Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Puisant dans les codes du film noir, Bowling Saturne s’en distancie à bien des égards. Parmi les choix cruciaux de Patricia Mazuy, il y a celui de laisser exister le silence plutôt que de se reposer sur la musique pour entretenir une tension dramatique. Car son film est moins tendu vers des enjeux de surface que vers ce gouffre opaque que constitue la violence, au bord duquel elle se maintient sans jamais tomber dans la complaisance.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
La volonté de "Bowling Saturne", œuvre d'une force inouïe, ne semble pas tant de cogner déraisonnablement sur son spectateur que de délivrer une étude frontale, sans la moindre concession, traitant de la prédation sous toutes ses formes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un sens tout simplement absolu de la mise en scène et du tragique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par La rédaction
Un diamant noir et perturbant comme on en voit trop peu dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Sophie Grassin
Avec une grande dextérité, la réalisatrice de « Peaux de vaches » utilise les codes du film noir pour interroger l’héritage, la prédation sous toutes ses formes, le passage à l’acte et la toxicité masculine dans un monde comme fracassé par un patriarcat institué.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
BOWLING SATURNE impressionne par son étrangeté habile et féroce. Dans ce film noir, rouge vif, captant intelligemment toute la dureté ambiante contemporaine, Mazuy filme des êtres bloqués, empêchés, comme prisonniers d’une vie interminable et sans issue.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Ce polar féministe brille avant tout par sa mise en scène épurée et l’impact durable qu’il a sur les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
La cinéaste s’aventure dans le domaine du thriller noir et embarque dans un genre de cinéma tragique et sombre dont le spectateur ne sort pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Par des changements d’axe d’une justesse inouïe, un ballet des corps d’une haute précision, un montage sec, la mise en scène examine sans complaisance de quelle obscure tectonique est fait l’acte sexuel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
À la fois sauvage et cérébral, le film, tour à tour observe ou bondit, impose la distance ou saisit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Ce qui est beau ici, c’est cette manière très américaine de saisir à pleine main, sans ombre, les codes du genre : violence immémoriale des hommes, poids du passé, fratrie ennemie, hérédité, masculinité malade, racine du mal (filmée littéralement sur la tombe du père), tragédie baignée de lumière rouge – clin d’œil à Party Girl de Nicholas Ray.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Bowling Saturne, sous ses airs stylisés de série B en agglo normande, ou de slasher à la française, parle de l’héritage de la violence, de cette sauvagerie paternelle, patriarcale, contagieuse, cette absence d’amour, ce manque, qui se transmet, par générations, aux fils, au détriment des femmes – et au prix de leur vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Il y a quelque chose de biblique dans cette affaire où le destin écrase les hommes et où les meurtres sont comme des rituels sacrificiels.
Télérama
par Jérémie Couston
Un film à la fois manichéen et impressionnant par sa mise en scène, par Patricia Mazuy, la réalisatrice de Saint-Cyr.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une variation sur l'origine de la violence d'une implacable noirceur.
Télé Loisirs
par S.O.
Oppressant, parfois sordide, Bowling Saturne glace le sang par sa mise en scène d'une rigueur remarquable, mais qui peut dérouter même les plus avertis.
Critikat.com
par Josué Morel
Si Mazuy sonde l’abîme, en s’approchant au plus près du précipice, le film manque paradoxalement de zones d’ombre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Eithne O’Neill
Malheureusement, nous avons été échaudée par la tonalité monocorde de ce film.
Première
par Thierry Chèze
Cette réflexion autour de la masculinité toxique faisant fi de tout naturalisme aurait gagné à être resserrée et dépouillée de quelques symboles et archétypes sur- signifiants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Tout s’annonçait passionnant : le lieu – un bowling – deux frères, des gens, des ambiances, et surtout Patricia Mazuy. [...] Sauf que très vite, on bascule dans un catalogage des grandes causes surfaites de l’époque.
Cahiers du Cinéma
Puisant dans les codes du film noir, Bowling Saturne s’en distancie à bien des égards. Parmi les choix cruciaux de Patricia Mazuy, il y a celui de laisser exister le silence plutôt que de se reposer sur la musique pour entretenir une tension dramatique. Car son film est moins tendu vers des enjeux de surface que vers ce gouffre opaque que constitue la violence, au bord duquel elle se maintient sans jamais tomber dans la complaisance.
Culturopoing.com
La volonté de "Bowling Saturne", œuvre d'une force inouïe, ne semble pas tant de cogner déraisonnablement sur son spectateur que de délivrer une étude frontale, sans la moindre concession, traitant de la prédation sous toutes ses formes.
aVoir-aLire.com
Un sens tout simplement absolu de la mise en scène et du tragique.
Ecran Large
Un diamant noir et perturbant comme on en voit trop peu dans le cinéma français.
L'Obs
Avec une grande dextérité, la réalisatrice de « Peaux de vaches » utilise les codes du film noir pour interroger l’héritage, la prédation sous toutes ses formes, le passage à l’acte et la toxicité masculine dans un monde comme fracassé par un patriarcat institué.
La Septième Obsession
BOWLING SATURNE impressionne par son étrangeté habile et féroce. Dans ce film noir, rouge vif, captant intelligemment toute la dureté ambiante contemporaine, Mazuy filme des êtres bloqués, empêchés, comme prisonniers d’une vie interminable et sans issue.
Le Figaro
Ce polar féministe brille avant tout par sa mise en scène épurée et l’impact durable qu’il a sur les spectateurs.
Le Journal du Dimanche
La cinéaste s’aventure dans le domaine du thriller noir et embarque dans un genre de cinéma tragique et sombre dont le spectateur ne sort pas indemne.
Le Monde
Par des changements d’axe d’une justesse inouïe, un ballet des corps d’une haute précision, un montage sec, la mise en scène examine sans complaisance de quelle obscure tectonique est fait l’acte sexuel.
Les Fiches du Cinéma
À la fois sauvage et cérébral, le film, tour à tour observe ou bondit, impose la distance ou saisit.
Les Inrockuptibles
Ce qui est beau ici, c’est cette manière très américaine de saisir à pleine main, sans ombre, les codes du genre : violence immémoriale des hommes, poids du passé, fratrie ennemie, hérédité, masculinité malade, racine du mal (filmée littéralement sur la tombe du père), tragédie baignée de lumière rouge – clin d’œil à Party Girl de Nicholas Ray.
Libération
Bowling Saturne, sous ses airs stylisés de série B en agglo normande, ou de slasher à la française, parle de l’héritage de la violence, de cette sauvagerie paternelle, patriarcale, contagieuse, cette absence d’amour, ce manque, qui se transmet, par générations, aux fils, au détriment des femmes – et au prix de leur vie.
Sud Ouest
Il y a quelque chose de biblique dans cette affaire où le destin écrase les hommes et où les meurtres sont comme des rituels sacrificiels.
Télérama
Un film à la fois manichéen et impressionnant par sa mise en scène, par Patricia Mazuy, la réalisatrice de Saint-Cyr.
Voici
Une variation sur l'origine de la violence d'une implacable noirceur.
Télé Loisirs
Oppressant, parfois sordide, Bowling Saturne glace le sang par sa mise en scène d'une rigueur remarquable, mais qui peut dérouter même les plus avertis.
Critikat.com
Si Mazuy sonde l’abîme, en s’approchant au plus près du précipice, le film manque paradoxalement de zones d’ombre.
Positif
Malheureusement, nous avons été échaudée par la tonalité monocorde de ce film.
Première
Cette réflexion autour de la masculinité toxique faisant fi de tout naturalisme aurait gagné à être resserrée et dépouillée de quelques symboles et archétypes sur- signifiants.
Transfuge
Tout s’annonçait passionnant : le lieu – un bowling – deux frères, des gens, des ambiances, et surtout Patricia Mazuy. [...] Sauf que très vite, on bascule dans un catalogage des grandes causes surfaites de l’époque.