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Guiciné
167 abonnés
1 243 critiques
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2,0
Publiée le 1 novembre 2021
Un film assez décevant, en particulier dû à l'insignifiante direction d'acteur, et aux personnages semblant ne pas être incarnés, c'est dommage car le scénario était plutôt plaisant et aurait pu être approfondi. Assez ennuyeux et d'un intérêt réduit.
L'idée était bonne assurément. Mais., malgré la belle distribution, ce film est ennuyeux. Trop de longueur mais surtout, impossible de "rentrer" dans le film. Un résultat décevant hélas.
Je suis partie avant la fin...et pourtant je m interdis ce genre d action par respect pour toutes les personnes qui travaillent sur un film... Mais là...impossible de tenir en éveil jusqu'à la fin Désolée...
Guillaume Canet nous propose un film orignal, comportant une palette d'acteurs de talent dans un décor qui décoiffe mais la sauce peine à prendre... Le traitement du sujet qui se rapproche de "l'overthinking" est parfois amusant mais n'apporte quasiment aucune plus-value intellectuelle. Le film est loin d'être rock'n roll et nos petits mouchoirs restent dans nos poches.
Je suis fan de Guillaume Canet mais là Oh mon Dieu. Courage fuyons. Tout le monde n' a pas le génie de savoir filmer et mettre des mots sur son introspection. C' est ennuyeux et convenu. J'ai failli partir mais je ne voulais pas déranger ma voisine qui elle, finalement, a fini par partir. Ils sont loin les géniaux Ne le dis à personne et Petits Mouchoirs.
Médiocre, pauvre, nul. Il doit être très perturbé pour écrire des dialogues sans consistance, mais pervers. Pourquoi Effira a t elle accepté de jouer ce triste personnage.
Pressé de voir le film de Monsieur Canet. Mais vraiment déçue. Tournage en 1 mois je comprends mieux. On retiendra la vulgarité. Deux étoiles pour les paysages bretons qui sauvent le film. La scène du couteau ds le lit j’étais gênée tellement c’était mal fait. Bref à oublier.
Un film réalisé pendant le confinement ,et qui n'a pas du couter grand chose : unité de lieu ( maison à Belle Ile, je crois , qu'on voit sous toutes ses coutures) quelques tètes d'affiche pour de tous petits rôles : Nathalie Baye , Patrick Chesnais et Matthieu Kassovitz) Ce film est d'un vide abyssal absolu ; une suite de dialogues pseudo psychanalytiques pendant lesquels Guillaume Canet s'autoanalyse avec sa femme , sa maîtresse , son docteur ...Ca ne ressemble à rien et surtout ce n'est ni drôle , ni dramatique, ni distrayant , passez votre chemin.
Je n'avais pas d'attente sur ce film, et j'ai beaucoup aimé. Ce n'est pas un film narcissique comme le reproche certains Mais un film personnel souvent drôle et touchant. Les actrices ont de belles réparties. On n'est pas devant un chef d'œuvres , mais c'est un film sans doute sincère qui aurait pu être encore plus incisif et drôle. Spoiler.... Le titre fait penser à la nouvelle de Maupassant où le protagoniste a peur de la peur. Avoir peur de soi même est effectivement insupportable.
Parti s'isoler sur une île bretonne pour tenter de composer une musique de film, un artiste va en profiter pour faire le point sur sa vie en menant une introspection sur lui-même. Tous les personnages clés de son existence vont donc circuler et se croiser dans cette vieille maison, y compris son propre double via le concept psychanalytique du clivage du Moi. Je n'ai pas vraiment été passionné par ce défilé d'individus apparaissant et disparaissant au gré des pensées du protagoniste central. Tout son entourage y passe : sa femme, sa maîtresse, ses parents, son docteur, son meilleur ami... J'aime pourtant beaucoup Guillaume Canet, mais le rendu final est ennuyeux, égocentrique et schizophrénique ! De belles images de Belle-Île-en-Mer tout de même. Pauvre et manquant d'intérêt. Site CINEMADOURG.free.fr
Itinéraire d'un homme déprimé. Quelques bons moment et malgré un très bon casting c'est un film qui déplaît malgré sa volonté d'être original. On s'ennuie.
Si ce film durait moins longtemps et avec des acteurs moins connus, on pourrait croire au film d'un étudiant de première année aux Beaux-arts ou un truc dans le genre. Mais non c'est pas ça, c'est Canet. Pourtant en effet, le scénario tient en trois ou quatre lignes et semble tout droit sorti de la tête d'un adolescent, le sujet est complètement égocentré: mon dieu il existe en moi une partie sombre ou lala c'est pas bien ça que faut-il faire?. Bon, le jeu des acteurs est ni bon ni mauvais, ni insipide ni rien puisque de façon ce genre de scène est jouable par absolument n'importe qui. Bon, voilà, que dire? Rien! Ha si, Télérama va adorer j'en suis sûr.