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    El buen patrón
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    3,9
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    144 critiques spectateurs

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    Christophe L
    Christophe L

    16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juin 2022
    Tellement pas drôle... humour du siecle dernier. On joue avec excès sur le paternalisme. Pas de nuances. Il y a même de la scatologie mais je n'ai plus 5 ans...Quelques idées sont même glauques.
    Heureusement qu'il y a Javier Bardem !
    Steadyllic
    Steadyllic

    22 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2022
    Un vrai régal d'humour et de dérision. Le bon vieux statut de patron paternaliste est dynamité par Javier Bardem au mieux de sa forme et par une pléiade picaresque de comédien(ne)s excellents. On s'attache à tous les personnages. Ils sont sont attachants, même les plus ridicules. C'est grinçant, désopilant, profond, joyeusement cynique et réalisé de main de maître. Il faut vraiment y courir. J'en ai encore mal aux zygomatiques. Et pour atteindre les cent caractères, je le répète, vraiment un très bon film...😜
    norman06
    norman06

    354 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 juin 2022
    Cette comédie sympathique, satire du monde de l'entreprise, ne manque pas d'atouts, à commencer par l'interprétation de Javier Bardem en chef d'entreprise paternaliste et faux-cul. Mais le scénario ne tient pas ses promesses et s'enlise dans le comique de répétition.
    aldelannoy
    aldelannoy

    41 abonnés 346 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2022
    Bon petit film. A peine plus que le scénario d'un téléfilm mais tout cela est très bien réalisé avec un scénario parfaitement équilibré, le terme juste ici puisque l'on fabrique des balances. Un côté très italien des grandes années 1950-60 pour ce film espagnol. Beaucoup de talent, prometteur.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    145 abonnés 2 439 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2022
    La réalisation manque de rythme et les personnages ne sont pas tous intéressants mais l'ensemble est convenable.
    Damien Vabre
    Damien Vabre

    166 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    Comment gérer un licenciement difficile? Un patron peut-il avoir une relation avec une stagiaire? Jusqu'où peut-on tolérer la déchéance d'un salarié fidèle? Dans ses histoires, El Buen Patron ressemble à un "Manuel sur la vie d’un patron" sur grand écran. Il repose essentiellement sur un suspense psychologique: ce chef d’entreprise est-il respectable ou cynique?

    Pendant une première heure un peu lente, Blanco (Javier Bardem) montre à travers une pédagogie forcée son obsession de l’équilibre avec comme symbole une balance, il s’agit de l'objet produit par son usine. Cette métaphore facile est tellement répétée qu'elle en devient pénible. Dans une deuxième heure plus dynamique, le patron doit résoudre les conflits et ses choix radicaux ne devraient pas surprendre beaucoup de spectateurs. Ce film de Fernando Leon de Aranoa possède d’indéniables qualités de réalisation, de musique et de montage mais s’appuie trop sur la virtuosité de Javier Bardem au point de délaisser les seconds rôles, la satire féroce du monde du travail finit par se faire bouffer par le grand numéro d’acteur.
    claudiebois
    claudiebois

    3 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juillet 2022
    J'ai adoré, excellent scenario sur le monde de l'entreprise, c'est drôle émouvant pathétique et vachard etc
    Jorik V
    Jorik V

    1 282 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2022
    Ce film espagnol a été le dernier triomphe à la cérémonie des Goyas espagnols où il a reçu pas moins de six prix. Et on peut dire que si « El buen patron » n’est pas à proprement parler un chef-d’œuvre, il les mérite. De prime abord, ce long-métrage semble quelque peu difficile à appréhender et à apprivoiser. On ne sait pas trop si l’on est dans une comédie ou un drame ou même, parfois, presque un suspense. Les spectateurs que nous sommes aimons à ranger bêtement les films dans des cases, à être en terrain connu ou savoir à quoi se raccrocher alors qu’il est si bon de se laisser aller. Il faut donc ne pas se poser de questions et se laisser conter cette œuvre à forte connotation sociale sur le monde impitoyable du travail et sur les travers de la nature humaine, ici celle d’un patron en apparence bien sous tous rapports, d’où le titre à double sens, qui n’est finalement pas l’homme si irréprochable que l’on croit.

    En effet, Blanco semble être un bon patron. En tout cas, il fait tout pour. Mais lorsqu’il attend une visite d’une commission pour obtenir un prix d’excellence et des subventions et que plusieurs grains de sable viennent se mettre en travers de son chemin, il va petit à petit perdre son sang-froid, sa gentillesse et ses valeurs. Pourtant, en temps normal, on peut dire que c’est un excellent dirigeant. La force de « El buen patron » est donc d’être toujours dans le gris et d’éviter tout manichéisme. Ce personnage joué par un Javier Bardem méconnaissable est écrit avec beaucoup de soin. Cela en fait un personnage humain au possible et très réaliste. Ni adorable, ni détestable, juste un homme avec ses forces et ses faiblesses, ses qualités et ses défauts. Ce n’est à la base pas un salaud mais il peut le devenir si on le pousse dans ses retranchements. L’acteur offre une incarnation royale de cet homme, bourré de nuances. Il n’en fait pas trop mais n’hésite pas de s’essayer à quelques propositions de jeu à chaque fois étincelantes. Une grande composition pour l’acteur espagnol.

    Et tout le film est de cet acabit. Notamment dans l’écriture d’un scénario très fin et millimétré dont la tension monte crescendo jusqu’à une dernière partie féroce et méchante. On retiendra notamment la séquence au montage alterné sous les airs du ballet de Roméo et Juliette où tout part en vrille de manière tragique et un peu drôle à la fois. Les dialogues et les situations sont extrêmement plausibles et écrites de manière ciselée pour poser un constat imparable sur le monde du travail et faire de « El buen patron » une critique acerbe de ce monde de plus en plus violent psychologiquement. Le film est peut-être découpé inutilement en chapitres quotidiens qui le ralentissent et font ressortir inutilement son découpage en chapitres. Il est également trop généreux en durée, il y a des longueurs parfois qui font qu’on trouve le temps long à une ou deux reprises. Mais cela reste du grand cinéma et on apprécie toutes les références à la précision en rapport avec l’entreprise où se déroule l’action (une entreprise de fabrication de balances de précision). Original, inattendu et intelligent, c’est du cinéma sérieux qui distrait son spectateur tout en se montrant contemporain et critique envers son époque.

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    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    65 abonnés 985 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    C’est une délicieuse parodie de l’entreprise paternaliste et un brin machiste où Javier Bardem excelle comme patron peu à peu dépassé par les événements qui lui tombent dessus. Son machiavélisme sournois s’impose dans une totale hypocrisie où le salarié licencié, le gardien accommodant ou le responsable de production viennent perturber la « famille » que ce dirigeant pensait maîtriser. C’est jubilatoire, acerbe et terriblement ravageur.
    Arthus27
    Arthus27

    98 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2022
    Multi primé aux Goya, El buen patron est un film extrêmement calibré. A l'image de son personnage principal, interprété par le brillant Javier Bardem, le réalisateur parvient à garder un équilibre quasi parfait dans sa mise en scène.
    jackflash
    jackflash

    15 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juillet 2022
    Ce film présenté comme une comédie est en réalité construit comme une fable. Celle de la difficulté voire l'impossibilité de concilier pour un patron mais pas seulement, les contraintes économiques de l'entreprise, fût-elle familiale, et celles de l'univers libidinal et affectif. Le mélange des genres de ces deux domaines antinomiques conduit à des situations tragicomiques prétextes en rebondissements. Un film plaisant et bien tourne qui par temps de canicule se laisse voir. 
    3 étoiles 12/20
    phil34
    phil34

    20 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2022
    C'est long à démarrer, et ça ne démarre qu'à la fin ... mais ça fonctionne, une vraie comédie qui fait du bien. Surprises, et autres sont là . Acteurs bons, un bon moment, ne pas couper au début faut insister !!!
    Audrey L
    Audrey L

    654 abonnés 2 596 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2022
    Javier Bardem est en très grande forme, on le sent bien, tant El Buen Patron doit à sa capacité à jouer à merveilles ce patron gorgé d'hypocrisie, prêt à tout pour avoir le Prix d'Excellence des firmes nationales, quitte à écrabouiller ses employés sans scrupules. Radin, faussement soucieux de ses employés (seulement si cela peut bénéficier à l'entreprise, sinon il s'en fiche), avec un goût certain pour le profit de son statut supérieur (il connaît tout le monde, a le bras long, influence les jeunes femmes qu'il convoite... On adore détester Bardem, il brille tant dans ce rôle d'odieux personnages !). Et là, non seulement El Buen Patron nous rappelle méchamment ce que sont les pires spécimens du patronat, mais fait forcément écho, même à moindre mesure, à celui que l'on a au quotidien, et nous de rire (pure catharsis du petit employé). On adore aussi le montage dynamique, les retournements de situation bien pensés, la musique, l'espace que laisse la caméra à la gueule de Bardem qui lui rend bien : voyez seulement ce patron qui sourit par mécanisme, qui pleure quand cela l'arrange, qui joue du maniérisme des puissants (le ton calme et posé, la main posée sur les épaules au restaurant... Ça nous rappelle presque des politiques...). Le final nous a tapé dans l’œil avec sa séquence de "striptease" devant les jurés du Prix : spoiler: le patron qui se sert des horreurs qu'il a provoquées en les retournant à son avantage, un discours délicieusement immonde que la musique "sexy, parfaite pour un effeuillage réussi" dévoile pour ce qu'il est, un dragueur éhonté devant un public dithyrambique (les jurés) et un public muet (ses employés).
    Le climax du film, que l'on attend depuis le début, et qui ne nous déçoit clairement pas lorsqu'on y arrive ! Aussi la dernière réplique nous a achevé, quand on pensait, sans trop y croire, à un début de rédemption de ce patron, spoiler: maintenant qu'il a son Prix : alors qu'il l'a accroché avec l'aide de l'homme dont il a causé la perte du fiston, le patron se met à pleurnicher, ce qu'on avait naïvement imputé à de la tristesse, s'attendant à la réplique "Ce n'est pas ça qu'on aurait dû accrocher" (mais un souvenir du fils disparu qui lui a permis d'obtenir le Prix), ou même un petit "J'aurais aimé qu'il soit là.", mais non... "Ce n'est pas, un peu...(penché) ?". Il pleure de joie d'avoir obtenu le Prix, et voudrait que le père endeuillé le redresse. Un monstre. Jusqu'au bout : un monstre
    . Cette petite phrase finale achève d'un coup le portrait de ce patron, joyeusement horrible, épouvantablement génial de cynisme, un portrait qui doit tout à l'humour noir grinçant de son scénario, et évidemment à la capacité formidable de Bardem à jouer les ordures dont on n'arrive pas à détourner le regard une seconde.
    brunocinoche
    brunocinoche

    98 abonnés 1 108 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2022
    pamphlet social digne des grandes comédies italiennes des années 70, ce portrait plus qu ambigu d un patron se voulant paternaliste et qui finalement va se révéler plus qu odieux repose sur un scénario bien mené, des dialogues savoureux et une nouvelle grande prestation de la part de Javier bardem.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    80 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2022
    Comédie satirique assez jouissive, qui taille un beau costard au mythe de l'entreprise. Le film est bien écrit, rythmé, et porté par un casting sans faille, mention spéciale à la solaire Almudena Amor.
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