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Votre avis sur Le Dernier empereur ?
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Un chef d'œuvre tout bonnement
Un biopic puissant dans un décor magistral. Un classique à voir et revoir
Un biopic puissant dans un décor magistral. Un classique à voir et revoir
Le destin incroyable de Pu-Yi, dernier empereur de Chine! Une pluie d'Oscars (9 au total) pour cette grande fresque historique et totalement personnelle de Bernardo Bertolucci! Remarquè dans l'hallucinant "Year of the Dragon", John Lone insuffle puissance et grandeur à son rôle de Pu-Yi en racontant sa destinèe! La beautè des lieux (la Citè Interdite avec la fameuse salle du trône) est indèniable! Tout comme la photo de Storaro, la musique ou les costumes! Plusieurs images restent en mèmoire et s'il fallait en choisir une, ce serait celle du vaste voile jaune flottant au vent que le jeune Pu-Yi soulève par amusement pour y dècouvrir plusieurs centaines de personnes prosternèes à ses pieds! Ambitieux, fastueux et magnifique morceau de cinèma! Plus encore dans sa version intègrale qui semble avoir disparu de la circulation! Un incontournable de Bertolucci, sacrè meilleur rèalisateur à Hollywood en 1987 (Oscar et Golden Globes)...
Un biopic fastueux et foisonnant, malgré quelques longueurs, qui évoque le passage de l'Empire à la République chinoise à travers le destin tragique du tout dernier empereur chinois placé sur le trône à 3 ans. Récompensé par 9 oscars, dont celui du meilleur film et réal.
Une très belle fresque historique signée Bernardo Bertolucci, sur le dernier souverain de l'empire du milieu.
Au-delà de l'aspect historique (que je ne peux attester car n'étant pas expert de cette période), la trame et la dramaturgie du film est palpable. Le personnage principal est fascinant, à la fois omnipotent, avec des serviteurs à la merci de tous ses desiderata mais complètement prisonnier de sa cité interdite et n'ayant aucun impact en-dehors de celle-ci du fait de la révolution communiste bouleversant le pouvoir en place.
Le personnage principal est plutôt bien interprété (que ce soit John Lone ou les jeunes acteurs incarnant le personnage aux différentes étapes de son enfance). Peter O'Toole est lui aussi impeccable de justesse en précepteur du jeune dirigeant.
La bande originale est culte, composée par Ryuichi Sakamoto (que je ne connaissais pas avant d'avoir vu ce film) est mémorable (un des thèmes les plus connus du cinéma). Les décors sont parfaits.
Peut-être pas le film le plus connu de Bertolucci, mais c'est un must-see.
Au-delà de l'aspect historique (que je ne peux attester car n'étant pas expert de cette période), la trame et la dramaturgie du film est palpable. Le personnage principal est fascinant, à la fois omnipotent, avec des serviteurs à la merci de tous ses desiderata mais complètement prisonnier de sa cité interdite et n'ayant aucun impact en-dehors de celle-ci du fait de la révolution communiste bouleversant le pouvoir en place.
Le personnage principal est plutôt bien interprété (que ce soit John Lone ou les jeunes acteurs incarnant le personnage aux différentes étapes de son enfance). Peter O'Toole est lui aussi impeccable de justesse en précepteur du jeune dirigeant.
La bande originale est culte, composée par Ryuichi Sakamoto (que je ne connaissais pas avant d'avoir vu ce film) est mémorable (un des thèmes les plus connus du cinéma). Les décors sont parfaits.
Peut-être pas le film le plus connu de Bertolucci, mais c'est un must-see.
Cette histoire de la vie extraordinaire de Pu Yi, le dernier empereur de Chine, puis empereur fantoche de la Mandchourie, appelée alors Mandchoukouo, construite en flash-backs chronologiques, laisse une impression mitigée.
La première partie, l’enfance et la jeunesse de l’empereur, qui se déroule dans la cité interdite, est plutôt longue et pesante. Les images sont soignées, superbes même, mais sans véritable intérêt, et lorgnant plutôt sur l’exotisme. Le personnage caricatural du percepteur, le blanc occidental instruit, réfléchi, réactif et courageux n’arrange pas la chose. On a parfois l’impression de voir Tintin chez les Chinois.
Heureusement la seconde partie, plus dramatique et intimement mêlée à l’histoire de la Chine est bien supérieure, car outre l’intérêt que présente cette vision des événements historiques, pointe enfin, allant crescendo, une vraie émotion.
La première partie, l’enfance et la jeunesse de l’empereur, qui se déroule dans la cité interdite, est plutôt longue et pesante. Les images sont soignées, superbes même, mais sans véritable intérêt, et lorgnant plutôt sur l’exotisme. Le personnage caricatural du percepteur, le blanc occidental instruit, réfléchi, réactif et courageux n’arrange pas la chose. On a parfois l’impression de voir Tintin chez les Chinois.
Heureusement la seconde partie, plus dramatique et intimement mêlée à l’histoire de la Chine est bien supérieure, car outre l’intérêt que présente cette vision des événements historiques, pointe enfin, allant crescendo, une vraie émotion.
Caine78
De très loin le plus grand succès commercial de Bernardo Bertolucci mais également l'une de ses plus belles réussites (comme quoi, l'un n'empêche pas l'autre!), j'ai eu la chance de pouvoir découvrir « Le Dernier Empereur » au cinéma, lui permettant ainsi de s'épanouir dans toute sa grandeur visuelle. D'abord, il faut saluer le fait si rare pour une superproduction de s'intéresser à l'Histoire de la Chine au XXème siècle, et ce qui plus est sur près de soixante ans. L'occasion d'une fresque souvent impressionnante et ne manquant pas de puissance, que ce soit par la richesse d'un scénario manifestement très documenté qu'un style formel plein de maîtrise, voire d'une certaine grandeur, à l'image de la superbe photographie signée Vittorio Storaro. Voir ainsi cette succession d'événements, ces immenses bouleversements dans une société fait forte impression, tous étant aussi bien décrits avec un vrai souci du romanesque qu'un grand réalisme dans la description, magnifique livre d'images au service d'une période aussi importante que peu connue du grand public. Interprétation très sûre, où l'on croise notamment un Peter O'Toole impérial en précepteur de l'Empereur. Manque, peut-être, juste un peu de souffle épique, l'imposante durée se faisant ressentir dans la dernière ligne droite, moins intense que lors de l'enfance du héros. Reste que ce classique couvert d'Oscar n'a nullement volé son statut, demeurant encore aujourd'hui l'un des rares témoignages cinématographiques de cette période (qui plus est de cette ampleur) : le genre de films qu'il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie.
Le film s'étire en longueur malgré une histoire incroyable, où l’on suit la vie du dernier empereur de Chine, Pu Yi, du trône impérial jusqu’à son “misérable” poste de jardiner dans un parc botanique de Pékin. Un poste dans lequel il connaît sans doute bien plus de joie et de liberté d’ailleurs. Le film est lourd et empoté. Les moyens sont considérables, les décors fastueux mais on ne s’attache pas au personnage principale. Le scénario du biopic est très classique. Bertolucci utilise des flash-backs pour faire nous faire découvrir la vie du héros, sans originalité. Ils sont trop nombreux et manquent de rythme. Les transitions sont brutales et prévisibles. Pour autant, certaines scènes retiennent tout de même l’attention, notamment dans la première partie où le huis-clos fonctionne plutôt bien. La cité interdite, devenue depuis une machine à enfermer des touristes, prend vie une dernière fois et on ne se lasse pas de voir les vieux petits serviteurs chinois amuser le tout jeune Pu Yi.
Film splendide , relatant la vie d'un homme qui la plupart du temps n'a pas choisi son destin , celui ci ayant été dicté par ses origines. Ce film est une version plus digeste du livre de Pu Yi "J'étais empereur de Chine". Fait probablement partie des dix films à voir . Une masterpiece absolue. Je laisse tomber une demi étoile pour la longueur de certains passage mais cela n'enlève en rien mon admiration pour ce film.
17/20
17/20
Un biopic très classique qui utilise la narration a posteriori du protagoniste afin de revenir sur les moments clés de son existence. Cependant résumer la vie mouvementée et historiquement passionnante du dernier empereur de Chine sans préférence sur la période choisie entraîne une certaine lassitude puisque tout attachement aux personnages n'a guère le temps de se créer tandis que la réflexion politique et culturelle aurait pu être exploitée. Une ébauche en somme.
Décevant creux sombre
Qq belles scènes trop rares
Histoire décousue incomplète
Belles images de Fontainebleau
Qq belles scènes trop rares
Histoire décousue incomplète
Belles images de Fontainebleau
Je suis désolé, mais moi, un ptit chinois du début du 20e siècle qui parle couramment anglais, fut-il empereur, çà me coupe mes envies de réalisme et çà m’empêche de rentrer dans le film. Dommage!
12/18
12/18
Un film grandiose sans un des derniers films épique jamais réalisé. Digne de David Lean ce film est tout simplement inoubliable . John Lone y est époustouflant ainsi que le reste de la distribution et que dire de la maestria de la mise en scène ample et à la fois intime. La musique aussi y est superbe . Immanquable !
Le biopic du dernier souverain de Chine est une passionnante fresque historique, dans le palais impérial de la cité interdite où s’est déroulé 50 années d’événement chronologique, de la fin de l’Empire Qing laissé à l’état critique par la mourante impératrice douairière Cixi, l’enfant empereur fut évincé à l’avènement de la première république, en passant par la période de la déclaration de guerre et colonisation Japonaise qui le contrôla telle une marionnette pour le compte du fantoche territoire du Manchoukuo, le sort réservé à son entourage fut tragique. La fin de l’occupation après la guerre marqua sa fuite, évita ainsi les tribunaux pour trahison, rattrapé par les soviétiques et emprisonné jusqu’à son extradition après la révolution communiste de Mao Zedong qui arriva à son terme pour finir par porter le coup de grâce à sa chute, il prendrait conscience de l’ampleur de son action criminelle, l’aveuglement laissé par ses anciens protecteurs se révéla, le soutien d’allégeance au nouveau régime par la rééducation idéologique lui valu le pardon de l'inconscience de ses crimes, finissant le restant de sa vie comme jardinier. Une destinée d’humilité et de modestie venant d'un monument du passé et un final tout en émotion magnifiquement intemporel.
Je me suis totalement laissé embarquer par ce long-métrage qui trouve rapidement sa vitesse de croisière et qui m’a captivé de bout en bout. Je ne connaissais pas du tout la vie de Pu-Yi, le dernier empereur de Chine, et ne peux donc pas juger la véracité historique de ce biopic mais j’ai beaucoup apprécié la façon dont Bertolucci mène son histoire. Le tout est porté par d'excellents acteurs, cela donne un très bon film à conseiller à tous les amateurs de récits historiques.
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