Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Bande à part
par Nadia Meflah
Rarement un film algérien aura-t-il autant embrassé les nœuds de l’histoire, tant intime que politique, au cœur d’une fresque majestueuse, où la douleur relève de la beauté. D’une ampleur romanesque inouïe, où l’éclat du classicisme côtoie, parfois dans la même scène, le même plan, la modernité la plus aiguisée, La Dernière Reine d’Adila Bendimerad et Damien Ounouri est surtout une œuvre en résonance profonde avec ce qui se joue actuellement en Algérie, mais aussi pour tout un chacun, travaillé par la question de l’engagement.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ouest France
par Thierry Cheze
Une vraie curiosité.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Entre légende et réalité, la question de l'existence de Zaphira n'est pas tranchée. En attendant, une version d'elle trône superbement devant la caméra de Damien Ounouri et d'Adila Bendimerad. Et cela vaut un détour par les salles obscures.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un récit aux décors et aux costumes soignés qui brille par sa beauté formelle. Un geste politique aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Une fresque épique qui, malgré son manque de moyens, mêle adroitement Histoire et légende.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Cécile Mury
Ce portrait de femme, qui se découvre un destin politique en même temps qu’elle se rebelle contre la domination masculine, est le cœur palpitant de ce film inclassable, qui tient autant de la tragédie orientalo-shakespearienne que du (très bon) divertissement de cape et d’épée — ou plutôt de voiles et de poignard.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Eric Françonnet
Une merveille portée par deux cinéastes qui ont cru à juste raison et avec un grain de folie à leur projet : l’histoire d’une femme, celle de la reine Zaphira, qui va s’affirmer dans une époque où le pouvoir est à priori l’apanage des hommes. Cette fresque ouvre une brèche totalement inédite dans le cinéma algérien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
[...] La Dernière Reine, « reconquête » à sa manière, offre sa réponse, d’une calme insolence, à ceux qui voudraient nier l’existence d’une nation algérienne avant la colonisation.
L'Obs
par F. F.
Premier long-métrage de Damien Ounouri, coproduit et coréalisé par l’actrice Adila Bendimerad, voici une jolie réussite romanesque, tournée en somptueux décors naturels.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par V. Cau.
Sans en dire davantage, soulignons que le film expose face aux hommes quelques belles et courageuses figures féminines dont le mérite se mesure à l’aune du champ restreint qui leur est assigné.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Activant avec force tous les leviers du gros divertissement, l’épopée d’Adila Bendimerad entend rendre leur place aux femmes en magnifiant une monarque légendaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Un geste pour réinscrire les femmes dans le roman national et inciter les Algériennes d’aujourd’hui à résister face des menaces similaires : les faire taire, les invisibiliser. Interprété avec fougue (Dali Benssalah et Nadia Teresezkiewicz, irrésistibles), un défi relevé haut la main.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Rarement un film algérien aura-t-il autant embrassé les nœuds de l’histoire, tant intime que politique, au cœur d’une fresque majestueuse, où la douleur relève de la beauté. D’une ampleur romanesque inouïe, où l’éclat du classicisme côtoie, parfois dans la même scène, le même plan, la modernité la plus aiguisée, La Dernière Reine d’Adila Bendimerad et Damien Ounouri est surtout une œuvre en résonance profonde avec ce qui se joue actuellement en Algérie, mais aussi pour tout un chacun, travaillé par la question de l’engagement.
Ouest France
Une vraie curiosité.
Franceinfo Culture
Entre légende et réalité, la question de l'existence de Zaphira n'est pas tranchée. En attendant, une version d'elle trône superbement devant la caméra de Damien Ounouri et d'Adila Bendimerad. Et cela vaut un détour par les salles obscures.
Le Journal du Dimanche
Un récit aux décors et aux costumes soignés qui brille par sa beauté formelle. Un geste politique aussi.
Les Fiches du Cinéma
Une fresque épique qui, malgré son manque de moyens, mêle adroitement Histoire et légende.
Télérama
Ce portrait de femme, qui se découvre un destin politique en même temps qu’elle se rebelle contre la domination masculine, est le cœur palpitant de ce film inclassable, qui tient autant de la tragédie orientalo-shakespearienne que du (très bon) divertissement de cape et d’épée — ou plutôt de voiles et de poignard.
aVoir-aLire.com
Une merveille portée par deux cinéastes qui ont cru à juste raison et avec un grain de folie à leur projet : l’histoire d’une femme, celle de la reine Zaphira, qui va s’affirmer dans une époque où le pouvoir est à priori l’apanage des hommes. Cette fresque ouvre une brèche totalement inédite dans le cinéma algérien.
Cahiers du Cinéma
[...] La Dernière Reine, « reconquête » à sa manière, offre sa réponse, d’une calme insolence, à ceux qui voudraient nier l’existence d’une nation algérienne avant la colonisation.
L'Obs
Premier long-métrage de Damien Ounouri, coproduit et coréalisé par l’actrice Adila Bendimerad, voici une jolie réussite romanesque, tournée en somptueux décors naturels.
Le Monde
Sans en dire davantage, soulignons que le film expose face aux hommes quelques belles et courageuses figures féminines dont le mérite se mesure à l’aune du champ restreint qui leur est assigné.
Libération
Activant avec force tous les leviers du gros divertissement, l’épopée d’Adila Bendimerad entend rendre leur place aux femmes en magnifiant une monarque légendaire.
Première
Un geste pour réinscrire les femmes dans le roman national et inciter les Algériennes d’aujourd’hui à résister face des menaces similaires : les faire taire, les invisibiliser. Interprété avec fougue (Dali Benssalah et Nadia Teresezkiewicz, irrésistibles), un défi relevé haut la main.