Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un beau film à l'ancienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans "Cessez-le-feu" d' Emmanuel Courcol. Grégory Gadebois apporte une puissance étonnante à un personnage de vétéran de la Première guerre mondiale devenu muet après les combats.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Drame interprété par des acteurs brillants, "Cessez-le-feu" a pour toile de fond une période peu traitée par le cinéma français, les années folles. Courcol propose une mise en scène élégante en quête d’authenticité.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un drame poignant sur le stress post-traumatique, servi par une belle distribution.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film de facture classique, qui traite son sujet – le retour de guerre – avec force et finesse à travers deux itinéraires contrastés, porté par les deux pulsions contraires de la mort et de la vie.
Le Figaro
par Nathalie Simon
A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Un grand premier film, servi par une interprétation remarquable.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film fort très bien interprété par Romain Duris, Grégory Gadebois et Céline Sallette.
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Un superbe premier film, qui donne vraiment envie de suivre Emmanuel Courcol à la trace.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Mejdaline Mhiri
Cette oeuvre secoue.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un regard tendre et cruel sur les traumatismes psychologiques liés à la guerre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Jo Fishley
Ce film des lendemains de guerre arpente le champ de l’intime, le champ de bataille psychologique sous le crâne quand le feu roulant des armes a cessé.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Christophe Carrière
Le scénario va là où il doit se rendre, proprement et sans bavures, sans jamais sortir de son chemin tout tracé - mais soigneusement tracé, c'est déjà ça.
L'Obs
par François Forestier
Pour sa première réalisation, l’acteur Emmanuel Courcol a puisé dans les souvenirs de son grand-père et dans les livres d’Amadou Hampâté Bâ au moment d’écrire le scénario. Mais le film manque curieusement de fièvre, reste appliqué. Tout est là, pourtant : une bonne histoire, des acteurs exceptionnels, une évocation intéressante. Manque l’étincelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
En dépit d’une scène traumatique vécue par Georges, "Cessez-le-feu" est une œuvre délicate sur l’impossibilité du retour. Sa réussite réside à la fois dans ce pas de côté africain, qui nimbe le récit d’une atmosphère singulière, et dans l’accord parfait des interprètes, tous remarquables.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Emmanuel Courcol ne pèche pas par manque d’ambition. Son souffle de cinéma s’affirme dans une cauchemardesque reconstitution de la guerre de tranchées, dans la partie africaine du récit mais s’amenuise un peu lorsque le récit aborde des rivages plus conventionnels, plus psychologiques.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette préoccupation pédagogique imprègne tout le film, au risque parfois de l’alourdir. Heureusement, la leçon d’histoire est aérée par un sens certain de l’espace.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
Formidablement interprété par le trio Duris-Sallette-Gadebois, "Cessez-le-feu", s’il ne brille pas par une audace folle, a le mérite de rendre un hommage sincère à ces sacrifiés de l’Histoire.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un film ambitieux mais qui se perd dans trop de récits.
Télérama
par Jacques Morice
Sur la culpabilité des survivants, sur les malaisantes réhabilitations des champs de bataille, le film fait mouche. Il pèche, en revanche, par le traumatisme appuyé du frère (...). Romain Duris, lui, continue de surprendre. Puissant et buté, il impose une présence fascinante à son personnage de revenant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un portrait de l'après-guerre beau et classique sur la réinsertion de ceux qui doivent se débrouiller avec la culpabilité d'avoir survécu.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Pour sa première réalisation, le scénariste (Welcome) raconte la brutalité psychologique et physique de la Première Guerre mondiale, le temps d’une reconstitution réaliste et élégante. Mais on peine à s’attacher à des personnages qui se livrent assez peu, et dont les destinées semblent se croiser de façon artificielle.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Malheureusement, un scénario par trop prévisible, certains clichés sur les colonies et une réalisation sans véritable parti pris donnent à "Cessez-le-feu" une esthétique de téléfilm, de qualité certes, mais qui manque de consistance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
C'est beau et rare, un premier film français avec autant d'ambitions formelles. (...) Hélas, après quarante minutes enlevées et intrigantes, le film est gagné par une certaine léthargie, une sur-écriture de chaque personnage qui rend le récit à la fois appuyé dans sa psychologie et peu crédible dans son déroulement.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Parisien
Un beau film à l'ancienne.
20 Minutes
Dans "Cessez-le-feu" d' Emmanuel Courcol. Grégory Gadebois apporte une puissance étonnante à un personnage de vétéran de la Première guerre mondiale devenu muet après les combats.
CNews
Drame interprété par des acteurs brillants, "Cessez-le-feu" a pour toile de fond une période peu traitée par le cinéma français, les années folles. Courcol propose une mise en scène élégante en quête d’authenticité.
Femme Actuelle
Un drame poignant sur le stress post-traumatique, servi par une belle distribution.
Le Dauphiné Libéré
Un film de facture classique, qui traite son sujet – le retour de guerre – avec force et finesse à travers deux itinéraires contrastés, porté par les deux pulsions contraires de la mort et de la vie.
Le Figaro
A voir.
Les Fiches du Cinéma
Un grand premier film, servi par une interprétation remarquable.
Ouest France
Un film fort très bien interprété par Romain Duris, Grégory Gadebois et Céline Sallette.
Rolling Stone
Un superbe premier film, qui donne vraiment envie de suivre Emmanuel Courcol à la trace.
Sud Ouest
Cette oeuvre secoue.
aVoir-aLire.com
Un regard tendre et cruel sur les traumatismes psychologiques liés à la guerre.
Bande à part
Ce film des lendemains de guerre arpente le champ de l’intime, le champ de bataille psychologique sous le crâne quand le feu roulant des armes a cessé.
L'Express
Le scénario va là où il doit se rendre, proprement et sans bavures, sans jamais sortir de son chemin tout tracé - mais soigneusement tracé, c'est déjà ça.
L'Obs
Pour sa première réalisation, l’acteur Emmanuel Courcol a puisé dans les souvenirs de son grand-père et dans les livres d’Amadou Hampâté Bâ au moment d’écrire le scénario. Mais le film manque curieusement de fièvre, reste appliqué. Tout est là, pourtant : une bonne histoire, des acteurs exceptionnels, une évocation intéressante. Manque l’étincelle.
La Croix
En dépit d’une scène traumatique vécue par Georges, "Cessez-le-feu" est une œuvre délicate sur l’impossibilité du retour. Sa réussite réside à la fois dans ce pas de côté africain, qui nimbe le récit d’une atmosphère singulière, et dans l’accord parfait des interprètes, tous remarquables.
La Voix du Nord
Emmanuel Courcol ne pèche pas par manque d’ambition. Son souffle de cinéma s’affirme dans une cauchemardesque reconstitution de la guerre de tranchées, dans la partie africaine du récit mais s’amenuise un peu lorsque le récit aborde des rivages plus conventionnels, plus psychologiques.
Le Monde
Cette préoccupation pédagogique imprègne tout le film, au risque parfois de l’alourdir. Heureusement, la leçon d’histoire est aérée par un sens certain de l’espace.
Première
Formidablement interprété par le trio Duris-Sallette-Gadebois, "Cessez-le-feu", s’il ne brille pas par une audace folle, a le mérite de rendre un hommage sincère à ces sacrifiés de l’Histoire.
Studio Ciné Live
Un film ambitieux mais qui se perd dans trop de récits.
Télérama
Sur la culpabilité des survivants, sur les malaisantes réhabilitations des champs de bataille, le film fait mouche. Il pèche, en revanche, par le traumatisme appuyé du frère (...). Romain Duris, lui, continue de surprendre. Puissant et buté, il impose une présence fascinante à son personnage de revenant.
Voici
Un portrait de l'après-guerre beau et classique sur la réinsertion de ceux qui doivent se débrouiller avec la culpabilité d'avoir survécu.
Le Journal du Dimanche
Pour sa première réalisation, le scénariste (Welcome) raconte la brutalité psychologique et physique de la Première Guerre mondiale, le temps d’une reconstitution réaliste et élégante. Mais on peine à s’attacher à des personnages qui se livrent assez peu, et dont les destinées semblent se croiser de façon artificielle.
Les Inrockuptibles
Malheureusement, un scénario par trop prévisible, certains clichés sur les colonies et une réalisation sans véritable parti pris donnent à "Cessez-le-feu" une esthétique de téléfilm, de qualité certes, mais qui manque de consistance.
Paris Match
C'est beau et rare, un premier film français avec autant d'ambitions formelles. (...) Hélas, après quarante minutes enlevées et intrigantes, le film est gagné par une certaine léthargie, une sur-écriture de chaque personnage qui rend le récit à la fois appuyé dans sa psychologie et peu crédible dans son déroulement.