Borat, le journaliste le plus nigaud du Kazakhstan est de retour dans ce nouvel ovni filmique. Pour se racheter et laver l’image ternie de son pays, il a pour mission de marier sa fille à un homme politique de premier plan. Sacha Baron Cohen remet ça presque 15 ans après son premier opus qui avait fait un énorme carton à sa sortie en 2006. Ce « Borat 2 » est un manifeste anti-Trump affirmé, souvent désopilant, parfois vulgaire ou gênant (mention spéciale à la séquence avec Rudy Giuliani). Comédie absurde dans la lignée du premier film ou de The Dictator, Sacha Baron Cohen semble un peu moins maitriser son sujet mais les fous rires seront quand même au rendez-vous !
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Ce film est un chef d'oeuvre. Il joue subtilement avec l'humour et la dérision pour mettre en avant divers aspects rétrogrades et révoltant du comportement d'une partie de la société américaine. Mais ne vous enfuyez pas ; ce film vous fera vous plier de rire indéniablement, tellement la situation des sketchs est déconcertante et l'exagération du contexte sociétale des personnages est poussé à son extrême.
Un film qui fait réfléchir, dénonce une amérique à la ramasse et le fait avec humour et intelligence.
honnetement comment peut'on se rabassé a regarde se film, s'est ma critique je dis se que je pensse plus nul que se film y a pas il surpasse de loin les nulissime scarie movie par exemple qui déjas en therme de nulité fesais fort
BorДt 2, le retour de Sacha Baron-Cohen, acteur, scénariste et producteur Britannique, dans le personnage du journaliste Kasakh Borat Sagdiyev dans un nouveau faux documentaire politico-satirique à base de caméra-cachées, plus ou moins mises en scène, réalisé par Jason Woliner, sorti en 2020 sur Prime Vidéo. Un film anti-Trump qui se moque de l’Amérique conservatrice républicaine, sorti juste avant l’élection présidentielle. Un faux documentaire iconoclaste, irrévérencieux et totalement déjanté. Une utilisation de caméra cachées qui a donnée lieu à un véritable piège pour l’ancien maire de New-York, où Sacha Baron-Cohen intervient pour que ça n’aille pas plus loin. Un film qui fait feu de tout bois. Le Kazakhstan en prend pour son grade, l’occident aussi, les États-Unis surtout et notamment le parti républicain. Beaucoup de clin d’œil au cinéma de Emir Kusturica et à la musique de Goran Bregović. C’est politiquement incorrect à souhait. C’est drôle et sans limites. Un film de propagande clairement pro-démocrate, mais aussi et avant tout une farce jouissive. A ne surtout pas prendre au premier degré.
Très décevant, les attentes étaient grandes d'une "suite" à la hauteur du mythique "Borat 1". Les "grosses ficelles" inattendues dans le "1" sont reprises, mais ça ne fait pas rire autant, car c'est déjà vu justement. La narration est un peu foutraque, et les "temps forts" de rencontres avec des candidats, ou avec Rudolf Juliani, ne sont pas grand chose finalement. Il fallait sortir le film vite-vite pendant la campagne US, mais du coup c'est bâclé.
On a quand même de quoi s'esclaffer quelques fois...
" Borat, nouvelle mission filmée" diffusé sur Amazon Prime Vidéo est une comédie satirique qui fut une bonne surprise pour moi. En effet même si l'histoire part dans tous les sens et un scénario quasi inexistant, le film doit beaucoup à son tandem Sacha Baron Cohen et surtout Maria Bakalova( nomination au oscar possible) qui ose tout dans ce film en prenant les pires risques pour dénoncer la société sous l'ère de Trump et la dictature du Kazakhstan dans des séquences irréalistes et jouissifs.
La déception, aussi passionnant qu'un discours de Trump sur le climat. Aussi drôle qu'un stan-p de Mark Zuckerberg. Borat 2 n'est pas drôle. Boulevardducinema.com
Le film ne dit rien, ou si peu et quand il dit, il y a une telle disproportion entre le gag et la situation qu'il dénonce, que le gag devient plus inacceptable et intolérable que la situation dénoncée.
Le kazakh le plus connu du cinéma revient quatorze ans après avec Borat Nouvelle Mission Filmée qui disons le tout de suite, n'est clairement pas à la hauteur de son prédécesseur. L'histoire est un peu une redite avec Borat qui retourne aux Etats-Unis accompagné cette fois de sa fille qu'il souhaite offrir. Le début semble prometteur et ça fait plaisir de retrouver le reporter le plus dingue, mais très vite le soufflet retombe. Pourtant il s'en est passé des choses depuis tout ce temps donc il y avait des choses à raconter mais ici ça manque clairement d'idées. Force est de constater que ce second volet est beaucoup moins corrosif et piquant que le premier. C'est moins surprenant et aucune scène n'arrive à la hauteur du film d'origine. Hormis le quiproquo avec le bébé et la danse ensanglantée qui tente de rivaliser avec le combat nu dans le premier en terme de crasserie, il n'y à pas d'autres moments qui se démarquent. C'est beaucoup plus sage dans l'ensemble et les attaques sont beaucoup moins frontales. On ressent cela à travers les dialogues qui ne sont plus aussi incisifs et drôles, ils sont même souvent barbants. Car oui on rigole beaucoup moins dans cette suite et c'est très dommageable dans une comédie. On retrouve néanmoins avec plaisir Sacha Baron Cohen même s'il a atteint les limites de son personnage. A ses côtés, Maria Bakalova qui joue sa fille est à mon goût trop présente même si l'actrice joue bien, son personnage n'est pas des plus intéressant. Leur relation ne m'a pas plus emballé que ça. Côté réalisation c'est correct sans plus tout comme la b.o. beaucoup moins présente que dans le premier opus là ou elle était superbe, ici elle reste qualitative mais beaucoup trop en retrait. Reste une fin franchement pas mal avec la petite révélation assez amusante mais dommage que l'ensemble ne soit pas du même niveau. Vous l'aurez compris, Borat Nouvelle Mission Filmée est en tout points moins bon que l'original. Plus tourné vers la politique américaine, il en oublie un peu le reste et c'est bien dommage car ce qui était plaisant c'était de le voir dézinguer tout le monde. Ce n'est clairement pas un indispensable et je vous conseilles plutôt de revoir celui de 2006.
Sacha BARON COHEN est de retour aux États-Unis pour une mission secrète. Borat est toujours aussi fou et drôle, mais cette suite n'a pas le même charme ni la même spontanéité. C'est beaucoup plus consensuel que la première fois. On appréciera tout de même l'apparition d'un nouveau personnage dans l'intrigue. Maria BAKALOVA livre une interprétation très satisfaisante sous les traits de la fille du fameux journaliste kazakh.