Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ouest France
par Laurent Beauvallet
Difficile de ne pas être embarqué par ce film tendre et drôle, au rythme soutenu.
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Émilie Deleuze signe un film enlevé et plein de charme, qui rappelle parfois les grandes heures de la comédie hollywoodienne classique. Un régal.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Une comédie piquante sur le passage, post-confinement, de la capitale à la campagne et du rêve à la réalité. Lambert Wilson est formidable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Cette comédie fantasque et décalée, un peu lente au démarrage, finit par nous emporter grâce à la performance d'un Lambert Wilson à contre-emploi.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ce retour à la nature s’avère plutôt poétique et servi par des gags assez drôles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Ni franchement réussi, ni honteux, le film vaut pour ses beaux seconds rôles et son humour.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Émilie Deleuze signe une fable loufoque, qui pervertit les clichés habituels du bourgeois et du paysan, préférant osciller entre western déguisé et road trip singulier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sur les sentiers routiniers de la petite épopée existentielle, "5 hectares" paresse avec indolence, se reposant sur une légèreté anecdotique et le charme facile de Lambert Wilson.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Lambert Wilson ne parvient pas à rendre sympathique son personnage, ni à rendre crédible sa folie douce.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un road movie campagnard poussif, sur la mise au vert d’un citadin hors sol.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Avec un enjeu dramatique aussi limité, l’ennui pointe à l’horizon.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Il y avait dans le nouveau film d’Emilie Deleuze les ferments d’une superbe comédie sociale post-Covid, un peu à l’italienne, acerbe et délirante [...] . C’est la première piste réjouissante du film, qui s’effiloche peu à peu, comme si la réalisatrice finissait par prendre (un peu trop) en sympathie son héros, oubliant au passage la lutte de classes initiale qui aurait quelque peu tonifié le scénario [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
Du genre pépère, la comédie d’Emilie Deleuze sur l’odyssée limousine d’un citadin qui rêve d’acheter un tracteur s’envase sérieusement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Le nouveau Emilie Deleuze (son premier depuis "Peau neuve" en 2016) n’étouffe guère sous l’originalité. Mais a le mérite de ne jamais enfermer ses personnages citadins comme ruraux dans des archétypes et de faire souffler ici et là [...] un vent de folie qui, hélas n’emporte jamais ce récit bien trop en place, bien trop sage pour séduire pleinement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
[...] faute d’interroger d’une quelconque façon l’actualité des enjeux politiques, sociétaux et écologiques du retour à la ruralité, le film, hors-sol, demeure prisonnier des archétypes qu’il convoque et manque, faute de réalisme ou de délire, la fable de l’obstination vers laquelle il devait tendre.
Ouest France
Difficile de ne pas être embarqué par ce film tendre et drôle, au rythme soutenu.
aVoir-aLire.com
Émilie Deleuze signe un film enlevé et plein de charme, qui rappelle parfois les grandes heures de la comédie hollywoodienne classique. Un régal.
L'Obs
Une comédie piquante sur le passage, post-confinement, de la capitale à la campagne et du rêve à la réalité. Lambert Wilson est formidable.
Franceinfo Culture
Cette comédie fantasque et décalée, un peu lente au démarrage, finit par nous emporter grâce à la performance d'un Lambert Wilson à contre-emploi.
Le Parisien
Ce retour à la nature s’avère plutôt poétique et servi par des gags assez drôles.
Les Fiches du Cinéma
Ni franchement réussi, ni honteux, le film vaut pour ses beaux seconds rôles et son humour.
Télérama
Émilie Deleuze signe une fable loufoque, qui pervertit les clichés habituels du bourgeois et du paysan, préférant osciller entre western déguisé et road trip singulier.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sur les sentiers routiniers de la petite épopée existentielle, "5 hectares" paresse avec indolence, se reposant sur une légèreté anecdotique et le charme facile de Lambert Wilson.
La Croix
Lambert Wilson ne parvient pas à rendre sympathique son personnage, ni à rendre crédible sa folie douce.
Le Dauphiné Libéré
Un road movie campagnard poussif, sur la mise au vert d’un citadin hors sol.
Le Journal du Dimanche
Avec un enjeu dramatique aussi limité, l’ennui pointe à l’horizon.
Le Monde
Il y avait dans le nouveau film d’Emilie Deleuze les ferments d’une superbe comédie sociale post-Covid, un peu à l’italienne, acerbe et délirante [...] . C’est la première piste réjouissante du film, qui s’effiloche peu à peu, comme si la réalisatrice finissait par prendre (un peu trop) en sympathie son héros, oubliant au passage la lutte de classes initiale qui aurait quelque peu tonifié le scénario [...].
Libération
Du genre pépère, la comédie d’Emilie Deleuze sur l’odyssée limousine d’un citadin qui rêve d’acheter un tracteur s’envase sérieusement.
Première
Le nouveau Emilie Deleuze (son premier depuis "Peau neuve" en 2016) n’étouffe guère sous l’originalité. Mais a le mérite de ne jamais enfermer ses personnages citadins comme ruraux dans des archétypes et de faire souffler ici et là [...] un vent de folie qui, hélas n’emporte jamais ce récit bien trop en place, bien trop sage pour séduire pleinement.
Cahiers du Cinéma
[...] faute d’interroger d’une quelconque façon l’actualité des enjeux politiques, sociétaux et écologiques du retour à la ruralité, le film, hors-sol, demeure prisonnier des archétypes qu’il convoque et manque, faute de réalisme ou de délire, la fable de l’obstination vers laquelle il devait tendre.