Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La critique sociale acerbe de Fernando Leon de Aranoa récompensée de six Goyas, prend avec l’impeccable Javier Bardem une conséquente épaisseur, avec des changements de ton continus et subtils, un équilibre entre une ironie mordante et quelque chose de beaucoup plus profond (...)
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un savoureux numéro de funambule.
L'Humanité
par Marie-José Sirach
El Buen Patron est une comédie noire montée sur ressort qui parle sans faux-semblant de la violence du monde du travail. Leon de Aranoa brouille les pistes, parvient à nous rendre sympathique ce patron pervers au sourire de façade. Il a compris que l’humour peut être une arme d’insoumission massive.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
« Merci, patron ! », chantaient naguère les Charlot. Leur esprit parodique aurait pu servir de bande-son à cette désopilante comédie espagnole, satire d’un certain paternalisme, incarné par un Javier Bardem au sommet de son art.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avec El Buèn Patron , comédie satirique grinçante sur le petit monde de l’entreprise, Javier Bardem se livre avec une visible délectation à petit jeu de massacre social raffiné et cruel.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Javier Bardem fait des étincelles en PDG paternaliste et maladroit d’une entreprise où tout part à vau-l’eau. Une comédie sociale particulièrement savoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Plus le film avance, plus Javier Bardem, méconnaissable avec ses grosses lunettes et son allure de patron provincial propre sur lui, dessine le portrait d’un salaud dont l’agacement va aller croissant avec la précipitation de misères qui s’abattent sur lui. Mais il campe ce détestable personnage tout en finesse (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans « El Buen Patrón », un film qui rappelle plus d'une fois la férocité des comédies italiennes de l'âge d'or, Fernando León de Aranoa dresse le portrait au vitriol d'un patron paternaliste incarné à merveille par Javier Bardem. Une prestation et un film hautement recommandables.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste espagnol Fernando León de Aranoa signe une tragi-comédie grinçante mettant en scène les déboires d’un chef d’entreprise faussement sympathique, incarné par un Javier Bardem exceptionnel dans la peau de ce « bon patron » sans foi ni loi. Énorme succès dans son pays.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Javier Bardem est irrésistible dans chaque scène.
Positif
par Dominique Martinez
Sous des allures de petit récit satirique de la vie d’une entreprise, démarre une comédie humaine délicieuse et cruelle. Elle va se déployer au rythme des jours de la semaine et aller crescendo jusqu’à un embrasement de tragédie, comme à l’opéra.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le script du film est un écheveau dont les fils se croisent et se recroisent pour tisser une trame réjouissante...
Voici
par Lola Sciamma
Cette satire sociale donne à Javier Bardem une nouvelle occasion d'exceller dans la bonhomie inquiétante.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une comédie caustique qui avec un mal plaisir décortique la nature profonde d’un patron trop bienveillant pour être honnête et interroge sur la capacité de chacun d’entre nous à se saisir du pouvoir dès lors qu’il est à portée de main.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Savoureuse comédie, qui révèle l’hypocrisie de ce boss paternaliste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Coup de cœur pour ce film aussi savoureux que grinçant de Fernando Leon de Aranoa, qui montre comment un chef d’entreprise paternaliste, pris au piège dans un engrenage implacable, se démène pour le bien-être de sa boîte et de ses employés, mais surtout pour son propre intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
La violence du monde du travail se dévoile derrière des situations et des personnages hélas sans épaisseur. La satire sociale manque d’enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film grouille de vacheries bien senties, d’histoires croustillantes mais aussi très cruelles. On appréciera surtout à sa juste valeur la prestation de Bardem.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
El buen patrón est construit comme une souricière étouffant peu à peu Blanco et de Aranao excelle tout autant dans la montée en puissance de ce piège que dans son déploiement et ses dommages collatéraux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Montrée comme extérieure au petit monde de l’usine, la violence ne cesse d’envahir tout, et chacun l’encaisse en y trouvant son intérêt. Avec cette comédie noire feutrée, le rire est assuré, le trouble aussi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Tout le talent des acteurs est ainsi mis au service du rendement qu’ils peuvent donner dans ce vaudeville qui fait écran à toute idée de classe, tout horizon de révolte. Maigre consolation ou constat lucide, le seul salut possible pour les écrasés se limite ici au malheur des puissants.
Libération
par Sandra Onana
Virant à l’interminable vaudeville dans un dernier tiers arrosé de quiproquos, l’exercice est bien trop bête pour lui prêter la moindre vertu de déconstruction, et, plus impardonnable, serait même du genre à valider les clichés misogynes et stéréotypes de classe qu’il prétend dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dernières Nouvelles d'Alsace
La critique sociale acerbe de Fernando Leon de Aranoa récompensée de six Goyas, prend avec l’impeccable Javier Bardem une conséquente épaisseur, avec des changements de ton continus et subtils, un équilibre entre une ironie mordante et quelque chose de beaucoup plus profond (...)
Femme Actuelle
Un savoureux numéro de funambule.
L'Humanité
El Buen Patron est une comédie noire montée sur ressort qui parle sans faux-semblant de la violence du monde du travail. Leon de Aranoa brouille les pistes, parvient à nous rendre sympathique ce patron pervers au sourire de façade. Il a compris que l’humour peut être une arme d’insoumission massive.
La Croix
« Merci, patron ! », chantaient naguère les Charlot. Leur esprit parodique aurait pu servir de bande-son à cette désopilante comédie espagnole, satire d’un certain paternalisme, incarné par un Javier Bardem au sommet de son art.
Le Dauphiné Libéré
Avec El Buèn Patron , comédie satirique grinçante sur le petit monde de l’entreprise, Javier Bardem se livre avec une visible délectation à petit jeu de massacre social raffiné et cruel.
Le Figaro
Javier Bardem fait des étincelles en PDG paternaliste et maladroit d’une entreprise où tout part à vau-l’eau. Une comédie sociale particulièrement savoureuse.
Le Parisien
Plus le film avance, plus Javier Bardem, méconnaissable avec ses grosses lunettes et son allure de patron provincial propre sur lui, dessine le portrait d’un salaud dont l’agacement va aller croissant avec la précipitation de misères qui s’abattent sur lui. Mais il campe ce détestable personnage tout en finesse (...).
Les Echos
Dans « El Buen Patrón », un film qui rappelle plus d'une fois la férocité des comédies italiennes de l'âge d'or, Fernando León de Aranoa dresse le portrait au vitriol d'un patron paternaliste incarné à merveille par Javier Bardem. Une prestation et un film hautement recommandables.
Marianne
Le cinéaste espagnol Fernando León de Aranoa signe une tragi-comédie grinçante mettant en scène les déboires d’un chef d’entreprise faussement sympathique, incarné par un Javier Bardem exceptionnel dans la peau de ce « bon patron » sans foi ni loi. Énorme succès dans son pays.
Ouest France
Javier Bardem est irrésistible dans chaque scène.
Positif
Sous des allures de petit récit satirique de la vie d’une entreprise, démarre une comédie humaine délicieuse et cruelle. Elle va se déployer au rythme des jours de la semaine et aller crescendo jusqu’à un embrasement de tragédie, comme à l’opéra.
Sud Ouest
Le script du film est un écheveau dont les fils se croisent et se recroisent pour tisser une trame réjouissante...
Voici
Cette satire sociale donne à Javier Bardem une nouvelle occasion d'exceller dans la bonhomie inquiétante.
aVoir-aLire.com
Une comédie caustique qui avec un mal plaisir décortique la nature profonde d’un patron trop bienveillant pour être honnête et interroge sur la capacité de chacun d’entre nous à se saisir du pouvoir dès lors qu’il est à portée de main.
L'Obs
Savoureuse comédie, qui révèle l’hypocrisie de ce boss paternaliste.
Le Journal du Dimanche
Coup de cœur pour ce film aussi savoureux que grinçant de Fernando Leon de Aranoa, qui montre comment un chef d’entreprise paternaliste, pris au piège dans un engrenage implacable, se démène pour le bien-être de sa boîte et de ses employés, mais surtout pour son propre intérêt.
Les Fiches du Cinéma
La violence du monde du travail se dévoile derrière des situations et des personnages hélas sans épaisseur. La satire sociale manque d’enjeux.
Les Inrockuptibles
Le film grouille de vacheries bien senties, d’histoires croustillantes mais aussi très cruelles. On appréciera surtout à sa juste valeur la prestation de Bardem.
Première
El buen patrón est construit comme une souricière étouffant peu à peu Blanco et de Aranao excelle tout autant dans la montée en puissance de ce piège que dans son déploiement et ses dommages collatéraux.
Télérama
Montrée comme extérieure au petit monde de l’usine, la violence ne cesse d’envahir tout, et chacun l’encaisse en y trouvant son intérêt. Avec cette comédie noire feutrée, le rire est assuré, le trouble aussi.
Cahiers du Cinéma
Tout le talent des acteurs est ainsi mis au service du rendement qu’ils peuvent donner dans ce vaudeville qui fait écran à toute idée de classe, tout horizon de révolte. Maigre consolation ou constat lucide, le seul salut possible pour les écrasés se limite ici au malheur des puissants.
Libération
Virant à l’interminable vaudeville dans un dernier tiers arrosé de quiproquos, l’exercice est bien trop bête pour lui prêter la moindre vertu de déconstruction, et, plus impardonnable, serait même du genre à valider les clichés misogynes et stéréotypes de classe qu’il prétend dénoncer.