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xdepub
8 abonnés
68 critiques
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1,0
Publiée le 18 décembre 2022
Je n'ai pas pu dépasser 20 mn tant ce film accumule autant d'absurdités que dans la nullissime série "Casa Del papel", qui présente exactement les mêmes déficiences intellectuelles, et commence à me faire croire que els espagnols prennent vraiment leur public pour des débiles.
Dans les 2 histoire, on a une accumulation de BOURDES si monumentales de tous les protagonistes (censés être hyper intelligents et que PERSONNE, même un type lambda ne ferait dans la vraie vie) que le film pourrait être plié en 3mn; et les scénaristes s'imaginent que ça passe crème alors qu'on nous propose une oeuvre soit disant hyper intelligente.
Donc ok pour laisser son énorme livre rigide à la nana, contre tout le protocole, juste parce que... ? Ah, et puis personne ne va fouiller ce qui est dans cet énorme livre. Ca peut planquer une arme, on lui fouille l'anus, mais non, pas le livre (même si au final il ne contient rien d'important). Et le psy qui lui renverse de l'eau sur le genou d'un coup de coude... c'est fait exprès c'est ça. Non ??? C'est un vrai accident ? Et il lui file les clefs comme ça, contre tout le PROTOCOLE, juste parce que... ???
Et surtout, dès la 2e scène le film est plié avec la lettre aux médecins qui explique absolument toute la fin du film. Avec cette explication limpide, je ne risque pas d'etre surpris une seule seconde dans le film. Je n'ai pas besoin de voir le film pour DEVINER (du coup c'est pas du spoil) que la nana est réellement folle et que son psy lui a monté un bateau pour qu'elle accepte d'entrer volontairement dans l'asile.
Asile qui au passage est une véritable caricature comme on en fait plus depuis 40 ans de fous tous plus barges les uns que les autres en mode Arkham ! Pourtant cela fait des années que films et séries nous en montrent une image un peu plus réaliste, mais là non, gros retour 40 ans en arrière.
Là où Shutter Island était du génie, ce machin est une déception sans nom qui ne m'aura pas tenu plus de 20 mn devant l'écran, après 4 Facepalm. (j'ai tenu 12 Facepalm devant Casa del papel, j'ai eu mal au crâne 2 jours, je ne recommence pas la même erreur)
Un film qui doit beaucoup à la superbe interprétation de Barbara Lennie, qui confirme toute la finesse et la force de son jeu , que l'on a déjà dans plusieurs blockbusters espagnols. Mais le scénario est un peu cousu de fil blanc, beaucoup de longueurs aussi pour essayer de créer un climat anxiogène. Mais lenteur ne veut pas dire profondeur. C'est très long à démarrer, les twists et retournements ne sont pas toujours subtils. On comprend bien l'astuce finale, qui a un air de "déjà vu".
On pense inévitablemnt à Shutter Island et Vol au dessus d'un nid de coucous. La différence c'est que dans ces deux chef-d'oeuvres il y a une fin, et que là, film Netflix oblige, il n'y en a pas... ce détail mis à part, ça se regarde même si un peu long.
Superbe,mm si a la fin on ne sait plus où est la vérité, mais la grande question c'est comment elle a pu rentré en tant que détective pour un meurtre qui n avais pas encore était commis ?Et elle avait bien des coupures de journaux des son arrivée ?
Souligné par AlloCiné comme un "Shutter Island" à l'Espagnole; ce qui est basiquement vrai, ce thriller psychologique s'en démarque par plus de subtilité. Pourtant très grand fan de Scorcese, je n'avais que moyennement apprécié son film ! La fin des "Lignes courbes de Dieu" spoiler: m'a laissé sur ma faim, n"étant pas grand fan des renversements abracadabrantesques à la "Teenage Movie", sinon ma note aurait été encore plus élevé...
Comment ne pas penser à Shutter Island bien sûr. Ce film de 2h30 tient en haleine jusqu'au bout. On se demande si certains malades sont des acteurs tellement ça sonne juste.
Pas de temps mort dans ce film captivant qui nous ballade sans cesse.. Il nous rend fou et le scénario est très bien construit, pas d'ennui, bien que le film dure 2h30. Ce film est exceptionnel et tellement rare aujourd'hui. Intelligemment construit, il rappelle les films d' Hitchcock et aussi le film "vol au dessus d'un nid de coucou" aux multiples oscars👋👋👋bravo pour les interprètations des acteurs également. Un régal de cinéma que j'aurais plaisir à revoir pour analyser la chute que je connais !
D'une longueur anesthésiante,il ne se passe strictement strictement rien durant 1h45 et ensuite cela sombre dans le ridicule.... Des complications,des imbroglios permanents et le pompon avec les scènes dans la partie asile.... ridicules.
Mon Dieu! Ce ne sont pas des lignes courbes mais complètement tordues oui ! Comme ce scénario qui se veut le Shutter Island du pauvre ! 2 heures pour aboutir à ??? Et ne venez pas me dire que c'est trop subtil pour moi. J'avais compris très vite dans SI que D Caprio était malade mais là, on ne saura jamais rien de rien et l'on reste bête comme cette histoire à délirer debout sans queue ni tête... next!
Après nous avoir offert le magistral thriller à tiroirs « L’Accusé » et surtout l’incroyable mini-série à rebondissements et à l’intrigue tentaculaire « Innocent », Oriol Paulo revient sur Netflix avec un nouveau suspense plein de surprises comme il sait si bien nous les concocter (sans compter d’autres œuvres espagnoles inédites de son cru à la toute aussi bonne réputation dans le genre mais qui n’ont pas eu les honneurs d’une sortie en salles ou sur une plateforme à laquelle le public francophone a accès). Adapté d’un roman tout aussi machiavélique dans son scénario, « Les lignes courbes de Dieu » est un thriller à twists qui a le mérite de nous captiver plus de deux heures et demie durant à la manière d’un « Prisoners » ou d’un « Shutter Island ». Et c’est là l’un des problèmes du film : on pense fortement au film de Scorsese a bien des égards et de manière un peu trop prononcée. Il serait même de rigueur de l’oublier pour pleinement profiter de cette enquête passionnante et pleine de retournements de situation. D’ailleurs parfois un peu trop : si on aime être décontenancé et bousculé, le scénario abuse peut-être un peu trop de revirements narratifs et ce, jusque-là toute fin. D’autant plus qu’on ne peut nier qu’il y a tout de même bon nombre de facilités et d’incohérences défiant parfois la logique et la raison. Mais si on est tolérant et qu’on veut se prendre au jeu sans tiquer c’est tout à fait possible, tant le long-métrage et son déroulement son clairement machiavéliques et imprévisibles.
Et c’est en cela que « Les lignes courbes de Dieu » est un film policier implacable. On est constamment dans une zone grise à savoir si le personnage principal est fou ou pas. On est durant toute la durée du film à se demander si elle ment, si elle arrange la vérité ou si elle est de bonne foi. Sauf que le mélange des deux est aussi possible et ouvre un champ de possibilités étourdissant. Et même dans certaines sous-intrigues il y a un des twists à l’intérieur du twist. A ce niveau Paulo est doué et malin dans la façon dont il nous les présente; mais là, il se surpasse avec son film en forme de permanentes poupées gigognes. Il y a même des airs de De Palma dans la manière avec laquelle le cinéaste espagnol se permet des séquences inattendues frôlant le fantastique où on rentre dans la psyché du personnage central. De plus la mise en scène est comme souvent chez le cinéaste de toute beauté et le décor de cet asile dans les années 70 est parfaitement rendu. Beaucoup de personnages, de clés et d’indices, de secrets également ainsi que plusieurs temporalités qui sont au rendez-vous mais la narration reste malgré tout fluide et probante. Au final, « Les lignes courbes de Dieu » loupe le statut de chef-d’œuvre du film noir psychologique à cause d’un abus de rebondissements et de sa parenté trop proche avec « Shutter Island » mais n’en demeure pas moins un sacré thriller cousu de main de maître par un spécialiste du genre.
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Un thriller paranoïaque de haute volée lorgnant sur les traces de Shutter Island qui va clairement vous faire des noeuds au cerveau. L'actrice principale est excellente et l'on est absolument tout le temps dans le doute sur sa condition véritable. L'ensemble, fait de faux-semblants et jonché de personnages hauts en couleur est assez passionnant à suivre. Malheureusement la longueur pourrait en rebuter plus d'un et d'autant plus que le montage sauvage à base de flash-backs et de timelines différentes perd facilement son spectateur. Ça aurait pu être absolument génial mais les choix artistiques font parfois grincer des dents et l'on s'y perd trop facilement. Dommage mais ça reste à voir une fois au moins.
Qu'il est pertinent ce thriller psychologique. Jonglant sur des versions différentes, des scènes paradoxales et des détails a priori anodins, Les lignes courbes de Dieu propose une excellente partition du genre.
On est captivé par Alice, où Bárbara Lennie crève l'écran, et ne sait plus où donner de la tête. Complot ? Patiente psychiatrique ? Le doute est là et le réalisateur joue avec nous, oscillant entre les versions. Dans un environnement qui a toujours suscité l'intérêt, dès Vol au dessus d'un nid de coucou jusqu'à Shutter Island, Les lignes courbes de Dieu respecte, honore et nous déroule le tapis rouge pour nous embarquer.
Le clou de cet excellent thriller ? Cette fin ouverte, tellement puissante et folle. Un mélange de régal, de frustration et de satisfaction.
Un film Netflix dans la lignée d'un Shutter Island, qui joue intelligemment avec notre envie de recherche de vérité. La protagoniste principale est-elle folle ou est-elle la détective qu'elle prétend être? La question vous taraude jusqu'au dénouement et les 2h35 passent à une vitesse folle. Un rythme maîtrisé, des twists intéressants (bien que parfois inégaux)... Les lignes Courbes de Dieu est un thriller plus qu'acceptable.
Le nouveau film de Oriol Paulo (Mirage, Innocent) est un une très bonne surprise, il arrive, malgré la durée à nous tenir en haleine jusqu’au bout, et ce, surtout grâce à la prestation de Bárbara Lennie, l’intrigue y est évidemment pour quelque chose aussi, tant ce thriller est vraiment bien tourné. spoiler: Mais malheureusement en nous faisant forcément penser à Shutter Island (sans lui arriver à la cheville), ainsi qu’a Fracture (2021), la fin se laisse deviner, les similitudes étant assez frappantes. C’est d’ailleurs celle-ci, qui malheureusement, rendent le film un peu prévisible . Il en ressort néanmoins un excellent thriller dans l’univers psychiatrique.
Paulo Oriol est vraiment un réalisateur et scénariste de génie. A voir également Innocent, L'accusé (mon préféré) et Mirage. Une filmographie de malade