Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si au départ, on est légèrement rebuté par la construction parallèle du récit, trop systématique, à la longue une indéniable fascination se fait jour. Pourquoi ? En raison du caractère extrêmement poussé du montage, qui ne se contente pas d'alterner platement les séquences rétro et moderne, mais finit par les entrechoquer, les enchevêtrer à un tel point qu'une belle confusion finit par régner sur cette double histoire. (...) Intensément lyrique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Kathryn Bigelow réinvente l'abstraction lyrique et réussit mieux que son ex, James Cameron, son petit Titanic.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Bigelow ne réussit jamais complètement à transformer ce procédé littéraire en dispositif cinématographique.
Cine Libre
par Marielle Gaudry
Le Poids de l'eau a même tendance à peser tout court. Malgré tout, l'approche littéraire du film – références, citations dans les dialogues et voix off –, les images soignées et imprégnées de poésie, confèrent à ce film un petit charme certain, celui d'une brise d'été qui effleure plus qu'elle ne touche.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
par Isabelle Danel
Adapté d'un roman d'Anita Shreve, le film de Kathryn Bigelow joue sur l'atmosphère, le soleil de plomb et les enjeux troubles et troublants que représentent l'amour et la séduction. Mais, malgré un fonds commun traitant de jalousie et d'insatisfaction, les deux histoires sont bizarrement éloignées et l'on a la sensation d'assister à deux films en un.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Camille Brun
Ces rancoeurs qu'on découvre petit à petit sont passionnantes. Mais, n'évoluant pas tellement, elles ne nous tiennent pas en haleine pendant tout le film, qui s'avère trop long. Le bateau de Bigelow prend donc un peu l'eau, même s'il nous offre un beau voyage.
Première
par Stéphanie Lamome
A l'instar du titre, jamais vraiment explicité mais ressenti à chaque moment, Bigelow, qui signe ici son film le plus intimiste, a laissé proliférer les zones d'ombre. Un parti pris qui peut dérouter.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Véronique Le Bris
La réalisatrice Kathryn Bigelow (...) était fort attendue (...) sur ce nouveau polar adapté du livre d'Anita Shreve, d'autant que son casting faisait saliver à l'avance : Sean Penn, Catherine McCormack, Sarah Polley ou Elizabeth Hurley. Pourtant, si elle sait installer rapidement une ambiance, si les flash-backs sont réussis, le tout manque de fluidité et s'écoule sans retenir l'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
(...) entre petit film indépendant chic et toc et lourde fable sociologique, Le Poids de l'eau se noie dans un torrent d'artifices fumigènes et stériles.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tant de poudre aux yeux jetée pour aboutir à ce cynique dénuement de la pensée justifie d'autant moins d'avoir dégradé Sean Penn, l'un des meilleurs acteurs de sa génération, en Hemingway discount et Elizabeth Hurley, l'une des plus belles d'entre les femmes, en potiche sexuelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Les séquences situées au XIXe siècle s'avèrent confondantes de niaiserie, les comédiennes surjouant des situations de mélo à la limite du pathos et la reconstitution reposant sur une enfilade de clichés.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
Deux films se battent à l'intérieur du même (...). Après force évitements, les deux films finissent par se rejoindre un soir de tempête. Seul, aucun des deux ne tiendrait. A deux, ils coulent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Si au départ, on est légèrement rebuté par la construction parallèle du récit, trop systématique, à la longue une indéniable fascination se fait jour. Pourquoi ? En raison du caractère extrêmement poussé du montage, qui ne se contente pas d'alterner platement les séquences rétro et moderne, mais finit par les entrechoquer, les enchevêtrer à un tel point qu'une belle confusion finit par régner sur cette double histoire. (...) Intensément lyrique.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Kathryn Bigelow réinvente l'abstraction lyrique et réussit mieux que son ex, James Cameron, son petit Titanic.
Cahiers du Cinéma
Bigelow ne réussit jamais complètement à transformer ce procédé littéraire en dispositif cinématographique.
Cine Libre
Le Poids de l'eau a même tendance à peser tout court. Malgré tout, l'approche littéraire du film – références, citations dans les dialogues et voix off –, les images soignées et imprégnées de poésie, confèrent à ce film un petit charme certain, celui d'une brise d'été qui effleure plus qu'elle ne touche.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
Adapté d'un roman d'Anita Shreve, le film de Kathryn Bigelow joue sur l'atmosphère, le soleil de plomb et les enjeux troubles et troublants que représentent l'amour et la séduction. Mais, malgré un fonds commun traitant de jalousie et d'insatisfaction, les deux histoires sont bizarrement éloignées et l'on a la sensation d'assister à deux films en un.
MCinéma.com
Ces rancoeurs qu'on découvre petit à petit sont passionnantes. Mais, n'évoluant pas tellement, elles ne nous tiennent pas en haleine pendant tout le film, qui s'avère trop long. Le bateau de Bigelow prend donc un peu l'eau, même s'il nous offre un beau voyage.
Première
A l'instar du titre, jamais vraiment explicité mais ressenti à chaque moment, Bigelow, qui signe ici son film le plus intimiste, a laissé proliférer les zones d'ombre. Un parti pris qui peut dérouter.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
La réalisatrice Kathryn Bigelow (...) était fort attendue (...) sur ce nouveau polar adapté du livre d'Anita Shreve, d'autant que son casting faisait saliver à l'avance : Sean Penn, Catherine McCormack, Sarah Polley ou Elizabeth Hurley. Pourtant, si elle sait installer rapidement une ambiance, si les flash-backs sont réussis, le tout manque de fluidité et s'écoule sans retenir l'intérêt.
Chronic'art.com
(...) entre petit film indépendant chic et toc et lourde fable sociologique, Le Poids de l'eau se noie dans un torrent d'artifices fumigènes et stériles.
Le Monde
Tant de poudre aux yeux jetée pour aboutir à ce cynique dénuement de la pensée justifie d'autant moins d'avoir dégradé Sean Penn, l'un des meilleurs acteurs de sa génération, en Hemingway discount et Elizabeth Hurley, l'une des plus belles d'entre les femmes, en potiche sexuelle.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
Les séquences situées au XIXe siècle s'avèrent confondantes de niaiserie, les comédiennes surjouant des situations de mélo à la limite du pathos et la reconstitution reposant sur une enfilade de clichés.
Télérama
Deux films se battent à l'intérieur du même (...). Après force évitements, les deux films finissent par se rejoindre un soir de tempête. Seul, aucun des deux ne tiendrait. A deux, ils coulent.