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Le duo de réalisateurs Cédric Le Gallo et Maxime Govare revient en 2022 pour un nouvel opus des « Crevettes pailletées », une équipe de water-polo gay. Il s’agit d’une suite dont il est tout de même nécessaire d’avoir vu le premier film pour bien appréhender les différents personnages. Après un début prometteur, le récit tombe dans une caricature de la cause LGBT+ avec certaines lourdeurs et invraisemblances scénaristiques. La dénonciation de l’homophobie prend ici une tournure plus engagée, même si l’humour reste la ligne directrice. Bref, une comédie dont l’effet de surprise ne fonctionne plus malgré quelques fulgurances (notamment la scène finale).
Émouvant. Important. Militant. Le second opus de l’équipe de Water polo reprend ce qui marchait déjà dans le premier film. La communauté LGBT+ trouve dans ce film la représentation de sa diversité avec en prime les thèmes qui la traverse. La place du militantisme, l’acceptation, la répression dans certains pays, les thérapies de conversion. Un film profondément encré dans l’époque et profondément humain. Une bouffée d’oxygène totalement bienvenue…
Le souci majeur avec cette suite ("Les Crevettes pailletées" était sorti en 2019) est que non seulement c'est toujours aussi pataud, maladroit et rempli de clichés LGBT en veux-tu en voilà, mais il n'y a même plus ni l'effet de surprise, ni les petites fulgurances charmantes (souvent musicales) du premier volet.
Cette fois, l'équipe de water-polo des "crevettes" ( spoiler: car le meilleur dans les crevettes, c'est la queue !
) va se retrouver coincée en Russie lors d'une escale sur la route des Gay Games de Tokyo : péripéties ubuesques et dangers homophobes sont au menu de ce second opus.
Le petit grain de folie du premier film se fait attendre très très longtemps dans cette histoire totalement décousue au pays de la vodka et du boeuf stroganov.
spoiler: Allez, les 10 dernières minutes sont sympathiques et assez réussies : ouf !!
Très très moyen et moins bon que le numéro 1.
Site CINEMADOURG.free.fr
Cette fois, l'équipe de water-polo des "crevettes" ( spoiler: car le meilleur dans les crevettes, c'est la queue !
) va se retrouver coincée en Russie lors d'une escale sur la route des Gay Games de Tokyo : péripéties ubuesques et dangers homophobes sont au menu de ce second opus.
Le petit grain de folie du premier film se fait attendre très très longtemps dans cette histoire totalement décousue au pays de la vodka et du boeuf stroganov.
spoiler: Allez, les 10 dernières minutes sont sympathiques et assez réussies : ouf !!
Très très moyen et moins bon que le numéro 1.
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Une suite moins novatrice, moins aquatique, mais plus politique et toujours aussi drôle des aventures baroques des crevettes.
La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2022/04/la-revanche-des-crevettes-pailletees-de.html
La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2022/04/la-revanche-des-crevettes-pailletees-de.html
Vu en avant-première la semaine dernière. J'avais peur parce que j'avais adoré le premier, et celui-là je crois que j'ai encore plus aimé, parce qu'il est très beau et très différent!! C'est une vraie comédie d'aventure. Toutes les crevettes ont une histoire. Et puis "Hommes, je vous aime" quoi!?!
Le scénario est grossier, écrit à la truelle. Quelques bonnes punchlines mais qui ne fonctionnent pas en raison d'un jeu d'acteurs épouvantable. Ça s'arrange un peu vers la fin. C'est vraiment moins bon que le premier.
Le premier film séduisait par sa fraîcheur mais cette suite déçoit par son propos convenu et militant de façon outrancière. Un film, peut-on se dire, fait par des homos pour des homos, sans talent : ni émotion, ni drôlerie. La bande annonce est trompeuse : on part voir un film pour s'amuser et on s'ennuie fermement pendant deux heures. Bref, le parfait navet à éviter.
écrire un scénario aussi mauvais , c'est vraiment hallucinant. un film qui romantisent l'agression sexuelle, qui se veut moralisateur mais qui foire complètement "tu veux pas m'embrasser ? t'es qu'un c*n!". joel dont la seul personnalité c'est dêtre de gauche ( du coup il fait des blagues sur mélanchon , ah c'est marrant... ), même si tout les personnage sont affreusement écrit et surtout débile au possible ( quel bonne idée de mettre des vestes avec des crevettes qui brillent dans un pays rempli d'intolérant) . les blagues sont la plupart du temps juste pas drôle . avec des grands méchants russe qui sont méchants , et les thérapie de conversion aborder mais qu'a moitié et une fin absolument pas aboutie totalement ridicule. a part la réalistion rien n'est notable est tout est oubliable ou a oublié.
très très déçue, j'attendais 1 comédie mais on tombe en Russie dans un camp ,que des clichés, on revit en moins bien le clip de Mylene Farmer Désenchantée, bref un navet
Caricatural et histoire pas crédible. Reste quand même certains acteurs bien ,notamment les second rôles et traiter ces sujets sur le ton de la comédie est bienvenu.
Si le premier volet des crevettes pailletée était plutôt une agréable surprise, cette suite, beaucoup moins loufoque, prend une tournure nettement plus dramatique dans une Russie homophobe trop caricaturée. Si les intentions sont bonnes, le propos est lourd et l'écriture des dialogues et du scénario manquent de subtilité. Alors certes les personnages sont toujours aussi sympathiques et hauts en couleur mais l'ensemble fonctionne nettement moins bien. On vient pour voir une comédie, on se retrouve face à un film militant mainstream qui se regarde mais manque de mordant et d'idées de mise en scène. Bref, c'est assez poussif et en plus un peu longuet. Dommage.
Quelle excellente surprise après un premier volet quelque peu cliché sur certains point cet opus a complètement changé de point de vue. Beaucoup moins enlisé dans les clichés du premier les réalisateurs ont décidé de s’atteler à une histoire quelque peu plus dramatique mais tout en gardant le coté punchy du premier. Certains sujets sensibles sont abordés sans tomber dans la caricature dont on aurait pu s’attendre.
PLR
Le premier « Les crevettes pailletées » (2019), je n’avais noté que 1,5 (ma critique, inhabituellement longue ayant elle-même été associée à un « J’aime » 8 fois et un « Je n’aime pas », 8 fois aussi ; c’est le jeu !). Dans ce second opus, qu'avec hésitation je note à 2, on ne retrouve pas les mêmes travers que j’avais jugé excessifs et caricaturaux, ne servant pas la cause LBGT au contraire, mais qui pouvaient être admis dans le registre de la comédie humoristique, à dessein caustique et provocatrice. Il y a nettement moins de cela cette fois-ci. Le genre comédie dans lequel est répertorié ce film, et pour cause puisqu’il est sélectionné pour le Festival de l’Alpe d’Huez, implique normalement de l’humour, de la dérision, de l’amusement. Mais ce sont toutes choses qu’on retrouvera assez peu. Je me demande finalement si ça ne vire pas plutôt au drame. Car cette immersion au fin fond de nulle part (la Russie où « l’homophobie est un sport national », c’est dans les dialogues !) pour ce qu’on nomme une « thérapie de conversion », c’est quelque peu scabreux, pas vraiment drôle. En tout cas, on ne devrait pas sourire de ça. N’importe comment le scénario et l’interprétation des acteurs ne font pas vraiment ni rire, ni sourire, alors...
Un très beau film sur un sujet encore difficile. De bons moments de rires, mais aussi une réflexion sur l intolérance et sur l ignorance.
De très bons acteurs qui ont su mettre en avant ce film , face à un univers totalement inconnu.
Un scénario qui a su montrer le rire mais aussi les moments moins drôles.
Je recommande vivement ce film drôle, tendre, touchant .
De très bons acteurs qui ont su mettre en avant ce film , face à un univers totalement inconnu.
Un scénario qui a su montrer le rire mais aussi les moments moins drôles.
Je recommande vivement ce film drôle, tendre, touchant .
Très déçu par rapport au premier. Ennuyeux et pseudo éducatif pour les gens ne connaissant pas le milieu gay et les combats menés. Mais quelle maladresse... c'est pas drôle, ridicule par moment. Dommage.
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