Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Du passage de l'écrit au cinéma (...) à celui de l'ombre et de la lumière ou de la dictature à la démocratie (...), La Plage noire est travaillée de bout en bout par l'idée de ce qui reste, ce qui perdure à travers un changement d'état.
L'Express
par Thierry Gandillot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Ce film-là ne ressemble à rien de prévisible. Chorégraphie épurée de corps lourds d'hommes auxquels l'âge vient, de mots dont le sens s'est dissous, de gestes rendus à une animalité de survie, il dynamite lentement de l'intérieur les règles de l'illustration romanesque, sans donner le moindre gage à l'esthétique d'une modernité codifiée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Olivier De Bruyn
Second film de Michel Picoli comme réalisareut (...), LPlage noire ne ressemble à rien de connu, ce qui en soi, est une bonne nouvelle. (...) une curiosité inégale mais troublante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Les comédiens, de Jerzy Radziwilowicz à Dominique Blanc, en passant par la toute jeune Jade Fortineau, déambulent avec une superbe conviction sur cette "plage noire" où s'affirme la patte d'un metteur en scène plein d'avenir...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Le film, dépouillé de tout sentimentalisme, observe cette progression sur son héros, mais jamais ne cherche à nous le rendre plus familier. C'est sans doute la beauté de La Plage noire, mais aussi ce qui le prive d'une certaine intériorité, et le rend aussi formaliste (et donc assez ennuyeux).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Jean-Max Méjean
Picolli confond tellement rêve et réalité que le pauvre spectateur s'y perd deux heures durant (...). (...)on dirait qu'il rend hommage à tous les metteurs en scène avec lesquels il a travaillé, et même ceux avec qui il n'a pas encore collaboré (...).
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
La Plage Noire est de ces films dont on dit qu'ils se méritent. Il faut être attentif à ce qui se donne ici, car une brillante intelligence conduit une mise en scène recherchée.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Alain Grasset, Alain Morel, Pierre Vavasseur
(...) ce film compte quelques déroutantes plages de mystère et d'autres de poésie brute. Deux ingrédients que l'acteur-cinéaste (...) marie avec une nonchalance grave et pensive. Son film-éclipse plaira aux contemplatifs acharnés et agacera prodigieusement les amateurs de clarté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge kaganski
Ce que réussit Piccoli c'est l'atmosphère fantomatique et paranoïaque (...). En revanche, le film devient ennuyeux lorsqu'il se fait trop politiquement explicite, déclame des dialogues lourds de sens, façon tragédie shakespearienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Cruel par sa lumière, sec côté récit, onirique, fuyant le réalisme comme la peste (noire), dérivant vers l'allégorie (la plage comme zone mentale), la Plage noire peine cependant à fonctionner.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pelisson
Les présences féminines apportent douceur et chaleur, mais ne suffisent pas à combler la distance qui s'installe entre le film et le spectateur. L'intention et le propos de Piccoli sont absolument louables, mais LA PLAGE NOIRE reste un film froid qui peine à toucher son public.
TéléCinéObs
par G.L
Un drame kafkaïen, donc, l'humour en moins et l'arrière-plan politique en plus, marque le deuxième passage derrière la caméra de Michel Piccoli...
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
Le film ne sait jamais vraiment doser sa part littéraire : soit trop, soit pas assez. Toujours ce quelque chose qui surplombe le récit de son intelligence supposée. Car, dans La plage noire, tout le monde joue et prend la pose, comme dans les plus mauvaises fictions symbolico-politiques.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Claire Vassé
La Plage noire est une fable politique parfois ennuyeuse, mais dont la poésie, audacieuse et profondément humaine, allie maturité et parfum d'enfance.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Aden
par Philippe Piazzo
La beauté froide des plans devient vite synonyme d'obscurité. De métaphorique, le film devient abscons. Les acteurs ont beau vibrer, on est vite perdu sur cette plage dont la beauté n'émeut guère.
Cahiers du Cinéma
Du passage de l'écrit au cinéma (...) à celui de l'ombre et de la lumière ou de la dictature à la démocratie (...), La Plage noire est travaillée de bout en bout par l'idée de ce qui reste, ce qui perdure à travers un changement d'état.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Ce film-là ne ressemble à rien de prévisible. Chorégraphie épurée de corps lourds d'hommes auxquels l'âge vient, de mots dont le sens s'est dissous, de gestes rendus à une animalité de survie, il dynamite lentement de l'intérieur les règles de l'illustration romanesque, sans donner le moindre gage à l'esthétique d'une modernité codifiée.
Première
Second film de Michel Picoli comme réalisareut (...), LPlage noire ne ressemble à rien de connu, ce qui en soi, est une bonne nouvelle. (...) une curiosité inégale mais troublante.
Télérama
Les comédiens, de Jerzy Radziwilowicz à Dominique Blanc, en passant par la toute jeune Jade Fortineau, déambulent avec une superbe conviction sur cette "plage noire" où s'affirme la patte d'un metteur en scène plein d'avenir...
Chronic'art.com
Le film, dépouillé de tout sentimentalisme, observe cette progression sur son héros, mais jamais ne cherche à nous le rendre plus familier. C'est sans doute la beauté de La Plage noire, mais aussi ce qui le prive d'une certaine intériorité, et le rend aussi formaliste (et donc assez ennuyeux).
Cine Libre
Picolli confond tellement rêve et réalité que le pauvre spectateur s'y perd deux heures durant (...). (...)on dirait qu'il rend hommage à tous les metteurs en scène avec lesquels il a travaillé, et même ceux avec qui il n'a pas encore collaboré (...).
Fluctuat.net
La Plage Noire est de ces films dont on dit qu'ils se méritent. Il faut être attentif à ce qui se donne ici, car une brillante intelligence conduit une mise en scène recherchée.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
(...) ce film compte quelques déroutantes plages de mystère et d'autres de poésie brute. Deux ingrédients que l'acteur-cinéaste (...) marie avec une nonchalance grave et pensive. Son film-éclipse plaira aux contemplatifs acharnés et agacera prodigieusement les amateurs de clarté.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Ce que réussit Piccoli c'est l'atmosphère fantomatique et paranoïaque (...). En revanche, le film devient ennuyeux lorsqu'il se fait trop politiquement explicite, déclame des dialogues lourds de sens, façon tragédie shakespearienne.
Libération
Cruel par sa lumière, sec côté récit, onirique, fuyant le réalisme comme la peste (noire), dérivant vers l'allégorie (la plage comme zone mentale), la Plage noire peine cependant à fonctionner.
MCinéma.com
Les présences féminines apportent douceur et chaleur, mais ne suffisent pas à combler la distance qui s'installe entre le film et le spectateur. L'intention et le propos de Piccoli sont absolument louables, mais LA PLAGE NOIRE reste un film froid qui peine à toucher son public.
TéléCinéObs
Un drame kafkaïen, donc, l'humour en moins et l'arrière-plan politique en plus, marque le deuxième passage derrière la caméra de Michel Piccoli...
Urbuz
Le film ne sait jamais vraiment doser sa part littéraire : soit trop, soit pas assez. Toujours ce quelque chose qui surplombe le récit de son intelligence supposée. Car, dans La plage noire, tout le monde joue et prend la pose, comme dans les plus mauvaises fictions symbolico-politiques.
Zurban
La Plage noire est une fable politique parfois ennuyeuse, mais dont la poésie, audacieuse et profondément humaine, allie maturité et parfum d'enfance.
Aden
La beauté froide des plans devient vite synonyme d'obscurité. De métaphorique, le film devient abscons. Les acteurs ont beau vibrer, on est vite perdu sur cette plage dont la beauté n'émeut guère.