Un documentaire Netflix qui va plaire aux Blinks (fans de Blackpink)…
Si je ne doute pas que les extrêmes fans soient déjà au courant que ce docu existe sur Netflix, je reviens néanmoins sur ce que vous réserve Light Up The Sky.
Ce film est complet. Et avant toute chose, je vous le dis : IL FAUT ABSOLUMENT LE VOIR.
Même ceux qui n’ont ne serait-ce qu’une once d’amour pour la musique seront conquis.
Tout d’abord, on en apprend plus sur ce groupe de K pop qui existe depuis 2016.
Qui est formé de quatre filles, depuis 2016, mais qu’il est en réalité fondé bien avant…
Car si l’industrie de la pop coréenne fait se déplacer bien des foules, tout y est contrôlé, millimétré, et tout s’y fait dans l’ombre… Les adolescents sont castés, puis entrent en «formation».
Ils attendent de se lancer, qu’on leur attribue des partenaires. Cela peut prendre quelques mois, mais aussi une dizaine d’années.
Ce qui semble faire la spécificité de ce groupe, c’est qu’il est varié :
Rosé, vient Nouvelle Zélande, et a grandi en Australie.
Jisoo est une coréenne « pure souche ». Elle a toujours habité la Corée, dans le quartier Sanbon de Gunpo, dans la province de Gyeonggi- do.
Jennie est née en Corée, a vécu à Séoul jusqu’à ses 10 ans, mais est partie vivre seule en Nouvelle Zélande pendant 5 ans, sans sa mère dont elle était proche.
Lisa, quand à elle, est la seule Thaïlandaise du groupe.
Elle est née dans la province de Buriram, puis a passé son enfance à Bangkok. C’est une des deux rappeuses, et la première danseuse.
Les quatre amies ont toutes reçues au moins 4 ans de formation, 6 pour Jennie.
Au cours des séquences, on tombe amoureux des Blackpink.
Ces mouvements énergiques, les mélodies entêtantes : on aime.
Mais on découvre aussi un côté bien plus sombre qu’on ne soupçonnait pas (ou peu).
Elles sont conditionnées. Parfois 14 heures d’entraînement par jour lors de leur apprentissage, pas de tatouages, ne pas fumer, ne pas boire, pas de petit ami.
Ce sont les conditions pour percer.
Les femmes se confient petit à petit, font tomber le masque « Chaque mois, je disais au revoir à une énième camarade qui m’était chère », «On était notées et évaluées, en groupe et individuellement », « ils m’ont humiliée devant toutes les autres en me disant que je n’étais pas douée ».
Rosé a des problèmes de sommeil, et ronge sur son temps libre pour faire du piano.
On est pris de compassion pour les Blackpink qui ont toutes failli renoncer au moins une fois.
Malgré tout, cela se voit que c’était leur rêve . Leurs sourires, les étoiles qu’elles ont dans les yeux lorsqu’elles parlent de leur tournée à Coachella. Les moments de rigolade, les essayages et les chansons.
Derrière ce film, un message d’espoir : persévérer vous fera triompher.