    Film français… Pitch évoquant des intrigues de famille et d’amour… Reconstitution historique… Moi d’habitude, cette équation, elle me fait fuir… Mais bon, après (vagues) conseils d’amis, j’y suis allé. Et j’avoue que bien m’en a pris parce que j’ai aimé… Et je pense que j’ai aimé parce que – justement – toutes les habitudes que j’exècre généralement dans le cinéma français ne sont ici pas présentes dans ce film. Ce n’est pas verbeux. Ce n’est pas moraliste. Ce n’est pas linéaire. Ce n’est pas morne formellement… Bref, il y a du cinéma dans ce film, et surtout il y a du cœur, de la sobriété et de la subtilité. Moi j’aime bien ces films qui ne cherchent pas à me marteler une émotion ou une morale à coup du burin. Ce film, il m’a présenté des personnages à fleur de peau certes, mais des personnages qui s’efforcent modestement de reprendre une vie normale ; des personnages qui s’efforcent de retrouver une forme de paix ; des personnages qui cherchent pour eux le fameux « cessez-le-feu »… Or, pour moi, c’est clairement sur ce jeu délicat de la photographie, des cadres propres et sobres, du jeu tout en finesse de la plupart des acteurs que tout le mérite de ce film se joue… D’ailleurs, je ne connaissais pas particulièrement Céline Sallette, Maryvonne Schiltz, Julie-Marie Parmentier, ou bien encore Grégory Gadebois (magnifique) avant ce film, mais pour le coup, je les ai trouvé vraiment au diapason du ton général fixé par le film (…bon, à part Mathilde Courcol-Rozès – sûrement une pistonnée issue de la famille du réalisateur au vu de son nom – que j’ai trouvé vraiment gauche… Mais bon, on la voit que très peu donc ça ne pas dérangé plus que cela). Jamais aucun d’entre eux ne part dans des effusions émotives, et finalement, jamais aucun ne parle directement de la guerre. Ce qu’ils en disent, ils le disent au travers de ces fêlures qu’ils révèlent et qu’ils cherchent tous à résorber, chacun de leur façon… Tous, à une exception près. Et ce qui est dommage c’est que cette exception n’est pas des moindres puisqu’il s’agit du personnage de Romain Duris. C’est bête, mais pour le coup je ne le trouve pas trop dans le ton du film celui-là. Il est un peu trop maniéré dans son phrasé ; toujours à chercher l’effet chic et choc dans chacune de ses prises de parole. Certes, lui aussi il s’efforce d’être sobre, mais cela ne se traduit que par un visage figé qui, lié à sa diction surfaite, créé un effet faux dont j’ai eu du mal à me détacher. Et le pire, c’est que ça marche d’autant moins lors de ces moments où le film se risque à quelques petites pointes de fragilité apparente chez les personnages ( spoiler: notamment ce moment où le personnage de Duris, Georges, renvoie à la figure d’Hélène ce que fut pour lui la réalité de la guerre.
    ) Ces moments étaient pour moi indispensables, bien que très délicats à gérer étant donné le ton global très sobre du film. Et c’est là que selon moi, le film a échappé à quelque-chose de grand. A cause de Duris d’une part, qui n’a pas su trahir cette petite fragilité lors de ces moments là. Tout était trop contrôlé, trop joué, trop lisse. Ce n’était pas catastrophique certes, mais pour moi c’est clairement sur ce genre de détail qu’on parvient à capter un sentiment brut et subtil à la fois. Or, là, me concernant, ça n’a pas été le cas. Alors après, à sa décharge au pauvre Romain, je trouve que ce petit quelque-chose qui manque en termes d’élan se retrouve assez régulièrement dans le film. Dans la manière de gérer le récit par enchâssement par exemple. A plusieurs reprises, le film parvient à insérer de manière très pertinente des images du passé africain de Georges. La plupart du temps ce n’est pas brutal, c’est riche de sens, et c’est très signifiant sur l’état d’esprit du personnage au moment où cette insertion s’opère. Du coup, moi, ça m’a frustré que l’auteur ne joue pas davantage de cet outil là au début du film au lieu de nous faire toute une séquence bien longue en Afrique (Commencer directement avec le retour de Georges en France aurait été tellement meilleur à mes yeux, le personnage aurait encore plus mystérieux et les insertions auraient du coup être mieux réparties, plus entêtantes et plus signifiantes). De même, je suis frustré que sur la fin de l’histoire, pourtant très forte émotionnellement, le film spoiler: oublie ces images de l’Afrique au pouvoir narratif pourtant si fort
    . D’ailleurs, c’est tout bête, mais je trouve que ce léger petit pic de fragilité émotionnelle que ce film sait parfois apporter avec beaucoup de justesse ( spoiler: La mort de Marcel et son enterrement : pour moi c’était juste parfait en termes d’équilibre. Ni trop ni trop peu. Elan contenu mais élan quand même. Formidable.
    ) ; ce petit pic, le film aurait pu par contre bien mieux en jouer s’il avait eu à disposition une bande originale plus riche sur sa manière d’appuyer certaines scènes, ou plutôt certains « moments ». Autant parfois la musique est impeccable de sobriété. Autant, à d’autres « moments », il aurait été nécessaire que la musique face ce travail d’élan émotionnel. C’est bête, mais moi, quand je suis ressorti de ce film, j’avais beau être ému, je n’arrivais pas à m’en remémorer les bons moments sans les associer à une musique à la Max Richter. Ralalah, c’est quand même dommage tout ça ! Avec un autre acteur que Duris et un Max Richter à la B.O., ce film aurait vraiment pu être un trésor de subtilité et de justesse… Mais bon, après ça ne retire rien au fait que ce film, globalement, je l’ai trouvé, efficace, beau, et – oui – quand même juste dans son ensemble. Un beau travail au final ; d’autant plus appréciable au sein du cinéma français d’aujourd’hui. Donc oui, si l’occasion vous est donné de le voir et qu’il vous tente ce « Cessez-le-feu », je ne peux que vous conseiller de vous y risquer…
    Yves G.
    Yves G.

    1 505 abonnés 3 526 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2017
    La Grande Guerre - qu'on n'appelait pas encore la Première - a levé son lourd tribut sur les Laffont, une famille de notables provinciaux. Jean, le benjamin, est porté comme tant d'autres disparu. Marcel, le cadet, a perdu l'usage de la parole. Georges l'aîné est parti pendant quatre années en AOF, se livrer à la contrebande de main d’œuvre et d'objets d'art, pour oublier l'enfer de Verdun.
    Quand Georges rentre finalement en métropole en 1923, il peine à y retrouver sa place, entre sa mère écrasée par le chagrin, son frère muré dans le silence, et la belle professeure de signes de celui-ci.

    "Cessez-le feu" n'est pas un film sur la Première guerre mondiale, mais sur les traumatismes qu'elle a causés. Le sujet est souvent traité pour les guerres les plus récentes : la guerre du Vietnam ("The Deer Hunter"), la guerre du Liban ("Valse avec Bachir"), la guerre d'Irak ("Of Men and War", "Un jour dans la vie de Billy Lynn"). Il ne l'avait guère été pour la Première guerre mondiale parce que ses syndromes (PTSD en anglais : post traumatic stress disorder) ne seraient pas diagnostiqués avant la seconde moitié du siècle.

    Le mérite en revient au scénario original écrit par Emmanuel Courcol, qui signe à près de soixante ans un premier film tout en délicatesse après avoir longtemps travaillé avec Philippe Lioret ("Welcome", "L’Équipier", "Welcome"). On est dans le cinéma français dans ce qu'il a de meilleur, dans ce qu'il a aussi de plus conventionnel : une reconstitution historique fidèle (mention spéciale à la toute première scène, véritable plongée dans l'enfer des tranchées), une direction d'acteurs parfaite (on peine à distinguer qui de Romain Duris, de Céline Salette et de Grégory Gadebois est le meilleur), une mise en scène irréprochable.

    Ce cocktail réussi produit un film élégant qu'on regarde avec intérêt mais qui n'allume aucune étincelle. "Cessez-le-feu" est une mise en bouche avant la sortie de l'adaptation d'"Au revoir là haut", le prix Goncourt de Pierre Lemaître, annoncée pour le 25 octobre 2017.
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