Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Le dispositif cinématographique hardi inventé par Barr et Arnold, et l'état de légèreté auquel, grâce à des personnages qui sont leurs doubles décalés, le film leur a permis de parvenir, réfracte en petits éclats suggestifs, marrants et peu encombrants ces questions d'autant plus essentielles qu'elles échappent à toute emphase.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset, Alain Morel, Pierre Vavasseur
Après Too Much Flesh, voici le troisième volet de la trilogie sur la liberté coréalisée par Pascal Arnold et Jean-Marc Barr. Laissez-vous embarquer pour ce voyage sympathique, vaguement mystique et un peu baba-cool.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouirock.com
par N. Saint-Bois
Troisième volet de la " Trilogie de la liberté " après Lovers et Too Much Flesh, co-réalisé avec Pascal Arnold et filmé en DV selon les principes du Dogme de Lars Von Trier, Being Light est une comédie burlesque et enlevée remarquablement servie par un Romain Duris étonnant.
Aden
par Philippe Piazzo
Après Lovers et Too Much Flesh, voici le troisième volet d'une trilogie sur la liberté tournée en DV suivant les principes du "Dogme" de Lars von Trier. Le projet est attachant et ne manque pas d'ambition (...) . A l'arrivée, un film brouillon, marqué par la banalité de son argument (...).
Chronic'art.com
par Elise Bourges
(...) si cette comédie burlesque enlève bien ici et là quelques sourires, elle ne parvient jamais à nous convaincre vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Olivier Salvano
C'est la fin de la trilogie sur la liberté mise en scène par Jean-Marc Barr et Pascal Arnold, mais BEING LIGHT est l'épisode le moins abouti de ces trois films. Pourquoi ? (...). Dans le film, le couple Duris/Barr, c'est un peu Cruise/Hoffman dans RAIN MAN (...) mais ici le tandem ne fonctionne qu'à moitié.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Un illuminé guide un businessman sur la voie de la sagesse lors d'un voyage initiatique en Inde. dernier volet de la "freetrilogy" signée par l'acteur
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
TéléCinéObs
par G.L
(...) comédie passablement bavarde, filmée en DV façon Dogme. Pas désagréable, non, mais un film qui vaut davantage pour la qualité de de son interprétation (...) que pour celle de son image (...)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Si Being light présente l'avantage non négligeable d'être tordant de bout en bout, la philosophie Rika Zaraï qu'il développe fait un peu peine à voir. Film benêt, drôle et pathétique, plus illuminé qu'autre chose, Being light est en phase avec des flux d'énergie cosmique auxquels les humains n'ont pas encore accès.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
par C.N
Romain Duris improvise (...) un personnage mi-débile, mi-lucide, vite orripilant. On est loin de la cruauté de Too Much Flesh, avec le recul le film DV le plus piqué du duo Barr-Arnold.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
Le dispositif cinématographique hardi inventé par Barr et Arnold, et l'état de légèreté auquel, grâce à des personnages qui sont leurs doubles décalés, le film leur a permis de parvenir, réfracte en petits éclats suggestifs, marrants et peu encombrants ces questions d'autant plus essentielles qu'elles échappent à toute emphase.
Le Parisien
Après Too Much Flesh, voici le troisième volet de la trilogie sur la liberté coréalisée par Pascal Arnold et Jean-Marc Barr. Laissez-vous embarquer pour ce voyage sympathique, vaguement mystique et un peu baba-cool.
Ouirock.com
Troisième volet de la " Trilogie de la liberté " après Lovers et Too Much Flesh, co-réalisé avec Pascal Arnold et filmé en DV selon les principes du Dogme de Lars Von Trier, Being Light est une comédie burlesque et enlevée remarquablement servie par un Romain Duris étonnant.
Aden
Après Lovers et Too Much Flesh, voici le troisième volet d'une trilogie sur la liberté tournée en DV suivant les principes du "Dogme" de Lars von Trier. Le projet est attachant et ne manque pas d'ambition (...) . A l'arrivée, un film brouillon, marqué par la banalité de son argument (...).
Chronic'art.com
(...) si cette comédie burlesque enlève bien ici et là quelques sourires, elle ne parvient jamais à nous convaincre vraiment.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
C'est la fin de la trilogie sur la liberté mise en scène par Jean-Marc Barr et Pascal Arnold, mais BEING LIGHT est l'épisode le moins abouti de ces trois films. Pourquoi ? (...). Dans le film, le couple Duris/Barr, c'est un peu Cruise/Hoffman dans RAIN MAN (...) mais ici le tandem ne fonctionne qu'à moitié.
Novaplanet.com
Un illuminé guide un businessman sur la voie de la sagesse lors d'un voyage initiatique en Inde. dernier volet de la "freetrilogy" signée par l'acteur
TéléCinéObs
(...) comédie passablement bavarde, filmée en DV façon Dogme. Pas désagréable, non, mais un film qui vaut davantage pour la qualité de de son interprétation (...) que pour celle de son image (...)
Urbuz
Si Being light présente l'avantage non négligeable d'être tordant de bout en bout, la philosophie Rika Zaraï qu'il développe fait un peu peine à voir. Film benêt, drôle et pathétique, plus illuminé qu'autre chose, Being light est en phase avec des flux d'énergie cosmique auxquels les humains n'ont pas encore accès.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Romain Duris improvise (...) un personnage mi-débile, mi-lucide, vite orripilant. On est loin de la cruauté de Too Much Flesh, avec le recul le film DV le plus piqué du duo Barr-Arnold.