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Le barbouze
2 abonnés
21 critiques
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5,0
Publiée le 20 mars 2024
Les mots manquent….On sort de la salle dans un état d’esprit totalement différent. La qualité esthétique du fil n’est rien à côté de sa dimension émotionnelle.
Sur un sujet on ne peut plus fédérateur et universel, le film passe complètement à côté de son objectif. Je n'ai ressenti aucune émotion à la vue de ce film ce qui provient à mon sens d'une absence de réflexion totale sur la mise en scène. Dès le début, on ne comprend pas pourquoi ce trader sans histoire veut aller à Prague et devient comme par enchantement le chef du service des réfugiés. Ces derniers sont par ailleurs tous propres et bien coiffés et très bien élevés lorsque Winston leur tend un morceau de chocolat. Le film élague systématiquement les parties intéressantes de l'histoire : comment les enfants ont pu traverser l'Allemagne et la Hollande sans problèmes, comment Winton a influencé voire graisser la patte des autorités etc. Là où Polanski et même Spielberg avaient réussi à rendre crédible et réaliste cette période, le réalisateur ici échoue totalement et on a de la peine pour le vrai Nicholas Winton.
Si on ose le comparer à "la liste de Schindler" ,et bien c'est très en dessous. Le film n'est pas assez percutant, trop lent et monotone. On cherche absolument a faire pleurer avec des musiques tout en longueur agaçante. Mais ça fonctionne, certain(e)s vont pleurer ( facile avec des enfants), et c'est le but recherché. Anthony Hopkins fait le job, mais ça manque de rythme à un tel point que finalement le réalisateur a vouloir tout montrer , en oublie les nazis. Ça se regarde d'un point de vue historique, c'est tout.
Très beau film qui nous permet de prendre connaissance d'un acte héroïque relativement méconnu et c'est tout le mérite de ce film de le rappeler! Les prises de vue, les décors contribuent à restituer toute la tension de ce moment de l'Histoire, avec un grand H. A. Hopkins, comme l'acteur qui le représente en plus jeune, contribuent à la crédibilité du film. A voir absolument.
Ce biopic dramatique sobrement intitulé « Une vie » est très beau et intense, ce qui lui permet d’être agréable sans en faire des tonnes. La performance d’Anthony HOPKINS est incroyable, le reste du casting est à la hauteur et le réalisateur possède un bon sens du rythme pour raconter cette histoire.
Il est toujours difficile de traduire l’histoire d’une personne qui a réalisé des actions qui paraissent normales mais tellement cruciales pour la survie des autres et c’est ce qui est réalisé dans ce film de James Hawes. Certes, il y a des longueurs et certaines parties du film auraient pu être moins scolaires et lisses malgré le sujet traité.
On retiendra l’émotion de la musique et la performance toujours exceptionnelle d’Anthony Hopkins qui a lui seul, donne la profondeur à ce très beau film mais qui n’arrive pas à la hauteur des films comme Le Pianiste et La Liste de Shindler.
impossible de ne pas verser une larme devant ce film hommage à un personnage méconnu de l'histoire. Un grand homme justement sorti de l'anonymat 50 ans après les faits.
Octobre 1938, la Tchécoslovaquie se retrouve fragmentée aux prémices de la 2nd guerre mondiale : Hitler, poursuivant les objectifs pangermanistes, exige de Prague, l'annexion au troisième Reich de la région des Sudètes, après les accords de Munich du mois de Septembre. Un homme, le courtier londonien Nicholas Winton, incarné par l'éblouissant Anthony Hopkins, va sauver d'une fatalité inexorable 669 enfants juifs tchécoslovaques au moment où Prague est en proie à une invasion imminente des nazis. Le réalisateur va nous narrer l'histoire de Winton, souvent surnommé le Schindler britannique au travers les yeux d'un vieil homme tourmenté par son passé et surtout par le devenir de tous ces enfants sauvés d'une déportation certaine. Au moment des faits, il a permis leur adoption par des familles britanniques. Via la technique narrative du flash-back, le spectateur se retrouve enchevetré dans un présent meutri par la pesanteur d'un passé douloureux. La dissociation des deux versions de Winton à cinq décennies d'intervalle (celle du jeune Winton incarnée avec brio par Johnny Flynn) permet au réalisateur James Hawes d'insister sur la dimension humaine du protagoniste. Nous pouvons tout de même faire un petit clin d'œil à l'actrice Helena Bonham Carter qui malgré son rôle secondaire nous subjugue par sa justesse dans l'interprétation d'une mère aimante, inquiète mais tellement impliquée dans les actions salvatrices de son fils. Le film s'appuie avec fidélité sur l'ouvrage "If It's Not Impossible…The Life of Sir Nicholas Winton" de Barbara Winton, la fille de Nicholas Winton.
Vous pouvez retrouver l'intégralité de mes critiques de films sur les pages Facebook Cin&series Timeless et Instagram @cineseriestimeless.
Emouvant et prenant. C'est le genre d'histoire de vie qu'on devrait mettre en avant dans les cours d'histoire. Cela redonne un peu de foi à la nature humaine et montre à quel point les actions des "gens du peuple" ont de grands effets et changent parfois le cour des choses.
Vie-visection de l aide humanitaire quand la terre ne touche plus le sol. l'air de rien ,l humanite ex-sangue redevient sol-air par la grace d'un etre qui ne peut (etre) que par son amour des etres ,comme un sol-stice d'univers-satil.
Du grand Anthony Hopkins, un film tiré d'une histoire réel, une émotion à vous faire sortir les mouchoirs, j'ai vraiment adoré ce film, énorme respect à tous ces héros de cette période sombre.
L'empathie et le respect pour les faits, c'est a dire la personne dont l'histoire est révélée Nicholas Winton ne doit pas primer sur ce que l'on attend d'un film et être confondu. Donc pour résumer révélation d'un homme remarquable et un film qui n'a rien d'exceptionnel. un plaisir voir Anthony Hopkins même si on peut se demander s'il n'est pas là pour être en tête d'affiche puisque la partie historique est jouée par Johnny Flynn. Une réalisation un peu lourde téléphonée.
Un film surévalué le fond l'emportant sur la forme.
Vu le 03/03/2024 avec Anthony Hopkins. L’histoire de Nicholas Winton, juif allemand, qui à Prague en 1938, alors que la ville est sur le point de tomber aux mains des nazis, sauve 669 enfants juifs des griffes de l’envahisseur. Des 5 biopics vu en mars, ce dernier a ma faveur car l’histoire est d’une intensité dramatique, lié au fait que l’histoire de ce « Schindler britannique » n’a été révélé qu’en 1988.
Magnifique, ce film est bluffant d'émotions , on connaissait l'histoire et ce film retrace avec émotions cet évènement. Anthony Hopkins est un de nos acteurs préférés et là, on aodre on a pleuré, c'est dire !