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Revendiquant l’influence du Bertrand Blier de Buffet froid et de Merci la vie, le cinéaste arpente des territoires de fiction troublants et signe un film inégal, mais original.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Quand l’homme se retrouve aux prises avec son double présenté comme négatif, tout devient hélas, plus poussif et démonstratif. Reste que Guillaume Canet fait preuve d’une constance intrigante en persistant dans l’autofiction après Rock’n’roll, tout en la déplaçant vers un autre registre, plus intimiste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ce qu'il y a de bien dans la réalité, c'est que quand un enfant bercé trop près d'une cheminée allumée s'essaye un jour au dessin, il ne vient à l'idée de personne de l'exposer au Louvre. Mais dans notre dimension du multivers, ces enfants peuvent faire des films.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Entre un huis clos étouffant où s'égrènent des clichés que le second degré ne réussit pas à désamorcer, et la vision caricaturale de la Bretagne (beaux paysages peuplés de femmes revêches et d'alcooliques édentés…), étonnante pour le cinéaste observateur et engagé, on s'enlise dans le psychodrame.
Mais cet égocentrisme forcené finit par contaminer le film lui-même. Canet a visiblement des démons à affronter, mais il le fait avec un sérieux qui pèse des tonnes. Donnant au final un film pas vraiment dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Revendiquant l'influence du Bertrand Blier de « Buffet froid » et de « Merci la vie », le cinéaste arpente des territoires troublants et confirme qu'il aime prendre des risques.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Le film n’existe que par des effets de clichés de bord de mer, de cadrages d’une très Belle-Île devenue métaphore pesante des états d’âme et de cœur du héros.
Car l’artificialité envahit alors l’espace et abîme la fluidité du geste global. Par contre dans les moments de silence angoissants au cœur de cette bâtisse ou quand ses comédiens (Virginie Efira, Laetitia Casta, Mathieu Kassovitz, épatants) s’emparent avec gourmandise du jeu décalé qui leur est proposé, Lui décolle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Intrigant voire prometteur au début, un exercice de style, sincère sans doute, qui aimerait convoquer l'esprit de Bertrand Blier et Ingmar Bergman, mais bien trop artificiel.
Deux mots reviennent dans les dialogues: "baiser" et "désaccordés", comme l'alliance impossible entre une autofiction qui ne trouve sa sincérité que dans la vulgarité et un regard qui commente en permanence son récit.
Le résultat, qui n’a rien de « Rock’n’roll » (son meilleur film), est aussi embarrassant qu’un type éméché philosophant sur ses problèmes à coups de lieux communs…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Il faut absolument signaler à Canet qu'un imposteur a usurpé son identité pour tourner cette chose. Il ne nous reste que nos yeux pour pleurer devant ce désastre non dénué de suffisance. Préparez vos mouchoirs. Les petits ?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
En mettant en scène ses angoisses, Guillaume Canet aboutit à un fouillis cérébral en forme de condensé de psychologie de casino, dont le spectateur n’a que faire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
Ça grince, ça balance façon Blier, mais ça passe avec le sourire.
Public
Guillaume Canet le réalisateur est sans doute le meilleur pour mettre en valeur les différentes facettes de Guillaume Canet l'acteur.
Marianne
Revendiquant l’influence du Bertrand Blier de Buffet froid et de Merci la vie, le cinéaste arpente des territoires de fiction troublants et signe un film inégal, mais original.
Télérama
Quand l’homme se retrouve aux prises avec son double présenté comme négatif, tout devient hélas, plus poussif et démonstratif. Reste que Guillaume Canet fait preuve d’une constance intrigante en persistant dans l’autofiction après Rock’n’roll, tout en la déplaçant vers un autre registre, plus intimiste.
Ecran Large
Ce qu'il y a de bien dans la réalité, c'est que quand un enfant bercé trop près d'une cheminée allumée s'essaye un jour au dessin, il ne vient à l'idée de personne de l'exposer au Louvre. Mais dans notre dimension du multivers, ces enfants peuvent faire des films.
Franceinfo Culture
Entre un huis clos étouffant où s'égrènent des clichés que le second degré ne réussit pas à désamorcer, et la vision caricaturale de la Bretagne (beaux paysages peuplés de femmes revêches et d'alcooliques édentés…), étonnante pour le cinéaste observateur et engagé, on s'enlise dans le psychodrame.
La Croix
L’acteur et réalisateur s’essaie au film psychanalytique mais la finesse de l’écriture manque cruellement à la réussite du projet.
La Voix du Nord
Mais cet égocentrisme forcené finit par contaminer le film lui-même. Canet a visiblement des démons à affronter, mais il le fait avec un sérieux qui pèse des tonnes. Donnant au final un film pas vraiment dérangeant.
Le Journal du Dimanche
C’est ludique et enlevé par endroits. Mais sans autre enjeu que les tourments mid-life d’un artiste, le trip égocentrique peut lasser.
Les Echos
Revendiquant l'influence du Bertrand Blier de « Buffet froid » et de « Merci la vie », le cinéaste arpente des territoires troublants et confirme qu'il aime prendre des risques.
Les Fiches du Cinéma
Un film sous haute influence Blier, plutôt convaincant sur son versant récréatif mais trop complaisant sur son versant sérieux.
Ouest France
Le casting est épatant, la forme originale, mais des dialogues trop convenus ne permettent pas d'empêcher ce film pourtant court de tourner en rond.
Positif
Le film n’existe que par des effets de clichés de bord de mer, de cadrages d’une très Belle-Île devenue métaphore pesante des états d’âme et de cœur du héros.
Première
Car l’artificialité envahit alors l’espace et abîme la fluidité du geste global. Par contre dans les moments de silence angoissants au cœur de cette bâtisse ou quand ses comédiens (Virginie Efira, Laetitia Casta, Mathieu Kassovitz, épatants) s’emparent avec gourmandise du jeu décalé qui leur est proposé, Lui décolle.
Voici
Intrigant voire prometteur au début, un exercice de style, sincère sans doute, qui aimerait convoquer l'esprit de Bertrand Blier et Ingmar Bergman, mais bien trop artificiel.
Cahiers du Cinéma
Deux mots reviennent dans les dialogues: "baiser" et "désaccordés", comme l'alliance impossible entre une autofiction qui ne trouve sa sincérité que dans la vulgarité et un regard qui commente en permanence son récit.
L'Obs
Le résultat, qui n’a rien de « Rock’n’roll » (son meilleur film), est aussi embarrassant qu’un type éméché philosophant sur ses problèmes à coups de lieux communs…
Le Figaro
Il faut absolument signaler à Canet qu'un imposteur a usurpé son identité pour tourner cette chose. Il ne nous reste que nos yeux pour pleurer devant ce désastre non dénué de suffisance. Préparez vos mouchoirs. Les petits ?
Le Monde
Le film prend des allures de pièce de boulevard stéréotypée, grossière et égocentrique.
Le Parisien
En mettant en scène ses angoisses, Guillaume Canet aboutit à un fouillis cérébral en forme de condensé de psychologie de casino, dont le spectateur n’a que faire.
Libération
L’acteur et réalisateur tente de faire de son spleen de quadra blessé un film profond et introspectif. Résultat : bâillements et consternation.