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    Borat 2
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    123 critiques spectateurs

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    Michael R
    Michael R

    102 abonnés 1 251 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2020
    Fan du 1er, comme beaucoup j'ai été surpris de découvrir ce nouvel opus arriver de nul part, mais je l'ai pris comme une bonne nouvelle. Pourtant il s'est passé quelque chose qui fait que ça ne marche plus comme avant, est-ce l'effet de surprise passé ? Les 14 années sans nouvelles ? Le personnage de sa fille omniprésent ? Ou alors faut il voir ailleurs. Le 1er opus était une charge féroce contre les États Unis, là c'est un pamphlet antirépublicain, donc un parti pris politique. Sasha Baron Cohen instrumentalise son personnage de Borat pour faire passer son message (d'ailleurs la note finale "vote" le surligne si ce n'était pas bien compris). C'est franchement dommage car il y a de très bonnes idées et des fulgurances de génie. Comme le passage complètement dingue des rallyes ou encore cette interview gênante avec Rudolph Giulani. Sans compter ce parallèle avec le Covid ou le vernis féministe extrêmement bien sentis. Bref, si Borat met en lumière une certaine Amérique, le parti pris enlève à la charge.
    Rony Bass
    Rony Bass

    9 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2020
    Borat, le retour! SBC nous sort à nouveau un film plein d'humour noir qui fera le bonheur des moins politiquement corrects. Il faut prendre cet humour au premier degré et se délasser devant les péripéties de cet énergumène qui à le don de nous énerver et de nous faire rire en même temps. Ça m'a donné envie de revoir le premier film qui ne m'avait pas plus marqué que ça à l'époque.
    Yetcha
    Yetcha

    873 abonnés 4 385 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 décembre 2020
    J'avais trouvé le premier Borat décalé et plutôt drôle avec des scènes franchement gênantes, ici la recette est reprise à 100% avec de nombreuses scènes "de l'espace" mais le charme n'agit pas de la même façon. On regarde, quelques scènes font vraiment mouche mais le fil rouge de sa fille qu'il veut vendre n'est pas du tout accrocheur et plombe l'ensemble. Dommage, même s'il faut lui reconnaître sa force de dénonciation de l'administration Trump.
    Yves G.
    Yves G.

    1 451 abonnés 3 475 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 novembre 2020
    Borat Margaret (sic) Sagdiyev est libéré du goulag où il a été expédié. Un cadeau lui est confié par le Président du Kazakhstan, qu'il devra remettre au président Donald Trump ou, à défaut, au vice-président Mike Pence. C'est l'occasion pour le journaliste kazakh, perclus de préjugés antisémites et racistes, de revenir aux Etats-Unis, quinze ans après son précédent séjour. Sa fille, Turat, est du voyage.

    Borat est de retour.
    Comment pouvait-il en être autrement ? Certes le créateur de ce personnage iconoclaste, le Britannique Sacha Baron Cohen, avait juré ses grands dieux que son film n'aurait pas de suite. Mais après avoir engrangé en 2007 plus de deux cent cinquante millions de dollars de recettes (pour un budget de dix-huit millions seulement), comment résister à la perspective de faire coup double ?

    Pour ne pas décevoir ses fans, "Borat 2" est condamné à ré-utiliser les mêmes recettes que "Borat 1". Sur le fond : un soi-disant journaliste kazakh au sabir hilarant tend aux Etats-Unis le miroir déformant de ses pires défauts (antisémitisme, sexisme, complotisme, bigoterie...) auxquels s'ajoute depuis 2020 le refus de certaines franges de la population de se plier aux précautions sanitaires que la pandémie du Covid appelle. Dans la forme : des saynètes sont filmées en caméra cachée où des Américains se font piéger.

    Le fond fait toujours autant rire. "Borat 2" contient des scènes inégales plus ou moins drôles. Certaines sont franchement hilarantes et risquent, comme celles du premier opus, de devenir cultes. L'une en particulier a déjà défrayé la chronique où l'on voit Rudy Giuliani, l'ancien maire de New York, l'un des plus fidèles supporters de Donald Trump, céder au charme d'une journaliste et l'accompagner dans une chambre d'hôtel.

    Mais le rire que "Borat" suscite est un rire bien particulier. Il est basé sur la gêne, sur l'outrance. C'est un rire qui suscite un malaise. On se souvient, dans le premier film, de cette scène où Borat, feignant d'ignorer le fonctionnement des toilettes américaines, en était sorti avec un sac plastique rempli de ses excréments. On peut la trouver hilarante ; on peut aussi la trouver très embarrassante. C'est le même embarras que j'ai ressenti durant le bal des débutantes où la fille de Borat (interprétée par l'épatante Maria Bakalova) exhibe son sexe rougi par ses règles.

    Dans la forme, "Borat 2" atteint vite ses limites. Le visage de Sacha Baron Cohen est en effet devenu trop célèbre pour permettre à l'acteur de filmer dans l'anonymat ses rencontres. Il est condamné à se grimer ou à se dédoubler à travers sa fille. Certaines scènes ont été réellement tournées en caméra cachée; mais il semblerait qu'elles ne l'aient pas toutes été, rompant le pacte tacite qui liait le réalisateur à ses spectateurs.

    Qui aura aimé "Borat 1" risque d'être déçu de cette resucée sans surprise. Qui ne l'aura pas aimé ne pourra qu'être déçu.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 573 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2020
    Je suis incapable de comprendre par quel tour de passe-passe cet animal de Borat parvient encore aujourd’hui à mystifier ses victimes. Cela fait certes quatorze ans qu’il s’était “fait l’Amérique” une première fois mais tout de même…! Les personnalités publiques, d’accord, ça tombe sous le sens qu’elles n’ont pas participé de leur plein gré à leur propre mise en boîte mais j’ai vraiment du mal à accepter que les gens ordinaires qui ont participé à la mascarade, comme le type qui vend sans sourciller une cage pour que Borat puisse y loger sa fille ou les obsédés de la théorie du complot Qanon convaincus qu’ Hillary Clinton boit le sang des enfants pour se filer des shoots d’adrénaline, soient de simples pigeons et pas des complices. Ou alors, c’est que les Américains moyens sont, au choix, très placides ou très professionnels (voire même très cons). De toute façon, l’objectif du trublion est accompli, avec ou sans complices : commenter l’Amérique trumpienne de 2020, ou plutôt laisser l’Amérique se commenter elle-même, ce qui est sans doute pire. Le prétexte invoqué est cette fois d’offrir d’abord un singe connu au Kazakhstan pour ses prestations pornographiques, puis sa propre fille nubile, à Mike Pence pour s’attirer les bonnes grâces du président Trump. Bien saisir tous l’aspect délirant des actions et déclarations de Borat nécessite une connaissance relativement pointue de la politique américaine et des petites phrases dont leur président a abreuvé le monde depuis quatre ans. Dans le cas contraire, il reste toujours le don de Sacha Baron Cohen d’aller toujours un cran plus loin que ce dont on le pensait capable, et c’est sans doute déjà suffisant, vu le nombre de séquences extrêmes, à déconseiller aux âmes sensibles, qu’il propose encore une fois. Entrer dans une synagogue déguisé en juif tel qu’il se les imagine (donc, avec des doigts griffus, des ailes de chauve-souris et de l’argent plein les mains) ou se livrer à une danse de la fertilité célébrant les menstruations de sa fille devant les participants atterrés d’un bal des débutantes ne sont que quelques unes des moment les plus délectables du documenteur. Forcément, on est moins surpris que lors des premiers Impersonator de Baron Cohen, les mises en scène rament parfois sévère pour tenir debout et sa série ‘Who’s America’ était à la fois plus variée et plus pertinente puisqu’elle dépendait moins d’une pseudo-trame à suivre. Il n’empêche que malgré un résultat nettement inférieur à ses précédentes tentatives, sous couvert d’un humour crade et extrême comme on n’en rencontre pratiquement plus, , ‘Borat’ fonctionne comme un authentique révélateur de la face la plus sombre de l’humanité, bien plus que n’importe quel documentaire, même si on a un peu trop souvent du mal à croire à l’aspect “spontané” de la mystification pour que l’ensemble fonctionne parfaitement.
    selenie
    selenie

    6 188 abonnés 6 172 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2020
    Le Covid impose de nouvelles règles qui pousse Borat à vivre un temps avec deux rednecks. Finalement, après bien des rebondissements, Borat et sa fille retourneront au Kazakhstan où ils vont apprendre l'origine du Coronavirus !... Plusieurs bonnes idées fusent dans les premières minutes du film, par contre, on s'aperçoit bien vite qu'il n'y a pas assez de matière pour une suite aussi folle et foisonnante que le premier. Problème : particulièrement opportuniste niveau féminisme vu ces 3-4 dernières années mouvementées sur le sujet, on voit que les auteurs n'osent pas franchement y aller à fond, et malheureusement tout ce qui touche au féminisme et/ou aux droits des femmes demeure très démago, très sage ce qui est le comble ! Cette fois l'inspiration n'était pas au rendez-vous, c'est marrant, c'est satirique juste un peu, potache mais finalement ce film frôlerait presque le politiquement correct ! Est-ce à dire que la censure et/ou la liberté d'expression n'a pas évolué dans le bon sens ?!...
    Site : Selenie
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 novembre 2020
    Ce film est malhonnête puisqu'ils ont clairement essayé de piéger, sans succès, des personnalités américaines proche de l'administration Trump, comme par exemple Rudy Giuliani.
    De plus le film est loin d'être marrant. Dommage que le film a pris une tournure politique avec un choix clair pour les Démocrates.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    349 abonnés 1 783 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 novembre 2020
    Même si je l’ai trouvé en dessous de son prédécesseur, pour moi c’est une bonne comédie. Malgré ses défauts, elle m’a bien trop fait rire pour dire que je n’ai pas apprécié. Il y en avait moins qu’avant, mais tout de même les larmes sont venues à plusieurs reprises. Le principe reste le même. Un faux reportage va être mis en scène pour piéger des intervenants et rires à leurs dépens. Une méthode peu orthodoxe qui avait fait scandale pour le premier, mais portant ses fruits. L’avantage est que vous n’êtes pas obligé d’avoir vu le premier car déjà un résumé est fait au départ, et ensuite, l’histoire est encore une fois inexistante. Elle n’est qu’une excuse pour traverser les États-Unis. J’avoue que j’ai senti cependant moins de naturelle cette fois-ci. Surtout qu’il y a plus de transition et de flottement. Le personnage de Borat est toujours aussi dingue et Sacha Baron Cohen nous sort une performance géniale. Cependant, beaucoup d’interlocuteur vont être assez passifs ce qui retire un peu du charme. Je suis aussi sceptique sur l’axe pris dans celui-ci. Dans le premier, Borat n’épargnait personne, et n’avait pas de cible politique précise. Juste une critique d’une certaine Américaine. Là, on sent clairement que le but est de descendre Trump. Les politiques visés sont tous des proches, et les mouvements critiqués sont ses soutiens par exemple la mouvance QAnon et les sceptiques aux Covid. Je ne dis pas que ce n’est pas drôle, mais ça sonne beaucoup plus consensuel, ce qui est dommage.
    Vinz1
    Vinz1

    175 abonnés 2 422 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 novembre 2020
    Si en 2006, « Borat » avait fait sensation avec son style « documenteur » en fustigeant les mauvais côtés des américains tout en faisant tout de même passer les habitants du Kazakhstan pour des êtres primitifs, cette suite reprend les mêmes ingrédients que son prédécesseur, sauf qu’ici, on a moins une impression de film documentaire mais plus celle d’un métrage scénarisé avec quelques inserts faisant véridiques. Peu importe, car les USA sont toujours autant pointées du doigt et Borat s’est adjoint les services d’un nouveau personnage : Tutar, sa fille de 15 ans qu’il va essayer de marier à un politique américain pour être gracié aux yeux de son pays ! Si l’effet de surprise que suscitait le premier opus a un peu disparu, il n’en reste pas moins que l’on assiste tout de même à des séquences qui nous font osciller entre la franche rigolade et le malaise poli (le bal des débutantes ou encore la fausse scène d’avortement chez le médecin parmi tout un florilège de saynètes irrévérencieuses). En résumé, c’est comme le précédent mais un cran en-dessous car on connaît désormais la mécanique du film même si c’est satirique à souhait et politiquement incorrect !
    Audrey L
    Audrey L

    627 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 novembre 2020
    30 secondes, peut-être une minute tout au plus, c'est ce qu'il manquait à patienter pour prendre Rudolph Giulani (l'avocat de Donald Trump) "la main dans le sac"... Si l'on peut le dire ainsi. Le bonhomme commençait à caresser les hanches de la fausse journaliste, commençait à mettre la main dans son pantalon...et déboule Borat, qui flanque tout par terre, nous empêchant d'avoir une quelconque preuve "réelle" de l'immoralité de l'homme accusé. Ou comment Borat 2 aime se tirer des balles dans le pied. Cette suite des (més)aventures de Borat, le personnage kazakh de Sacha Baron Cohen,14 ans après le premier film, n'est plus aussi affriolante que prévu. La surprise du personnage n'est plus, pire, il est devenu si populaire que Cohen doit à présent se déguiser "par-dessus Borat" pour échapper aux fans américains qui l'ont reconnu et quémandent des autographes... On regrette aussi le manque de dialogue qu'il y a dans cette suite, le montage coupant les réactions des américains croisés, et le personnage de Borat ne faisant aucun effort pour obtenir un quelconque retour de la part des interrogés, on assiste à un long monologue. On rêvait de voir plus longtemps les mamies juives qui accueillent le monstre de clichés anti-juifs et qui lui ouvrent leur cœur (certainement le plus beau passage du film, très attendrissant, qui est totalement coupé au profit des séquences inutiles de la narration entre père et fille). Cette narration des relations père-fille passant de l'extrême misogynie (avec des caricatures ultra-lourdingues comme le vagin à dents...) à l'égalité (une happy-end poussive) ne sert pas à grand-chose car elle enfonce des portes ouvertes et ne fait pas vraiment rire. Pour ce qui est de la critique des États-Unis, le premier film était bien plus abouti, car ici on ne voit pas beaucoup les institutions censées être critiquées, et on ne dialogue quasiment jamais avec elles, au profit d'une scène de discours volontairement caricatural récité pour choquer l'assemblée, ce qui fonctionne, avant de repartir, mais qu'avons-nous appris de cette assemblée ? Rien. Seule l'interaction avec les deux hôtes conservateurs qui se rendent à un meeting ultra-raciste est une plongée instructive dans la dénonciation de la stupidité et méchanceté gratuite (et dire que ces gens votent...). La chute finale du film sur la spoiler: pandémie de la Covid transmise par Borat
    est inattendue et très drôle ! Dommage que le reste ne soit pas à la hauteur de ce genre de bon coup scénaristique. Borat 2 tente de nous dire bien des choses, entre "portez un masque", "votez intelligemment", "soyez ouvert d'esprit pour ne pas ressembler à Borat" (généralité), mais le fait avec tellement de maladresse qu'il sabote toutes les preuves qui pourraient soutenir ces messages. L'intention était bonne...
    Renzo75
    Renzo75

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 novembre 2020
    Son premier film était drôle, celui-ci est juste à vomir, pas sur même qu'on puisse qualifier ça de "film". Vraiment mais alors vraiment pas drôle, raciste, debile, what else ?
    Jean-Marie Morille
    Jean-Marie Morille

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 novembre 2020
    Autant j'ai aimé Borat 1 autant celui ci est une purge à aucun moment j'ai rie en regardant ce film qui est vraiment mauvais par rapport au premier. En gros c'est nul!!
    fredoxx
    fredoxx

    2 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2020
    14 ans après la sortie de cet OFNI qu'est Borat 1er du nom, voilà Sacha Baron Cohen qui récidive avec cet opus que personne n'attendait. Tout comme son prédécesseur, Borat 2 (pour simplifier, car le titre exact est beaucoup plus long), manie de façon jubilatoire, la critique contemporaine de l'Amérique d'aujourd'hui. Et plus particulièrement de Trump, où notre cher héros kazakh arrive aux Etats-Unis avec l'obligation de marier sa fille avec un très haut dignitaire américain...D'où s'en suivent des saynètes ubuesques dépassant les limites du grotesque et du bien-pensant de notre société si aseptisée. Tout ça avec toujours la question : quand est-ce que nous passons du fictif à la caméra cachée? Les problèmes d'actualité sont évoqués (politique, racisme, misogynie, Coronavirus,...) avec autodérision même si l'on frôle souvent le très mauvais gout. On peut comprendre les tensions de certaines scènes ressenties par l'acteur principal et son équipe de tournage...
    ferdinand75
    ferdinand75

    544 abonnés 3 842 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 novembre 2020
    Une impression de déjà vu . Des gags qui fonctionnent moins bien. on s'ennuie presque. C'est dommage parce que l'on aime bien le personnage de Borat. Le personnage féminin amène pourtant un petit plus, Mais ce n'est
    pas suffisant.
    pfloyd1
    pfloyd1

    124 abonnés 2 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2020
    Je ne sais pas quoi penser de ce film, je n'avais pas vu le premier donc je suis franchement tombé sur les fesses en découvrant ce personnage atypique. Drôle, l'homme rend mal à l'aise parfois, coincé entre sa diction hasardeuse, son langage souvent grossier et provocateur, ce qu'il fait est déstabilisant sur le coup. Je ne savais pas s'il s'agissait d'un scénario ou de cameras cachées ! Le surprise fut en demie teinte quand j'ai appris par la suite qu'il s'agissait de véritables "pièges" posés aux différents personnages du film. L'acteur se serait même retrouvé dans des situations dangereuses voir mortelles tant les canulars sont poussés. Souvent liés à la politique, les sujets sont à fleur de peau, risqué , dangereux... La jeune actrice qui l'accompagne joue incroyablement bien, c'est stupéfiant surtout quand on connait les risques que les deux acteurs ont pris. Un bon divertissement, drôle mais terriblement vulgaire...
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