Un peu trop lisse mais réaliste et touchant. Quel plaisir de retrouver Anthony Hopkins dans ce personnage introverti, tout en émotion… L’image est soignée, les décors nous invitent à rentrer dans cet épisode de l’histoire qui nous rappelle l’importance du positionnement et de l’engagement.
Bien sûr l’émotion suscitée par cette histoire cache un peu le côté technique du film ( plans, montage etc). Mais les flash backs sont bien faits et souvent pertinents. Les acteurs remarquables ( une mention spéciale pour la maman de Nicky.
A voir absolument aussi en raison du contexte de l’époque. France Italie et Uk ont accepté la main mise sur les sudetes et rien dit qd hitler à envahi Prague. Ça ne vous dit rien?
C’est une bien belle idée et histoire au départ ! Hopkins est comme à son habitude très juste et touchant Il reste pourtant la sensation d’une histoire pas suffisamment exploitée, avec un rythme un peu en dessous là où nous aurions aimé vivre de plus près les actions et le courage de ces personnes qui ont risqué leur vie
Ce film traite d'une histoire forte, forcément extrêmement émouvante mais n'est pas Spielberg qui veut. La construction du film, le scénario fait plus penser à un documentaire, plutôt fade, sans grandes émotions. Certaines scènes auraient pu être sublimées malheureusement ce n'est pas le cas. Oui la dernière scène nous serre les tripes mais c'est 2 mn sur 105 mn que dure le film.
Bouleversant. Bien que la presse trouve le film trop académique , il ne saurait en être autrement. Une merveilleuse réalisation au service d'acteurs habités d'émotions. Il y a longtemps que je n'ai pas été pris aux tripes devant un film. Nous vivons malheureusement une période qui pourrait bien nous rappeler un passé pas si lointain.☹️ Du mal à m'en remettre émotionnellement. A ne pas louper en salle. ⭐⭐⭐⭐½. Formidable.
Une telle histoire vraie méritait probablement son film de cinéma. Et « Une vie » rend un très bel hommage à ce jeune britannique qui en a sauvé près de 700 à Prague à l’aube de la Seconde Guerre Mondiale. Mais le matériau de base semblait peut-être un peu léger pour soutenir la durée d’un long-métrage alors les scénaristes ont choisi adroitement de faire se dérouler le film sur deux époques. La partie sauvetage de ces jeunes enfants juifs à la fin des années 30 alterne donc avec une autre à la fin des années 80 quand une célèbre émission de télévision décida de faire se retrouver Nicholas Winston et ces rescapés, devenus adultes, sur le plateau. Un choix judicieux permettant de rendre le récit plus rythmé grâce à un montage alterné plutôt convaincant. Et si le film flirte clairement avec l’hagiographie, c’est ici pleinement justifié au regard de ce que cet homme a accompli par pur bonté d`âme.
Et que dire du choix d’Anthony Hopkins... S’il y avait bien un comédien à même d’incarner une telle figure c’était bien lui, même si on aurait également bien vu un Michael Caine, qui a cependant pris sa retraite récemment. Mais Hopkins nous offre encore une belle prestation pleine d’humanisme et de justesse après celle de haut vol qu’il nous avait réservé il y a quatre ans avec « The Father » et qui lui a valu un Oscar. L’acteur se glisse avec beaucoup de tact et de respect dans la peau de cet homme simple et pétri d’humilité. Rien que son regard et ses larmes disent mille fois plus que des mots. À ses côtés, de nombreux seconds rôles de luxe (Helena Bonham Carter, Jonathan Pryce, Lena Olin, Marthe Keller, ...) lui donnent le réplique (ou pas si c’est un protagoniste issu du passé) avec tout autant de réussite. La mise en scène est certes très académique, tout comme l’est « Une vie » dans son ensemble, mais cela sied parfaitement au récit alors on ne va pas chipoter sur ce point. Si le film n’a pas la puissance de « La Liste de Schindler » sur une histoire similaire il fait son travail de mémoire et nous rappelle comment un seul acte de bonté peut avoir d’immenses (et belles) répercussions.
Avec pareille histoire on pouvait craindre que tout cela soit tire-larmes et verse dans le chantage à l’émotion. Et, en effet, difficile de retenir ses larmes à plusieurs reprises. Mais sans que cela sombre dans un pathos excessif ou de mauvais goût. La séquence sur le plateau de télévision quand Winston découvre qu’il est assis à côté de ceux qu’il a sauvé est bouleversante et nous prend retourne le cœur. C’est beau à en pleurer. Et on pleure. Peut-être même plus que dans les séquences à Prague, tout aussi émouvantes, mais qui font partie désormais de scènes maintes fois vues sur le grand écran tant cette période a été traitée des centaines de fois. « Une vie » est donc un beau moment de cinéma, fort et poignant. La reconstitution d’époque est de qualité et tout est mis en branle pour que l’on ressente l’importance des actes de cet homme. Et qu’on en prenne exemple pour un bon petit moment de cinéma et d’émotion.
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Assez larmoyant... mais avec moi ça marche. Quelle histoire magnifique et quel grand acteur encore ce Anthony Hopkins. Cela manque parfois de cinéma mais l'histoire l'emporte.
C’est un film magnifique qui n’insiste pas trop sur l’émotion mais véritablement sur le courage, la volonté de Nicolas Winton. Les scènes dans les camps nous touchent à tel poing qu’il est difficile de rester insensible à leur douleur. Ils sont si mignon à sourire et si triste.
Un Anthony Hopkins toujours fascinant et très touchant. Il est malheureusement le seul dans ce film. Un scénario qui cherche perpétuellement la larme, une mise en scène un peu surfaite, et malheureusement un sujet mal exploité. Décevant quand on a aimé The Father 🍃
Bouleversée par "Une vie". (One life) Sir Nicholas Winton, vous ne demandiez rien, vous méritez tellement.Un exemple de détermination, de courage, d'humanité et d'humilité. Anobli par la reine Élisabeth pour services rendus à l'humanité, décoré et récompensé par de nombreuses distinctions, il refuse le titre de héro. Allez à la rencontre de cet homme dans ce film si possible sans regarder la bande originale, ayez confiance, vous serez émus. Thanks James Hawes