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    Bowling Saturne
    Note moyenne
    3,7
    20 titres de presse
    • Cahiers du Cinéma
    • Culturopoing.com
    • aVoir-aLire.com
    • Ecran Large
    • L'Obs
    • La Septième Obsession
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Sud Ouest
    • Télérama
    • Voici
    • Télé Loisirs
    • Critikat.com
    • Positif
    • Première
    • Transfuge

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    20 critiques presse

    Cahiers du Cinéma

    par Olivia Cooper-Hadjian

    Puisant dans les codes du film noir, Bowling Saturne s’en distancie à bien des égards. Parmi les choix cruciaux de Patricia Mazuy, il y a celui de laisser exister le silence plutôt que de se reposer sur la musique pour entretenir une tension dramatique. Car son film est moins tendu vers des enjeux de surface que vers ce gouffre opaque que constitue la violence, au bord duquel elle se maintient sans jamais tomber dans la complaisance.

    Culturopoing.com

    par Michaël Delavaud

    La volonté de "Bowling Saturne", œuvre d'une force inouïe, ne semble pas tant de cogner déraisonnablement sur son spectateur que de délivrer une étude frontale, sans la moindre concession, traitant de la prédation sous toutes ses formes.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Un sens tout simplement absolu de la mise en scène et du tragique.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Ecran Large

    par La rédaction

    Un diamant noir et perturbant comme on en voit trop peu dans le cinéma français.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Obs

    par Sophie Grassin

    Avec une grande dextérité, la réalisatrice de « Peaux de vaches » utilise les codes du film noir pour interroger l’héritage, la prédation sous toutes ses formes, le passage à l’acte et la toxicité masculine dans un monde comme fracassé par un patriarcat institué.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Septième Obsession

    par Thomas Aïdan

    BOWLING SATURNE impressionne par son étrangeté habile et féroce. Dans ce film noir, rouge vif, captant intelligemment toute la dureté ambiante contemporaine, Mazuy filme des êtres bloqués, empêchés, comme prisonniers d’une vie interminable et sans issue.

    Le Figaro

    par Olivier Delcroix

    Ce polar féministe brille avant tout par sa mise en scène épurée et l’impact durable qu’il a sur les spectateurs.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    La cinéaste s’aventure dans le domaine du thriller noir et embarque dans un genre de cinéma tragique et sombre dont le spectateur ne sort pas indemne.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    Par des changements d’axe d’une justesse inouïe, un ballet des corps d’une haute précision, un montage sec, la mise en scène examine sans complaisance de quelle obscure tectonique est fait l’acte sexuel.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Nicolas Marcadé

    À la fois sauvage et cérébral, le film, tour à tour observe ou bondit, impose la distance ou saisit.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par Murielle Joudet

    Ce qui est beau ici, c’est cette manière très américaine de saisir à pleine main, sans ombre, les codes du genre : violence immémoriale des hommes, poids du passé, fratrie ennemie, hérédité, masculinité malade, racine du mal (filmée littéralement sur la tombe du père), tragédie baignée de lumière rouge – clin d’œil à Party Girl de Nicholas Ray.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Luc Chessel

    Bowling Saturne, sous ses airs stylisés de série B en agglo normande, ou de slasher à la française, parle de l’héritage de la violence, de cette sauvagerie paternelle, patriarcale, contagieuse, cette absence d’amour, ce manque, qui se transmet, par générations, aux fils, au détriment des femmes – et au prix de leur vie.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Il y a quelque chose de biblique dans cette affaire où le destin écrase les hommes et où les meurtres sont comme des rituels sacrificiels.

    Télérama

    par Jérémie Couston

    Un film à la fois manichéen et impressionnant par sa mise en scène, par Patricia Mazuy, la réalisatrice de Saint-Cyr.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par La Rédaction

    Une variation sur l'origine de la violence d'une implacable noirceur.

    Télé Loisirs

    par S.O.

    Oppressant, parfois sordide, Bowling Saturne glace le sang par sa mise en scène d'une rigueur remarquable, mais qui peut dérouter même les plus avertis.

    Critikat.com

    par Josué Morel

    Si Mazuy sonde l’abîme, en s’approchant au plus près du précipice, le film manque paradoxalement de zones d’ombre.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Positif

    par Eithne O’Neill

    Malheureusement, nous avons été échaudée par la tonalité monocorde de ce film.

    Première

    par Thierry Chèze

    Cette réflexion autour de la masculinité toxique faisant fi de tout naturalisme aurait gagné à être resserrée et dépouillée de quelques symboles et archétypes sur- signifiants.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Transfuge

    par Jean-Noël Orengo

    Tout s’annonçait passionnant : le lieu – un bowling – deux frères, des gens, des ambiances, et surtout Patricia Mazuy. [...] Sauf que très vite, on bascule dans un catalogage des grandes causes surfaites de l’époque.

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