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Hotinhere
570 abonnés
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2,5
Publiée le 24 mai 2021
Un drame sensible sur les traumatismes psychologiques liés à la guerre mais qui manque un peu d'intensité en multipliant les récits, en dépit d'une belle distribution.
un drame malheureusement platonique, lent et ennuyeux. bien que R. Duris porte le film, un scénario faiblard qui n'apporte pas l'intensité, notamment du vécu psychologique attendu de l'après guerre.
Un film réalisé par Emmanuel Courcol ayant pour thème le traumatisme de l'après guerre mondiale avec une introduction se passant dans les tranchées avec des bombes qui explosent de partout et des vies humaines en pertes. La suite, pendant une demi heure , se passe essentiellement en Afrique dans les années 20 avec un Français qui dirige un groupe de là-bas joué par Romain Duris , et la, j'ai eu un peu peur car je trouvais la mise en scène un peu palote mais la suite avec le retour en France avec un frère qui a perdu le sens de parler apprenant par une dame le language des signes . Je trouvais que l'histoire commençait la et la mise en scène devenait plus lumineuse, plus travaillé,peut ètre un problème de budget pour l'Afrique. La relation entre frères et l'histoire d'amour du personnage principal avec la dame qui apprend des signes au frangin devenaient interessantes. On en sort assez triste de ce long métrage traité sans manichéisme et de façon intelligente. Romain Duris est excellente tout comme Céline Salette mais la palme revient à Gregory Godebois remarquable et touchant dans la peau du muet Marcel. A découvrir.
un bon petit drame certes basique mais traité avec un bon sujet délicat. de belles images et de bons acteurs avec surtout les 2 frères irréprochables dans leu rôle ainsi que la professeur de langage des signes remarquable. un film assez lent avec quelques petites longueurs mais qui se laisse voir assez bien durant les 1h40 de visionnage. un bon petit moment de ciné pour passer un peu de son temps libre.
Romain Duris se perd dans ce film aussi tâchant qu'autre chose. Inintéressant de fond en comble, seuls les portraits troublants de l'après-guerre semblent avoir de l'intérêt au sein de ce film. Romain Duris n'a jamais été aussi ennuyeux que dans ce rôle où les premières minutes du film augurent un film qui sera bruyant, mais il n'en est rien de tout cela. Ca parle de banalités des plus totales dans ce film... Dommage
Décors et ambiance soignés, on aperçoit brièvement l'enfer des tranchées de la Grande Guerre et les traumatismes qui s'en suivent pour les survivants. Idem concernant le commerce lié à la reconstruction. Récupérer le métal, s'occuper des corps. Les prestations sonnent justes, on appréciera particulièrement celle de Romain Duris.
J'ai vu un film... avec l'ambition de raconter l'histoire des Hommes après le traumatisme de la Grande Guerre.... Et ce qu'on découvre est particulièrement touchant, troublant et émouvant... Romain Duris porte une forme de tristesse tout au long du film, et les intrigues sont particulièrement bien posées... L'Afrique apparaît comme un havre de paix, malgré une violence latente, mais sans commune mesure avec la boucherie qui s'est déroulée en Europe.... Après,, et c'est l'aspect un peu critique, j'ai trouvé la réalisation quelque peu "figée", un peu classique. Certaines séquences de combat ou en Afrique de de belles factures, maintenant, la dynamique n'était pas au rendez-vous... Dommage.
Le stress post-traumatique, conséquence de la guerre chez les soldats, est plus souvent un thème du cinéma américain que du cinéma français. Ce premier film de Courcol l'illustre avec l'histoire de deux frères qui ont réagi différemment. L'un s'enfuyant en Afrique pour tenter d'oublier, l'autre devenant sourd et muet et vivant avec sa mère. Si le rythme est un peu trop lent, le réalisateur et auteur a le mérite de s'atteler à raconter une histoire humaine poignante en souvenir de son grand père qui avait participé à la Grande Guerre de 14.
Un film qui vous prend à la gorge! Interprétation remarquable de Romain Duris et Céline Sallette ainsi que du reste du casting, une fresque romanesque sur le parcours d'un homme après le traumatisme de la guerre. L'image est magnifique et la partie tournée en Afrique, grandiose, donne du large au récit... Découvert en avant-première, j'en suis sorti bouleversée.
Un film assez bizarre qui évolue dans un faux rythme constant du début à la fin, et dont le scénario vivote tout le long, quasiment sans intrigue. Malgré un casting de qualité, on subit totalement ce récit sans saveur. Emmanuel Courcol nous a habitué à bien mieux.
Un film sur la résilience, sur l'incapacité d'oublier et l'impossible mémoire. C'est tout en nuance, tout en simplicité et en émotion. Romain Duris se révèle tout en délicatesse. Incontestablement un grand film.
Une histoire intéressante bien racontée, bien filmée et bien jouée. Et si on passe un bon moment, au bout du conte, il manque peut-être un supplément pour être "au delà" d'un bon film.
La vie après la première guerre mondiale pour deux frères l'un revenu après un long séjour en Afrique pour oublier l'autre devenue sourd muet et dont la folie à envelopper ces deux ancien poilus. Un beau drame avec un bon casting, une réalisation qui respecte l'époque.
Même s'il manque peut être un peu de profondeur, ce film aborde de façon intéressante cette période d'après guerre qui voudrait cacher et oublier ces 4 ans d'horreur et leurs conséquences. Fort bien interprété, les personnages, de façon différente, essaient d'échapper à ce passé qui les poursuit et les maltraite. Belle réalisation et mise en scène. Le long travelling des tranchées est un bijou....
La Première Guerre Mondiale est terminée. Georges a connu l’horreur des tranchées et préfère se réfugier en Afrique et mener une vie hasardeuse. Il va pourtant revenir en France et devoir affronter les stigmates de la guerre, notamment son frère qui traumatisé, ne parle plus. Au travers du portrait de ces deux frères, Emmanuel Courcol dresse un tableau de l’après-guerre qui tente de se reconstruire. Bien plus que des histoires de sentiments, c’est toute la psychologie des personnages qui doit se rétablir. Tourné en partie à Nantes, Cessez-le-feu est une œuvre douloureuse comme il s’en fait peu. Le cinéma cherche sans cesse à montrer, ici il est question de développer l’état qui s’en suit. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com