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Mac Foof
41 abonnés
195 critiques
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2,0
Publiée le 6 juin 2022
En dehors de l'actrice, de la façon intéressante de comment sont dépeints les clandestins et de 2 ou 3 jump scares, tout est nul dans ce film. La réalisation est mauvaise, les effets spéciaux pas terrible et l'histoire est catastrophique.
Niveau scénario, l'idée de base est intéressante (des explorateurs, des reliques, des légendes païennes...). Après cela fait pschitt en tombant dans le vu et archi-vu pour aboutir sur une fin grotesque. Très vite oublié et bien dommage
Honnêtement on ne comprend pas l'origine du monstre, au but de 40 minutes le film commence à peine. Des personnages partis où ne sait où, d'autres sont inutiles. Au lieu de me faire pur , il m'a ennuyée Passez votre chemin
Un potentiel de base, une atmosphère générale de qualité, de beaux plans, mais trop d'ennui, pour quelque chose manquant de saveur, et ne proposant rien d'exceptionnel. Dispensable, oubliable.
Un film qui n'a réussi qu'à poser le cadre d'une atmosphère inquiétante sans réelle efficacité horrifique. Le scénario ne parvient pas à convaincre : l'histoire met trop de temps à démarrer, les évènements sont trop prévisibles et le film est par moment incompréhensible. Film soporifique et décevant.
J’ai pas tout compris, surtout la fin… après j’avoue qu’on a bien rigolé avec le titre du film et aussi avec l’apparition du monstre (il mange avec ses fesses?!?!). Pour les personnes sensibles aux screamers, c’est ok. Pour les personnes sensibles aux insultes attention on entend « hijo de puta ». Le chauve crève (l’écran). Le titre est un peu mensonger, enfin on sait pas vu que la fin est obscure…
"No One Gets Out Alive" est le deuxième film sorti sur Netflix à être adapté d'un roman d'Adam Nevill après "The Ritual" en 2017. Deux films différents, mais similaires dans la façon dont l'histoire prend une voie bien précise avant de faire volte-face vers quelque chose de plus spoiler: surnaturel et mythologique . On retrouve également cette peur de l'inconnu et cette plongée dans les peurs les plus intimes des personnages. Ici, Ambar est une jeune immigrée qui vit au jour le jour. En plus d'avoir peur d'être arrêtée, elle va être confrontée à quelque chose de plus sinistre lorsqu'elle décide de prendre une chambre dans une maison délabrée où elle fait de terribles cauchemars. "No One Gets Out Alive" fait donc d'abord penser à un drame horrifique et social sur la traite d'êtres humains et le sort des immigrés pour ensuite prendre une tournure plus spoiler: mythologique avec un démon aztèque que les propriétaires des lieux tentent de nourrir cette monstruosité. Des monstres au service du monstre en somme . Évidemment, ça manque de cohérence, car le virage est peut-être trop brutal et que la partie sociale et rationnelle part aux oubliettes, mais ce premier long-métrage de Santiago Menghini reste pas mal grâce à son ambiance pesante et à son rythme soutenu.
Film sympa à regarder... La photographie et les effets visuels sont vraiment bons... Les acteurs sont correctes... Quelques scènes bien sanglantes vers la fin... Une ambiance assez mystérieuse tout le long... Le problème est que l histoire met un peu de temps à démarrer et aussi qu'il n y a aucune explication ou origine story concernant la créature ds la boîte... Peut être un mythe connu... On sait juste que les personnages font un rituel sacrificiel depuis plusieurs générations... Bref sympa mais sans plus...
Disons le de suite, je m'attendais à pire, m'enfin, pourquoi faire durer la mise en place aussi longtemps ? C'est simplement interminable, ce qui est plutôt dommage car pour le coup ça joue plutôt bien et l'ambiance de départ est intéressante. Il ne se passe donc pas grand chose jusqu'au final qui lui est sympathique et nous remue un peu, on termine sur quelques bonnes scènes et vu la qualité de ces dernières, on finit d'autant plus déçus de la tournure de la première heure.
Personne ne sort d’ici vivant est un film d’horreur semble-t-il réalisé par un canadien, et pourtant, le film fleure bon l’horreur à l’espagnole. Cela se ressent dans les décors, avec cette grande maison à l’ancienne, aux portes qui grincent, aux canalisations bruyantes, très gothique alors que le film se déroule de nos jours, dans la photographie, raffinée, léchée, dans le soin apporté aux effets horrifiques, et dans l’esthétique de la créature, très Labyrinthe de Pan j’ai trouvé. Formellement, le métrage s’inscrit vraiment dans la tradition de l’horreur hispanique, et il le fait bien, avec un travail visuel globalement très appréciable. Le souci, c’est que cette belle forme est au service d’une histoire pas terrible. Le métrage est manifestement un de ces films qui avec une bonne idée de fin doit meubler tout ce qui se passe avant. Alors il nous fournit un peu d’ancrage réaliste avec cette clandestine qui tente de se faire régulariser, et du fantastique jamais expliqué à base d’ectoplasmes qui nous gratifient de jumpscares très classiques et plus souvent d’un certain ennui. Le film ne se dévoile vraiment sous son vrai jour que dans les vingt dernières minutes, où là on rentre dans le vif du sujet, mais c’est déjà un peu tard. C’est fort dommage, car si l’idée est tirée par les cheveux, elle avait un beau potentiel pour créer quelque chose de plus singulier que ce qui occupe environ 1 heure du film. Côté casting, je dirais que c’est convenable. Les acteurs jouent pas trop mal, même si ça ne m’a pas transporté non plus, faute à un scénario assez prévisible. Au début je me suis dit « tiens, un film qui ne cède pas à la facilité avec ses personnages », puis en définitive si, les personnages sont exactement ce qu’on pense qu’ils sont au départ, et c’est frustrant. Personne ne sort d’ici vivant est donc un petit film d’horreur qui sans démériter, avait de quoi faire mieux. Entre le fantastique qui s’immisce de façon inexpliquable dans la vie de ces femmes et une conclusion qui nous laisse dans la bouche un goût un peu amer d’avoir assisté à 1 heure de film banal et 20 mn de film original, il y a des lacunes d’écriture certaines, mais l’ensemble se laisse toutefois voir sans déplaisir grâce à une belle esthétique et un certain sens du rythme dans l’ensemble. 3.
Ce qui reste le plus gênant c est de ne pas en savoir plus sur cette fameuse boîte puisque tout tourne autour de ce rituel. Non c est pas mauvais effectivement car on reste attentif à ce qu'il va se passer mais le manque d information est quand même un vrai problème. On a l impression de survoler le sujet sans jamais y entrer.