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Votre avis sur La Vraie famille ?
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Vu "La Vraie Famille" en avant-première à Saint-Malo, j'ai été submergée par ce film plein d'émotion, avec un casting d'une justesse infinie. Mélanie Thierry est bouleversante dans le rôle de la mère de famille (d'accueil), mais j'ai également trouvé que tous les acteurs étaient vraiment excellents. Clairement un de mes films français favori qui m'a beaucoup touché et que je vais retourner voir en salle ! Petit conseil pour les sensibles et moins sensibles (si si!) prenez un, voir plusieurs mouchoirs!
"La vraie famille" fait partie de ces films qui marquent et restent par leur intensité et leur justesse. Un immense bravo à toute l'équipe du film !!
Un film d’une sensibilité magnifique, qui suggère sans jamais forcer le trait, invite à s’interroger sans caricaturer ou simplifier une situation de toutes façons difficile à vivre. Fabien Gorgeart est servi par des acteurs excellents, sans exception, avec mention spéciale à l’enfant qui interprète le rôle…. principal.
Une subtilité rare portée par un casting incroyable.
On passe du rire au larmes
Sans aucun doute LE film de ce début d année
On peut y aller en famille, seul(e) ou accompagné ;)
On passe du rire au larmes
Sans aucun doute LE film de ce début d année
On peut y aller en famille, seul(e) ou accompagné ;)
La vraie famille touche en plein cœur et sans pathos certes mais elle touche aussi l'esprit. Les comédiens sont tous formidables et Mélanie Thierry trouve sans doute son plus beau rôle à ce jour. La mise en scène de Fabien Gorgeart est subtile, dense et fluide. A voir ABSOLUMENT.
Grand film, magnifique interprétation,scénario juste et émouvant
Tout concourt à la réussite de La vraie famille
Tout concourt à la réussite de La vraie famille
Sans jamais sombrer dans le mélo, c'est un hommage à toutes les familles qui accueillent des enfants placés sur des périodes plus ou moins longues. Un film bouleversant, juste et plein d'humanité.
Film bouleversant porté par la divine Mélanie Thierry. Simon est un enfant placé en famille d’accueil et qui vit en harmonie parfaite avec eux. Ensemble, ils forment une vraie famille jusqu’à ce que le père réclame le retour de son fils…
Sujet très peu connu et pas facile mais pris avec une sincérité très touchante. Bravo au réalisateur
Il a su mettre la justesse pour un scénario où la bienveillance poussée à son extrême arrive à ses limites
Il a su mettre la justesse pour un scénario où la bienveillance poussée à son extrême arrive à ses limites
fiction tirée d'une histoire vraie. Une famille "d'accueil" a qui on va retirer le petit garçon accueilli depuis plusieurs années. Excellents choix d'acteurs. Beaucoup d'émotions. A voir impérativement !
Le film sur cette famille d’accueil est très émouvant et intéressant. Mélanie LAURENT y fait une interprétation bouleversante récompensée justement par un prix. On a vraiment plaisir à visionner ce film tout à fait réaliste qui pose avec justesse les problèmes de garde d’enfant par cette famille d’accueil.
Bernard CORIC
Bernard CORIC
Mélo solaire
Beaucoup avaient aimé le 1er film de Fabien Gorgeart, Diane a les épaules en 2017. Ce nouveau drame est tout aussi réussi et bouleversant et ne se prive pas de poser des questions cruciales. Anna, 34 ans, vit avec son mari, ses deux petits garçons et Simon, un enfant placé chez eux par l’Assistance Sociale depuis l’âge de 18 mois, qui a désormais 6 ans. Un jour, le père biologique de Simon exprime le désir de récupérer la garde de son fils. C’est un déchirement pour Anna, qui ne peut se résoudre à laisser partir celui qui l’a toujours appelée « Maman ». 100 minutes de plongée dans une famille qui va aller du bonheur au déchirement. Ce film, qui ne sortira sur les écrans que fin février 2022 a reçu le Prix du Jury au Festival d’Angoulême.
On sait d’emblée que l’issue est inéluctable. Ce n’est donc pas le suspense qui est le moteur de ce mélo familial assumé. Ce qui est ici poignant ce sont les répercussions des décisions de justice sur la vie d’une famille d’accueil et sur l’enfant lui-même écartelé entre un père biologique et ce qu’il pense être sa « vraie » famille. Car le titre est extrêmement bien choisi, même si, personnellement, j’aurais ajouté un point d’interrogation. Car, en vérité, toute la question est là pour ce petit bonhomme de 6 ans. Ce film est un admirable crève-cœur dont on ne sort pas indemne. Belle écriture – dont on sait qu’elle est en parie autobiographique, et superbe interprétation.
Mélanie Thierry, Prix d’interprétation à Angoulême, porte le film avec une force et une détermination remarquables. Une de nos très belles actrices. A ses côtés Lyes Salem et Félix Moati sont parfaits de sobriété et de justesse. Mais, la grande force du film est le casting et la direction des trois enfants qui sont d’un naturel confondant. La palme revient à Gabriel Pavie, petit acteur en herbe aux regards bouleversants qui feraient fondre un iceberg. Citons également les deux autres enfants, Idris Laurentin-Khelifi et Basile Violette qui le méritent bien. Un très beau film.
Beaucoup avaient aimé le 1er film de Fabien Gorgeart, Diane a les épaules en 2017. Ce nouveau drame est tout aussi réussi et bouleversant et ne se prive pas de poser des questions cruciales. Anna, 34 ans, vit avec son mari, ses deux petits garçons et Simon, un enfant placé chez eux par l’Assistance Sociale depuis l’âge de 18 mois, qui a désormais 6 ans. Un jour, le père biologique de Simon exprime le désir de récupérer la garde de son fils. C’est un déchirement pour Anna, qui ne peut se résoudre à laisser partir celui qui l’a toujours appelée « Maman ». 100 minutes de plongée dans une famille qui va aller du bonheur au déchirement. Ce film, qui ne sortira sur les écrans que fin février 2022 a reçu le Prix du Jury au Festival d’Angoulême.
On sait d’emblée que l’issue est inéluctable. Ce n’est donc pas le suspense qui est le moteur de ce mélo familial assumé. Ce qui est ici poignant ce sont les répercussions des décisions de justice sur la vie d’une famille d’accueil et sur l’enfant lui-même écartelé entre un père biologique et ce qu’il pense être sa « vraie » famille. Car le titre est extrêmement bien choisi, même si, personnellement, j’aurais ajouté un point d’interrogation. Car, en vérité, toute la question est là pour ce petit bonhomme de 6 ans. Ce film est un admirable crève-cœur dont on ne sort pas indemne. Belle écriture – dont on sait qu’elle est en parie autobiographique, et superbe interprétation.
Mélanie Thierry, Prix d’interprétation à Angoulême, porte le film avec une force et une détermination remarquables. Une de nos très belles actrices. A ses côtés Lyes Salem et Félix Moati sont parfaits de sobriété et de justesse. Mais, la grande force du film est le casting et la direction des trois enfants qui sont d’un naturel confondant. La palme revient à Gabriel Pavie, petit acteur en herbe aux regards bouleversants qui feraient fondre un iceberg. Citons également les deux autres enfants, Idris Laurentin-Khelifi et Basile Violette qui le méritent bien. Un très beau film.
traversay1
Impossible de ne pas être touché par La vraie famille qui traite des enfants placés dans des familles d'accueil. Celle qui est décrite dans le film est, pour une fois au cinéma, décrite comme aimante et quasi parfaite. La situation parait presque trop idyllique avant qu'un sérieux grain de sable, en l'occurrence le père véritable qui souhaiterait récupérer son fils, ne vienne tout chambouler. Il est très clair que le film est calibré pour plaire à un large public et, plus particulièrement aux mamans puisque tout y est vu à travers le prisme émotionnel de la mère (de substitution) qui ne mérite certes pas de se voir enlever celui qu'elle considère comme son propre enfant. Ce n'est pas que La vraie famille soit réellement raté mais son orientation est tellement évidente que cela en devient embarrassant même si le film respecte a priori le fameux adage de Renoir comme quoi chacun a ses raisons. On aurait aimé partager plus de moments avec le père et comprendre ses sentiments mais ce n'est que rarement le cas. Par ailleurs, une mise en scène un peu moins banale aurait sans doute donné des ailes à un long-métrage qui reste terre-à-terre et premier degré. C'est d'autant plus regrettable que Lyes Salem est très bien et que Mélanie Thierry, surtout, met tout son cœur dans son rôle, n'étant pas loin de porter l'entièreté du film sur ses épaules. Son interprétation restera (on en reparle aux Césars ?) même pour ceux qui n'ont pas été emballés par le film.
Vu hier en avant première au festival de Muret. film touchant, très juste. juste dans le regard du réalisateur ET dans la distribution. Mélanie Thierry bien sûr mais les hommes ne sont pas en reste avec un Lyes Salem et un Félix Moati magnifiques. Les échanges avec le réal après ont montré un vrai travail d'écriture et des réflexions sur le cinéma et son vécu passionnantes.
Un film qui t'émeut, qui fait appel au désir de paternité/maternité de chacun. Un film qui explique quelqu'un qui apprend à être père et une autre que désapprend à être mère.
J'ai profondément été touché par l'importance apporté aux regards.
Bravo!
J'ai profondément été touché par l'importance apporté aux regards.
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