Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Film de l'équilibre définitif, en somme, où le toc et la grâce, le prodige et la simplicité se fondent en une sarabande féerique et multicolore.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinéastes
par Vincent Malausa
Incandescent, bouleversant, Big fish est la première grosse claque de 2004.
Fluctuat.net
par Gilles Lyon-Caen
En des variations infimes ou une équivalence sublime, Big Fish va jusqu'à cristalliser finalement l'essence même du cinéma. Il constitue moins une illusion propre aux images qu'un grand jeu de dupes, dont l'amour régule ordre et désordre (...) Big fish est un splendide trompe-l'oeil.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Ecran Fantastique
par Stéphanie Vandevyver
Universelle, cette oeuvre à l'imagination intelligente et habile qui vise l'enfant à l'intérieur de chaque adulte, sans insulter l'intelligence de l'un ou de l'autre, a trouvé l'équilibre parfait entre l'ampleur épique des contes et l'histoire plus simple et plus intimiste de cette famille.
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
(...) Tim Burton signe une féerie où la vie se révèle plus grande que le rêve. Merveilleux.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Un film cent pour cent burtonien. Il y a dans ce Big Fish, tous les éléments de l'univers de l'étrange et échevelé Mister Tim. Fantaisie, rêverie poétique, fantastique, romanesque, magie, humour, merveilleux (...) Big Fish est un voyage homérique, une aventure extraordinaire (...)
Le Parisien
par Alain Grasset
Tout en convoquant des poissons volants, une sorcière, un géant et des loups-garous, le réalisateur fait preuve d'une maturité nouvelle et recourt volontiers à l'ironie. Tantôt drôle, tantôt touchant, " Big Fish " surprend par son originalité et sa folie.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Olivier de Bruyn
(...) l'imaginaire burtonien explose d'inventions diverses et la mise en scène, comme aux plus belles heures, rappelle que La Planète des Singes, opus par ailleurs non dépourvu de qualités, n'était qu'un accident de parcours (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) ce superbe film instille un délicieux parfum de nostalgie et permet à Tim Burton de renouer avec la magie de ses plus grandes oeuvres d'antan, le formidable Edward aux mains d'argent en tête. Du bonheur en bobine.
Aden
par Philippe Piazzo
Emouvant hommage à son propre père, mort il y a quatre ans, et délicieux cantique du bonheur, Big Fish reprend tous les thèmes chers à Tim Burton (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Big fish est l'auto-analyse d'un conteur, une méditation teintée de gueule de bois sur l'acte de raconter une histoire et la lente combustion de ceux qui mettent tant d'énergie à ce qu'on y croie. Un film extrêmement personnel et touchant, en somme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Avec ses jouissives créatures, son casting d'étoiles (Albert Finney étincelant) et ses multiples péripéties, Big fish fleure bon l'innocence et la poésie. Alors, tant pis si Burton le gamin est devenu sage. L'essentiel est qu'il soit toujours un enfant.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Avec Big fish, nouvelle pêche miraculeuse, Burton signe une de ses oeuvres les plus personnelles et les plus profondes, et se confirme comme le grand enchanteur du cinéma américain d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Synopsis
par Virginie Apiou
Logiquement moins intéressé lorsqu'il filme la vie quotidienne, Tim Burton s'envole littéralement lorsqu'il s'agit de la sublimer pour atteindre un niveau de récit totalement imaginaire et universel.
TéléCinéObs
par François Forestier
Burton s'amuse : il renoue avec le ton d'Edward aux mains d'argent. C'est gai, c'est triste, c'est bien.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Isabelle Régnier
Belle échappée, Big Fish n'est pas le film le plus inspiré de son auteur ni le plus libre. Il peut s'intégrer à son oeuvre comme un métafilm, l'allégorie d'un cinéma où la vérité prend racine au coeur d'univers fictionnels délirants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Antoine de Baecque
(...) on soupire parfois à la vision de ce conte optimiste et ensoleillé, regrettant les sombres cavalcades perdues, les morts vivants ou les demeures gothiques enténébrées. Mais il y a dans Big Fish des rencontres étonnantes et quelques plongées profondes en Burtonie.
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
La gêne provient d'une part d'une pratique de l'autocitation comme mise à distance du style (...) D'autre part, l'économie à quoi Burton avait habitué s'annule dans le passage à une forme plus traditionnelle de superproduction américaine.
Télérama
par Frédéric Strauss
La démonstration est poussive. Tout, des personnages aux décors, martèle le même message : il faut garder son innocence, sa capacité d'émerveillement (...) En cherchant à se renouveler, Burton a perdu ses moyens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Film de l'équilibre définitif, en somme, où le toc et la grâce, le prodige et la simplicité se fondent en une sarabande féerique et multicolore.
Cinéastes
Incandescent, bouleversant, Big fish est la première grosse claque de 2004.
Fluctuat.net
En des variations infimes ou une équivalence sublime, Big Fish va jusqu'à cristalliser finalement l'essence même du cinéma. Il constitue moins une illusion propre aux images qu'un grand jeu de dupes, dont l'amour régule ordre et désordre (...) Big fish est un splendide trompe-l'oeil.
L'Ecran Fantastique
Universelle, cette oeuvre à l'imagination intelligente et habile qui vise l'enfant à l'intérieur de chaque adulte, sans insulter l'intelligence de l'un ou de l'autre, a trouvé l'équilibre parfait entre l'ampleur épique des contes et l'histoire plus simple et plus intimiste de cette famille.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) Tim Burton signe une féerie où la vie se révèle plus grande que le rêve. Merveilleux.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un film cent pour cent burtonien. Il y a dans ce Big Fish, tous les éléments de l'univers de l'étrange et échevelé Mister Tim. Fantaisie, rêverie poétique, fantastique, romanesque, magie, humour, merveilleux (...) Big Fish est un voyage homérique, une aventure extraordinaire (...)
Le Parisien
Tout en convoquant des poissons volants, une sorcière, un géant et des loups-garous, le réalisateur fait preuve d'une maturité nouvelle et recourt volontiers à l'ironie. Tantôt drôle, tantôt touchant, " Big Fish " surprend par son originalité et sa folie.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
(...) l'imaginaire burtonien explose d'inventions diverses et la mise en scène, comme aux plus belles heures, rappelle que La Planète des Singes, opus par ailleurs non dépourvu de qualités, n'était qu'un accident de parcours (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
(...) ce superbe film instille un délicieux parfum de nostalgie et permet à Tim Burton de renouer avec la magie de ses plus grandes oeuvres d'antan, le formidable Edward aux mains d'argent en tête. Du bonheur en bobine.
Aden
Emouvant hommage à son propre père, mort il y a quatre ans, et délicieux cantique du bonheur, Big Fish reprend tous les thèmes chers à Tim Burton (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Big fish est l'auto-analyse d'un conteur, une méditation teintée de gueule de bois sur l'acte de raconter une histoire et la lente combustion de ceux qui mettent tant d'énergie à ce qu'on y croie. Un film extrêmement personnel et touchant, en somme.
MCinéma.com
Avec ses jouissives créatures, son casting d'étoiles (Albert Finney étincelant) et ses multiples péripéties, Big fish fleure bon l'innocence et la poésie. Alors, tant pis si Burton le gamin est devenu sage. L'essentiel est qu'il soit toujours un enfant.
Positif
Avec Big fish, nouvelle pêche miraculeuse, Burton signe une de ses oeuvres les plus personnelles et les plus profondes, et se confirme comme le grand enchanteur du cinéma américain d'aujourd'hui.
Synopsis
Logiquement moins intéressé lorsqu'il filme la vie quotidienne, Tim Burton s'envole littéralement lorsqu'il s'agit de la sublimer pour atteindre un niveau de récit totalement imaginaire et universel.
TéléCinéObs
Burton s'amuse : il renoue avec le ton d'Edward aux mains d'argent. C'est gai, c'est triste, c'est bien.
Le Monde
Belle échappée, Big Fish n'est pas le film le plus inspiré de son auteur ni le plus libre. Il peut s'intégrer à son oeuvre comme un métafilm, l'allégorie d'un cinéma où la vérité prend racine au coeur d'univers fictionnels délirants.
Libération
(...) on soupire parfois à la vision de ce conte optimiste et ensoleillé, regrettant les sombres cavalcades perdues, les morts vivants ou les demeures gothiques enténébrées. Mais il y a dans Big Fish des rencontres étonnantes et quelques plongées profondes en Burtonie.
Cahiers du Cinéma
La gêne provient d'une part d'une pratique de l'autocitation comme mise à distance du style (...) D'autre part, l'économie à quoi Burton avait habitué s'annule dans le passage à une forme plus traditionnelle de superproduction américaine.
Télérama
La démonstration est poussive. Tout, des personnages aux décors, martèle le même message : il faut garder son innocence, sa capacité d'émerveillement (...) En cherchant à se renouveler, Burton a perdu ses moyens.