Je ne suis pas vraiment rentré dans le film, bien que j 'apprécie beaucoup Guillaume Canet, beaucoup de scènes oniriques, j' aurai préféré que cela toune à ce moment là, façon leatherface, le fils du proprio jouant le rôle, deux étoiles et demie.
Jusqu'à présent j'avais plus apprécié les films interprété par Guillaume Canet, souvent originaux, drôles et sensibles. Ce film, Lui, n'a pas réussi à me séduire malgré des acteurs populaires et une histoire de couple qui se cherche, se remet en question, ou encore fait marche arrière, pour finalement se détruire.... ou pas ! Bref, une masturbation intellectuelle 1000 fois déjà vue et revue... Jusqu'au bambin qu'on fait parler comme un adulte en espérant émouvoir. Gros comme une ficelle d'emballage et plus du tout efficace à mon sens en 2022 !
Un compositeur en panne d'inspiration (Guillaum Canet), marié et père, part s'isoler dans une vieille maison, sur la falaise d'une île bretonne a priori déserte, et trouve un vieux piano désaccordé. Des visiteurs qui troublent sa tranquillité : sa femme (Virginie Efira), sa maîtresse (Ĺaetitia Casta), son meilleur ami (Matthieu Kassovitz) ses parents (Nathalie Baye et Patrick Chesnais) et son docteur (Gilles Cohen). Le film évoque le concept psychanalytique du clivage du Moi.
Un film pas simple d'abord, même si on comprend très vite que le personnage est physiquement seul mais qu'il y a beaucoup de personnages dans sa tête. Nous avons tous une part plus sombre, moins sociable. Comment concilier les différentes personnalités qu'il y a en chacun de nous ? C'est la question que pose ce film, qui est en fait un thriller psychologique, à l'image du film "Fenêtre secrète", avec Johnny Depp. A noter la belle musique, l'un des fils conducteurs du film et les effets spéciaux quand les "Moi" sont présents en même temps. Un film qui peut dérouter comme il peut interroger.
Franchement je ne m'attendais pas à un chef d'oeuvre mais alors là c'est consternant ... Cette psychanalyse de lui même à 2 balles sans relief sans mise en scène ,mêmes les acteurs pourtant de talent n'y croient pas !!! (QUE DIABLE ONT ILS ÉTÉ FAIRE DANS CETTE GALÈRE) Ils sont fades, mal dirigés ,mal photographiés, les dialogues sont pauvres, sonnent mal et nous plongent rapidement dans un mélange d'amertume, de gêne et surtout d'ennui mortel !
J'ai trouvé ça très mauvais, la forme est intéressante et le fond est simplement chiant. Certains éléments de réalisation sont magnifiques mais le scénario a du mal à se faire comprendre.
Un film réalisé pendant le confinement ,et qui n'a pas du couter grand chose : unité de lieu ( maison à Belle Ile, je crois , qu'on voit sous toutes ses coutures) quelques tètes d'affiche pour de tous petits rôles : Nathalie Baye , Patrick Chesnais et Matthieu Kassovitz) Ce film est d'un vide abyssal absolu ; une suite de dialogues pseudo psychanalytiques pendant lesquels Guillaume Canet s'autoanalyse avec sa femme , sa maîtresse , son docteur ...Ca ne ressemble à rien et surtout ce n'est ni drôle , ni dramatique, ni distrayant , passez votre chemin.
Dans "Rock'n Roll" Guillaume Canet avait réussi à prendre du recul vis à vis de lui-même avec humour mais là non. Les angoisses de l'acteur et réalisateur aboutissent à une succession de phantasmes égocentriques et de lieux communs. La scène réunissant Virginie Efira, Laetitia Casta et Mathieu Kassovitz (épouse, maîtresse et meilleur ami) est grossière et pathétique. Canet se dit inspiré par Bertrand Blier, "Buffet froid". La référence est prestigieuse. Son film non. À éviter absolument.
Ecrit pendant le confinement suite à l’arrêt du prochain “Astérix et Obélix”, “Lui” est le septième long-métrage de Guillaume Canet derrière la caméra. Comme régulièrement nous le retrouvons également dans le rôle-titre et cette fois en double. En pleine rupture avec le personnage de Virginie Efira, il part s’exiler sur une île bretonne pour trouver son inspiration sur le piano. En introspection totale, son double se matérialise pour faire le point sur sa vie amoureuse scindée entre son couple et son amante journée par Laetitia Casta. Plus déprimant que drôle, Canet rate sa psychanalyse égocentrique avec du blabla trop autocentrée pour nous toucher. Seuls les échanges entre les deux actrices apportent un peu de lumière à cette avarice. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Quelle déception ! Malgré le bon casting, et un très beau décor, on s'ennuie ferme avec en outre le peu d'intérêt du film qui s'évapore au fil de l'eau.
Comment peut-on se moquer des gens de cette façon ? Première fois de ma vie que je sors du cinéma énervé !!! J'ai failli sortir au bout de 40 min puis j'ai somnolé car ma femme qui adore Guillaume Canet souhaitait tout de même rester jusqu'à la fin ( ce n'est plus le cas après ce navet) Film catastrophique, et c'est un euphémisme,sans intrigue ni intérêt. Ne perdez pas votre soirée, c'est le meilleur conseil que je puisse vous donner.
Un compositeur en panne d’inspiration se réfugie dans une maison isolée au sommet d’une falaise d’une île bretonne. En proie à une grande confusion mentale, il voit défiler dans son esprit perturbé sa femme (Virginie Effira) qu’il vient de quitter mais qu’il aime encore, sa maîtresse (Laëtitia Casta) qu’il désire encore mais n’a jamais aimée, son meilleur ami (Mathieu Kassovitz) qu’il suspecte d’avoir couché avec sa femme, ses parents (Nathalie Baye et Patrick Chesnais).
"Lui" est un drôle de film qui n’a rien de drôle. Sa bande-annonce est fallacieuse : on imagine en la voyant, un polar schizophrène avec des cadavres dans le placard. Les premières minutes du film sont dans cette veine là : île quasi-déserte, maison isolée, bruits suspects…. Mais "Lui" bifurque vers autre chose, une auto-analyse cathartique façon Bertrand Blier, avec ses situations absurdes, ses dialogues transgressifs, ses situations cocasses…
Il faut reconnaître à Guillaume Canet un sacré culot pour réaliser et tenir le premier rôle d’un film pareil. Il avait déjà montré une telle audace dans "Rock’n roll", une autobiographie déguisée d’une star française hantée par la panique du vieillissement qui m’avait bluffé.
Je n’ai pas retrouvé le même plaisir jubilatoire face à "Lui", un film plus sombre, plus sérieux, plus plombant, plus bavard. J’ai eu un peu le sentiment que Canet avait voulu s’épargner une analyse en tournant un film. Pas sûr que le procédé soit efficace et, vu l’insuccès du film qui a déjà disparu des écrans en quatrième semaine d’exploitation, moins coûteux.
La seule chose que j’ai aimé quand j’ai été le voir, c’était la température dans la salle. Soporifique, faussement profond. Habituellement client des films de Canet, je crois qu’au bout de 40 min je voulais m’échapper de la salle.