Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
La mise en scène très agile de Valeria Bruni Tedeschi parvient à tisser le théâtre et l’existence de chacun dans un permanent va-et-vient, où le tragique et la légèreté se font la courte échelle. Que ce film est vivant !
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Françoise Delbecq
Un film magistral.
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Ils forment une troupe épatante, se révèlent aussi engagés dans leur art que leurs personnages, traversés de part en part de tous les vertiges et de toutes les émotions qu’un tel voyage peut provoquer. Le film d’une actrice qui rend hommage à la magie du jeu, au mystère de l’art dramatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Parce que Les Amandiers agit comme une machine à remonter le temps, qui se serait changée en un accélérateur de particules et nous ferait éprouver tous les sentiments, tous les états en deux heures de projection – une expérience renversante, électrisante avec picotements sous la peau.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Drôle, dramatique, mais tellement vivant.
20 Minutes
par Caroline Vié
L’actrice franco-finlandaise Nadia Tereszkiewicz, dans un rôle qui rappelle la jeune Valeria Bruni Tedeschi, est la révélation du film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Bruni Tedeschi s’éloigne ainsi de la méthode de Chéreau cinéaste, fondée sur de brusques effusions et des ruptures d’affect. Elle n’animalise pas les corps ni ne glorifie les chairs. Même lorsqu’elle évoque la peur du sida et l’addiction à la drogue, elle refuse une trop grande intensification des gestes et des cris, cherchant une forme de douceur et d’harmonie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Avec Les Amandiers, c’est à la fois la vie d’une jeune fille, la vie de Valeria Bruni-Tedeschi, mais aussi le portrait de la jeunesse de ces années 80 qui se dessinent. Ce portrait est juste et beau.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Très juste dans sa réalisation et son interprétation, (notamment Nadia Tereszkiewicz en Stella), film solaire, Les Amandiers nous fait passer derrière le miroir d’une vocation, comme s’il nous confiait un secret.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Valeria Bruni Tedeschi met ses tripes et celle de ses acteurs sur la table, cherche le paroxysme tout le temps et le trouve à bon escient. Elle assure aussi avec le choix de ses superbes comédiens (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un vibrant récit d’apprentissage, en même temps que le portrait très réussi de ces années 1980, pleines de bruits et de fureur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Il y a de la tragédie et du romanesque dans ces Amandiers qui célèbrent sans doute une façon révolue d’enseigner un art de l’interprétation lointainement cousin de l’Actor’s Studio new-yorkais. Quand l’appétit de jouer équivaut à celui de vivre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Dans une fiction autobiographique, Valeria Bruni-Tedeschi revient sur ses années de jeunesse au théâtre des Amandiers de Nanterre, dirigé par le metteur en scène Patrice Chéreau. Un portrait des années 80.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Nul besoin d’avoir foulé les planches avec Chéreau dans les années 1980, ni même d’avoir la passion du théâtre, pour être touché par ce portrait de groupe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Les apprentis comédiens jouent ensemble, s’aiment aussi, se disputent, se dévorent, font l’amour… On n’entre pas aux Amandiers comme dans n’importe quelle autre école. A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Au-delà de cette déclaration d’amour exaltée au théâtre, le film touche par la fougue avec laquelle il représente la jeunesse. Magnifiquement interprété, sensuel, il est ponctué de scènes vibrantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Valeria Bruni Tedeschi évoque ses débuts de comédienne au théâtre des Amandiers de Nanterre dans une (auto)fiction farfelue, et met en scène une troupe électrique qui, sans forcément en être consciente, entame son passage à l'âge adulte. Une initiation émouvante qui offre l'occasion à la réalisatrice de signer son meilleur film.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
S’inspirant de ses débuts comme actrice avec Patrice Chéreau, Valeria Bruni Tedeschi trouve la bonne mesure et la bonne distance pour filmer. Et capter la fièvre des corps et des cœurs chez ceux qui commencent à vivre (de) leur passion pour les planches.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
S’il sera bien sûr question d’hommage et de célébration de la scène, d’amour des acteurs et de recherche d’intensité dramatique, Valeria Bruni-Tedeschi ménagera sans cesse un art du pas de côté qui lui fera tendre vers la légèreté et l’éloignera des passages obligés d’un biopic sur une poignée d’élus doués, jeunes et beaux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Isabelle Barbéris
Le théâtre de Chéreau était uniquement guidé par le désir – apolitique, anarchiste, libre – que la caméra insolente et talentueuse de Valeria Bruni-Tedeschi arrive à capter, avec une énergie vitale, légère, douce, lucide, qui lui appartient en propre. Et qui fait d’elle une grande artiste.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Une chronique virevoltante de la jeunesse dans les années 80. Un pur concentré d'émotions.
Positif
par Nicolas Bauche
Avec une émotion rare, Valeria Bruni Tedeschi redonne vie à une salle de pas perdus avant le grand saut dans le vide sur la scène de théâtre.
Première
par Thierry Chèze
Mais ce qui se révèle le plus passionnant dans ce puzzle foisonnant où l’on crie, on pleure, on s’embrasse, on se hait et on s’adore en poussant toujours les curseurs à fond, est la réflexion sur la manière d’être comédien, de vivre ce métier décidément pas comme les autres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
C’est l’intensité d’une jeunesse qui croit fort au pouvoir du jeu, vivant son quotidien avec la même inconscience, que dévoile ici Valeria Bruni Tedeschi, dont c’est le meilleur film.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
La tragédie se mêle au bonheur dans la réalité comme dans ce film bouleversant où le plateau rend vulnérable, où tout est si important, où même si on parle avec les mots des autres, on ne triche pas. Où l’on joue sa peau pour de vrai, en riant, parce qu’on a la vie devant soi et qu’être artiste, c’est aussi se vouloir funambule.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Serge Kaganski
Bruni-Tedeschi orchestre et chorégraphie avec maestria cette ronde enflammée de théâtre et de vie et sa troupe de jeunes actrices et acteurs tout frais est superbe.
Télérama
par Louis Guichard
En ce sens, Valeria Bruni Tedeschi dépasse, cette fois, l’autobiographie. Même si elle filme souvent son double juvénile comme un trésor vivant, elle regarde bien au-delà de sa propre trajectoire, et communique une impulsion à une nouvelle génération – à commencer par ses jeunes interprètes, tous captivants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Les Amandiers est un film de comédiens qui fait aimer les comédiens. On ressort de cette histoire, rempli par le goût du théâtre, et enthousiaste à l’évocation du nom de ces jeunes comédiens auxquels Valeria Bruni-Tedeschi a donné naissance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Le film rompt progressivement avec sa conception limitée du théâtre : jouer ne consiste plus seulement à se mettre à nu, entièrement et radicalement, mais à s’inscrire dans une mémoire des actions et des gestes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Valeria Bruni Tedeschi se sert de ses souvenirs pour composer une fiction à la fois lumineuse et sombre, hantée par la drogue et la peur du sida. Emmené par deux jeunes comédiens qui appuient ce contraste avec un naturel éclatant, le film reste suggestif et choral, au risque de l’autocélébration.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Paris Match
par Yannick Vely
La limite de l'exercice de style tient dans son approche chorale. Comme dans toute distribution théâtrale, certains personnages sont très en retrait, «oubliés» par la narration, mais quand le récit se recentre sur l'histoire d'amour entre Stella et Etienne ou la création de la pièce, il touche juste et en plein coeur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ecran Large
par La rédaction
Les Amandiers est un véritable calvaire pour qui aime le silence, l'apaisement, la mesure et le théâtre tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Bande à part
La mise en scène très agile de Valeria Bruni Tedeschi parvient à tisser le théâtre et l’existence de chacun dans un permanent va-et-vient, où le tragique et la légèreté se font la courte échelle. Que ce film est vivant !
Elle
Un film magistral.
L'Humanité
Ils forment une troupe épatante, se révèlent aussi engagés dans leur art que leurs personnages, traversés de part en part de tous les vertiges et de toutes les émotions qu’un tel voyage peut provoquer. Le film d’une actrice qui rend hommage à la magie du jeu, au mystère de l’art dramatique.
Les Inrockuptibles
Parce que Les Amandiers agit comme une machine à remonter le temps, qui se serait changée en un accélérateur de particules et nous ferait éprouver tous les sentiments, tous les états en deux heures de projection – une expérience renversante, électrisante avec picotements sous la peau.
Ouest France
Drôle, dramatique, mais tellement vivant.
20 Minutes
L’actrice franco-finlandaise Nadia Tereszkiewicz, dans un rôle qui rappelle la jeune Valeria Bruni Tedeschi, est la révélation du film.
Cahiers du Cinéma
Bruni Tedeschi s’éloigne ainsi de la méthode de Chéreau cinéaste, fondée sur de brusques effusions et des ruptures d’affect. Elle n’animalise pas les corps ni ne glorifie les chairs. Même lorsqu’elle évoque la peur du sida et l’addiction à la drogue, elle refuse une trop grande intensification des gestes et des cris, cherchant une forme de douceur et d’harmonie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec Les Amandiers, c’est à la fois la vie d’une jeune fille, la vie de Valeria Bruni-Tedeschi, mais aussi le portrait de la jeunesse de ces années 80 qui se dessinent. Ce portrait est juste et beau.
Franceinfo Culture
Très juste dans sa réalisation et son interprétation, (notamment Nadia Tereszkiewicz en Stella), film solaire, Les Amandiers nous fait passer derrière le miroir d’une vocation, comme s’il nous confiait un secret.
L'Obs
Valeria Bruni Tedeschi met ses tripes et celle de ses acteurs sur la table, cherche le paroxysme tout le temps et le trouve à bon escient. Elle assure aussi avec le choix de ses superbes comédiens (...).
La Croix
Un vibrant récit d’apprentissage, en même temps que le portrait très réussi de ces années 1980, pleines de bruits et de fureur.
La Voix du Nord
Il y a de la tragédie et du romanesque dans ces Amandiers qui célèbrent sans doute une façon révolue d’enseigner un art de l’interprétation lointainement cousin de l’Actor’s Studio new-yorkais. Quand l’appétit de jouer équivaut à celui de vivre.
Le Dauphiné Libéré
Dans une fiction autobiographique, Valeria Bruni-Tedeschi revient sur ses années de jeunesse au théâtre des Amandiers de Nanterre, dirigé par le metteur en scène Patrice Chéreau. Un portrait des années 80.
Le Figaro
Nul besoin d’avoir foulé les planches avec Chéreau dans les années 1980, ni même d’avoir la passion du théâtre, pour être touché par ce portrait de groupe.
Le Monde
Les apprentis comédiens jouent ensemble, s’aiment aussi, se disputent, se dévorent, font l’amour… On n’entre pas aux Amandiers comme dans n’importe quelle autre école. A ne pas manquer.
Le Parisien
Au-delà de cette déclaration d’amour exaltée au théâtre, le film touche par la fougue avec laquelle il représente la jeunesse. Magnifiquement interprété, sensuel, il est ponctué de scènes vibrantes.
Les Echos
Valeria Bruni Tedeschi évoque ses débuts de comédienne au théâtre des Amandiers de Nanterre dans une (auto)fiction farfelue, et met en scène une troupe électrique qui, sans forcément en être consciente, entame son passage à l'âge adulte. Une initiation émouvante qui offre l'occasion à la réalisatrice de signer son meilleur film.
Les Fiches du Cinéma
S’inspirant de ses débuts comme actrice avec Patrice Chéreau, Valeria Bruni Tedeschi trouve la bonne mesure et la bonne distance pour filmer. Et capter la fièvre des corps et des cœurs chez ceux qui commencent à vivre (de) leur passion pour les planches.
Libération
S’il sera bien sûr question d’hommage et de célébration de la scène, d’amour des acteurs et de recherche d’intensité dramatique, Valeria Bruni-Tedeschi ménagera sans cesse un art du pas de côté qui lui fera tendre vers la légèreté et l’éloignera des passages obligés d’un biopic sur une poignée d’élus doués, jeunes et beaux.
Marianne
Le théâtre de Chéreau était uniquement guidé par le désir – apolitique, anarchiste, libre – que la caméra insolente et talentueuse de Valeria Bruni-Tedeschi arrive à capter, avec une énergie vitale, légère, douce, lucide, qui lui appartient en propre. Et qui fait d’elle une grande artiste.
Marie Claire
Une chronique virevoltante de la jeunesse dans les années 80. Un pur concentré d'émotions.
Positif
Avec une émotion rare, Valeria Bruni Tedeschi redonne vie à une salle de pas perdus avant le grand saut dans le vide sur la scène de théâtre.
Première
Mais ce qui se révèle le plus passionnant dans ce puzzle foisonnant où l’on crie, on pleure, on s’embrasse, on se hait et on s’adore en poussant toujours les curseurs à fond, est la réflexion sur la manière d’être comédien, de vivre ce métier décidément pas comme les autres.
Rolling Stone
C’est l’intensité d’une jeunesse qui croit fort au pouvoir du jeu, vivant son quotidien avec la même inconscience, que dévoile ici Valeria Bruni Tedeschi, dont c’est le meilleur film.
Sud Ouest
La tragédie se mêle au bonheur dans la réalité comme dans ce film bouleversant où le plateau rend vulnérable, où tout est si important, où même si on parle avec les mots des autres, on ne triche pas. Où l’on joue sa peau pour de vrai, en riant, parce qu’on a la vie devant soi et qu’être artiste, c’est aussi se vouloir funambule.
Transfuge
Bruni-Tedeschi orchestre et chorégraphie avec maestria cette ronde enflammée de théâtre et de vie et sa troupe de jeunes actrices et acteurs tout frais est superbe.
Télérama
En ce sens, Valeria Bruni Tedeschi dépasse, cette fois, l’autobiographie. Même si elle filme souvent son double juvénile comme un trésor vivant, elle regarde bien au-delà de sa propre trajectoire, et communique une impulsion à une nouvelle génération – à commencer par ses jeunes interprètes, tous captivants.
aVoir-aLire.com
Les Amandiers est un film de comédiens qui fait aimer les comédiens. On ressort de cette histoire, rempli par le goût du théâtre, et enthousiaste à l’évocation du nom de ces jeunes comédiens auxquels Valeria Bruni-Tedeschi a donné naissance.
Critikat.com
Le film rompt progressivement avec sa conception limitée du théâtre : jouer ne consiste plus seulement à se mettre à nu, entièrement et radicalement, mais à s’inscrire dans une mémoire des actions et des gestes.
Le Journal du Dimanche
Valeria Bruni Tedeschi se sert de ses souvenirs pour composer une fiction à la fois lumineuse et sombre, hantée par la drogue et la peur du sida. Emmené par deux jeunes comédiens qui appuient ce contraste avec un naturel éclatant, le film reste suggestif et choral, au risque de l’autocélébration.
Paris Match
La limite de l'exercice de style tient dans son approche chorale. Comme dans toute distribution théâtrale, certains personnages sont très en retrait, «oubliés» par la narration, mais quand le récit se recentre sur l'histoire d'amour entre Stella et Etienne ou la création de la pièce, il touche juste et en plein coeur.
Ecran Large
Les Amandiers est un véritable calvaire pour qui aime le silence, l'apaisement, la mesure et le théâtre tout simplement.