Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
S’il n’est pas distinctement scindé en deux régimes de représentation comme l’était Bergman Island, ce nouveau film est également organisé en deux pôles. Au bouleversement amoureux s’oppose le deuil d’un père. Un homme arrive et l’autre s’en va.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Philomène Piégay
Avec son nouveau film très autobiographique, et porté par un casting éblouissant, la réalisatrice française touche en plein cœur, traitant avec force et simplicité un sujet difficile.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
20 Minutes
par Caroline Vié
Léa Seydoux et Pascal Greggory sont impeccables dans les rôles principaux d’un film qui n’est jamais plombant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jenny Ulrich
Un film élégant, à la fois douloureux et consolateur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Mia Hansen-Love signe un film juste, délicat et émouvant porté par la remarquable Léa Seydoux.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un film autobiographique poignant.
Elle
par Françoise Delbecq
L'un des plus beaux films de Mia Hansen-Løve.
Franceinfo Culture
par Anthony Jammot
Derrière son titre qui inspire un réveil joyeux face à un superbe lever de soleil, Un beau matin distille mélancolie et lumière pour nous faire aimer la vie au-delà de la peur de la perdre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un film lumineux.
L'Obs
par Sophie Grassin
De ce sujet autobiographique, Mia Hansen-Løve tire une sonate cristalline, délicate, un récit subtil qui ose laisser passer le temps. Seydoux excelle et Greggory, acteur génial, agrandit, dans un rôle impossible, son champ « greggorien ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Mia Hansen-Love capte avec simplicité et délicatesse un moment de la vie dans l’un de ses plus beaux films.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Ce que Mia Hansen-Løve fixe dans les nombreuses allées et venues de son héroïne (du petit appartement aux chambres d’hôpitaux, du rôle de mère à celui d’amoureuse, de la peur de perdre une personne au bonheur d’en rencontrer une autre), dans cette routine et son dénuement, c’est un visage saisi dans son élan, un portrait à fleur de peau, une vue imprenable sur un moment figé dans son mouvement.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Mia Hansen-Løve nous cueille littéralement en faisant se croiser deux récits d’une justesse infinie.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Cette histoire d’amour, de vie et de mort, avec Pascal Greggory et Léa Seydoux, est plein d’une délicatesse et sensibilité formidables.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
De l’infinie tristesse à la plus éclatante lumière, il n’y a qu’un pas. Mia Hansen-Love capte ce mouvement mystérieux avec une délicatesse bouleversante et une troupe d’acteurs magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Ce film sensible confirme le talent de la cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Laura Tuillier
C’est le charme poignant des plus beaux films de Mia Hansen-Løve qui opère ici, faisant de son héroïne une éternelle adolescente, sac sur le dos et larmes aux yeux, pleine de chagrin mais gardant espoir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Comme à ses plus belles heures, la cinéaste, avec une pudeur farouche qui impose ses lois au cœur de chaque scène, filme son héroïne, son père et Clément en prohibant le pathos et en privilégiant la suggestion et le chuchotement. Un choix qui donne tout son prix à cette fiction précieuse.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Cheze
La cinéaste sublime le quotidien le plus banal pour emmener son récit vers un romanesque poétique et enveloppant.
Paris Match
par Yannick Vely
POUR - Ce qui impressionne et nous touche tant dans «Un Beau matin», c'est la finesse et l'intelligence de l'écriture, la dentelle des sentiments, la qualité et la précision, aussi, de la direction d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Film mélancolique et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Rien que pour nous épargner toutes les fadaises en cours sur le "patriarcat" et ses violences, Un beau matin mérite d'être vu. Il ne s'agit de rien d'autre que des choses de la vie comme titrait Sautet.
Télérama
par Marie Sauvion
D’une beauté désarmante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre deuil et renaissance, Mia Hansen-Løve sublime la banalité de la vie avec un tact et une douceur qui touchent droit au cœur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Hansen-Løve approche la mort de façon oblique mais sûre : par une succession de fragilités irréversibles que la lumière des saisons et la pudeur de la litote protègent de la morbidité, à rebours de l’obscurité du caveau.
Le Figaro
par É. N.
À son habitude, la réalisatrice, dont la sincérité n'est pas en cause, signe un film atone, plat, transparent. Rien de nouveau.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le sujet, a priori écrasant, appelait une gravité de traitement à laquelle Mia Hansen-Løve ne cède jamais, livrant au contraire un film solaire (baignant dans la splendide photographie de Denis Lenoir), enlevé, limpide, ne faisant droit à la tristesse que discrètement, en la laissant refluer quand on l’attend le moins.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Léa Seydoux n’a jamais semblé aussi fragile et battante à la fois, dans un rôle à l’opposé de celui qu’elle a tenu dans les deux derniers James Bond. Plus ordinaire, très attachante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Mia Hansen-Løve esquisse un joli portrait de femme (excellente Léa Seydoux) à la croisée des chemins, mais se fige le plus souvent dans son décorum bourgeois et sa délicatesse maniérée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yann Tobin
Mia Hansen-Løve poursuit de film en film une « petite musique » personnelle, parfois ténue mais volontiers troublante, surtout quand elle est galvanisée par la collaboration d’acteurs grandioses comme Pascal Greggory et Nicole Garcia.
Première
par Thierry Chèze
Un beau matin évolue donc en permanence entre l’angoisse de la fin de la vie et la possibilité joyeuse d’un nouvel amour au chemin cependant tortueux. Sa délicatesse d’écriture y fait une fois encore merveille dans un récit souvent poignant mais non dépourvu d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
La retenue qui guide la mise en scène témoigne aussi d'un refus radical de laisser la saleté s’infiltrer dans le cadre feutré de ce film élégant et propret, peuplé de jolies vues et de jolies choses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Paris Match
par Fabrice Leclerc
CONTRE - Une petite musique talentueusement mise en images mais qui manque parfois de chair et d’enjeu pour embarquer le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Les Inrockuptibles
S’il n’est pas distinctement scindé en deux régimes de représentation comme l’était Bergman Island, ce nouveau film est également organisé en deux pôles. Au bouleversement amoureux s’oppose le deuil d’un père. Un homme arrive et l’autre s’en va.
Marie Claire
Avec son nouveau film très autobiographique, et porté par un casting éblouissant, la réalisatrice française touche en plein cœur, traitant avec force et simplicité un sujet difficile.
20 Minutes
Léa Seydoux et Pascal Greggory sont impeccables dans les rôles principaux d’un film qui n’est jamais plombant.
Bande à part
Un film élégant, à la fois douloureux et consolateur.
CNews
Mia Hansen-Love signe un film juste, délicat et émouvant porté par la remarquable Léa Seydoux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film autobiographique poignant.
Elle
L'un des plus beaux films de Mia Hansen-Løve.
Franceinfo Culture
Derrière son titre qui inspire un réveil joyeux face à un superbe lever de soleil, Un beau matin distille mélancolie et lumière pour nous faire aimer la vie au-delà de la peur de la perdre.
L'Humanité
Un film lumineux.
L'Obs
De ce sujet autobiographique, Mia Hansen-Løve tire une sonate cristalline, délicate, un récit subtil qui ose laisser passer le temps. Seydoux excelle et Greggory, acteur génial, agrandit, dans un rôle impossible, son champ « greggorien ».
La Croix
Mia Hansen-Love capte avec simplicité et délicatesse un moment de la vie dans l’un de ses plus beaux films.
La Septième Obsession
Ce que Mia Hansen-Løve fixe dans les nombreuses allées et venues de son héroïne (du petit appartement aux chambres d’hôpitaux, du rôle de mère à celui d’amoureuse, de la peur de perdre une personne au bonheur d’en rencontrer une autre), dans cette routine et son dénuement, c’est un visage saisi dans son élan, un portrait à fleur de peau, une vue imprenable sur un moment figé dans son mouvement.
La Voix du Nord
Mia Hansen-Løve nous cueille littéralement en faisant se croiser deux récits d’une justesse infinie.
Le Dauphiné Libéré
Cette histoire d’amour, de vie et de mort, avec Pascal Greggory et Léa Seydoux, est plein d’une délicatesse et sensibilité formidables.
Le Journal du Dimanche
De l’infinie tristesse à la plus éclatante lumière, il n’y a qu’un pas. Mia Hansen-Love capte ce mouvement mystérieux avec une délicatesse bouleversante et une troupe d’acteurs magnifiques.
Les Echos
Ce film sensible confirme le talent de la cinéaste.
Libération
C’est le charme poignant des plus beaux films de Mia Hansen-Løve qui opère ici, faisant de son héroïne une éternelle adolescente, sac sur le dos et larmes aux yeux, pleine de chagrin mais gardant espoir.
Marianne
Comme à ses plus belles heures, la cinéaste, avec une pudeur farouche qui impose ses lois au cœur de chaque scène, filme son héroïne, son père et Clément en prohibant le pathos et en privilégiant la suggestion et le chuchotement. Un choix qui donne tout son prix à cette fiction précieuse.
Ouest France
La cinéaste sublime le quotidien le plus banal pour emmener son récit vers un romanesque poétique et enveloppant.
Paris Match
POUR - Ce qui impressionne et nous touche tant dans «Un Beau matin», c'est la finesse et l'intelligence de l'écriture, la dentelle des sentiments, la qualité et la précision, aussi, de la direction d'acteurs.
Sud Ouest
Film mélancolique et lumineux.
Transfuge
Rien que pour nous épargner toutes les fadaises en cours sur le "patriarcat" et ses violences, Un beau matin mérite d'être vu. Il ne s'agit de rien d'autre que des choses de la vie comme titrait Sautet.
Télérama
D’une beauté désarmante.
aVoir-aLire.com
Entre deuil et renaissance, Mia Hansen-Løve sublime la banalité de la vie avec un tact et une douceur qui touchent droit au cœur.
Cahiers du Cinéma
Hansen-Løve approche la mort de façon oblique mais sûre : par une succession de fragilités irréversibles que la lumière des saisons et la pudeur de la litote protègent de la morbidité, à rebours de l’obscurité du caveau.
Le Figaro
À son habitude, la réalisatrice, dont la sincérité n'est pas en cause, signe un film atone, plat, transparent. Rien de nouveau.
Le Monde
Le sujet, a priori écrasant, appelait une gravité de traitement à laquelle Mia Hansen-Løve ne cède jamais, livrant au contraire un film solaire (baignant dans la splendide photographie de Denis Lenoir), enlevé, limpide, ne faisant droit à la tristesse que discrètement, en la laissant refluer quand on l’attend le moins.
Le Parisien
Léa Seydoux n’a jamais semblé aussi fragile et battante à la fois, dans un rôle à l’opposé de celui qu’elle a tenu dans les deux derniers James Bond. Plus ordinaire, très attachante.
Les Fiches du Cinéma
Mia Hansen-Løve esquisse un joli portrait de femme (excellente Léa Seydoux) à la croisée des chemins, mais se fige le plus souvent dans son décorum bourgeois et sa délicatesse maniérée.
Positif
Mia Hansen-Løve poursuit de film en film une « petite musique » personnelle, parfois ténue mais volontiers troublante, surtout quand elle est galvanisée par la collaboration d’acteurs grandioses comme Pascal Greggory et Nicole Garcia.
Première
Un beau matin évolue donc en permanence entre l’angoisse de la fin de la vie et la possibilité joyeuse d’un nouvel amour au chemin cependant tortueux. Sa délicatesse d’écriture y fait une fois encore merveille dans un récit souvent poignant mais non dépourvu d’humour.
Critikat.com
La retenue qui guide la mise en scène témoigne aussi d'un refus radical de laisser la saleté s’infiltrer dans le cadre feutré de ce film élégant et propret, peuplé de jolies vues et de jolies choses.
Paris Match
CONTRE - Une petite musique talentueusement mise en images mais qui manque parfois de chair et d’enjeu pour embarquer le spectateur.