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    Borat 2
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    bobbyfun
    bobbyfun

    39 abonnés 1 246 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 octobre 2020
    Moins irrévérencieuse mais plus que jamais d'actualité, cette suite tient plus de son caractère politique que de sa satire sociale.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 092 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 octobre 2020
    Moins drôle et inattendu que le premier volet, ce deuxième opus est tout de même réussi et nous fait re-découvrir cette partie extrême de l'Amérique.
    Vinz1
    Vinz1

    175 abonnés 2 422 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 novembre 2020
    Si en 2006, « Borat » avait fait sensation avec son style « documenteur » en fustigeant les mauvais côtés des américains tout en faisant tout de même passer les habitants du Kazakhstan pour des êtres primitifs, cette suite reprend les mêmes ingrédients que son prédécesseur, sauf qu’ici, on a moins une impression de film documentaire mais plus celle d’un métrage scénarisé avec quelques inserts faisant véridiques. Peu importe, car les USA sont toujours autant pointées du doigt et Borat s’est adjoint les services d’un nouveau personnage : Tutar, sa fille de 15 ans qu’il va essayer de marier à un politique américain pour être gracié aux yeux de son pays ! Si l’effet de surprise que suscitait le premier opus a un peu disparu, il n’en reste pas moins que l’on assiste tout de même à des séquences qui nous font osciller entre la franche rigolade et le malaise poli (le bal des débutantes ou encore la fausse scène d’avortement chez le médecin parmi tout un florilège de saynètes irrévérencieuses). En résumé, c’est comme le précédent mais un cran en-dessous car on connaît désormais la mécanique du film même si c’est satirique à souhait et politiquement incorrect !
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    135 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2020
    L'humour toujours aussi peu fin de l'ami Borat est de retour dans un film anti républicain au possible.
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    158 abonnés 1 498 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2023
    J’avais vraiment pas aimé le premier film mais ma curiosité m'amène à regarder la suite. C’est mieux mais ça reste moyen. Effectivement, l’histoire reste un peu plus travaillée et la réalisation reste fidèle à elle-même et immersive.

    La mise en scène est prenante dans le sens où nous suivons littéralement le protagoniste dans sa vie de tous les jours. C’est très bien réalisé mais les longs silences finissent pas être juste chiants et l'enchaînement d’humour devient trop fatigant. Cela n’empêche que le cadrage reste de grande qualité et très bien manié et que la musique est pour le coup assez chouette.

    En ce qui concerne le scénario, je trouve qu’il s’est amélioré par rapport au précédent film, dans le sens où il y a “moins” de moments de comédie mais il y en a toujours trop. A tel point que le film devient un film à sketch lourd et sans pause. Par conséquent, je n’ai absolument pas été impacté par les péripéties et le développement des protagonistes. Le film m’a un peu ennuyé.

    Malgré une amélioration dans l’écriture, je ne conseille pas ce film car il y a un aspect trop lourdingue qui me gave et qui m’ennuie.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    349 abonnés 1 783 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 novembre 2020
    Même si je l’ai trouvé en dessous de son prédécesseur, pour moi c’est une bonne comédie. Malgré ses défauts, elle m’a bien trop fait rire pour dire que je n’ai pas apprécié. Il y en avait moins qu’avant, mais tout de même les larmes sont venues à plusieurs reprises. Le principe reste le même. Un faux reportage va être mis en scène pour piéger des intervenants et rires à leurs dépens. Une méthode peu orthodoxe qui avait fait scandale pour le premier, mais portant ses fruits. L’avantage est que vous n’êtes pas obligé d’avoir vu le premier car déjà un résumé est fait au départ, et ensuite, l’histoire est encore une fois inexistante. Elle n’est qu’une excuse pour traverser les États-Unis. J’avoue que j’ai senti cependant moins de naturelle cette fois-ci. Surtout qu’il y a plus de transition et de flottement. Le personnage de Borat est toujours aussi dingue et Sacha Baron Cohen nous sort une performance géniale. Cependant, beaucoup d’interlocuteur vont être assez passifs ce qui retire un peu du charme. Je suis aussi sceptique sur l’axe pris dans celui-ci. Dans le premier, Borat n’épargnait personne, et n’avait pas de cible politique précise. Juste une critique d’une certaine Américaine. Là, on sent clairement que le but est de descendre Trump. Les politiques visés sont tous des proches, et les mouvements critiqués sont ses soutiens par exemple la mouvance QAnon et les sceptiques aux Covid. Je ne dis pas que ce n’est pas drôle, mais ça sonne beaucoup plus consensuel, ce qui est dommage.
    Cool_92
    Cool_92

    285 abonnés 472 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 octobre 2020
    Quelques moments de grâce mais dans l'ensemble une déception. L'effet de surprise n'est plus là. Au départ, on est heureux de retrouver ce personnage mais les différents sketchs ne sont pas si drôles. L'humour est trash comme le 1er mais bcp moins mordant. Même la scène avec Guliani n'est pas si dingue que ça au final. Le problème est que la réalité a dépassé la fiction: le monde de Trump est bcp plus barjo que Borat. Ça ne fonctionne pas toujours.
    sylvio41
    sylvio41

    15 abonnés 255 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 octobre 2020
    Malgré sa vulgarité assumée, le premier Borat bénéficiait de l’effet de surprise et n’avait d’autre but que de dépeindre sous couvert d’une fausse caméra cachée, les travers et hypocrisies de la société américaine vus à travers les yeux d’un journaliste kazakh, représentant d’une culture dépeinte comme arriérée, misogyne et antisémite. Ce second opus n’est en fait qu’un tract ambulant, assumé comme tel, exclusivement à charge contre Trump et les Républicains à quelques jours des élections présidentielles américaines. Et c’est là que c’est gênant car quoi que l’on pense de la politique de Trump, ce film est le pur produit caricatural du militantisme anti-Trump d’Hollywood et de l’ensemble des médias américains. Borat ne se moque pas ici du sentiment de supériorité et des profondes inégalités de la société américaine mais uniquement de la bêtise de militants républicains ici manipulés. L’exercice a été poussé au maximum avec l’intrusion en tenue du Ku Klux Klan à un meeting politique de Mike Pence (à qui Borat devait offrir sa fille en « cadeau officiel ») et à des appels au meurtre chantés sous des airs country lors d’un meeting de militants. Quelques savoureuses attaques de l’absence de morale du capitalisme sauvage américain ont cependant été soulignés comme dans le 1, comme ces chirurgiens esthétiques, qui ne voient aucun problème à installer des implants mammaires à une adolescente du moment qu’ils sont grassement payés, ou ces vendeurs qui conseillent d’acheter la plus grosse bouteille pour pouvoir gazer des gitans ou vendent la meilleure cage pour y mettre une femme… Seule bonne surprise, Maria Bakalova, qui joue la fille de Borat, s’en sort bien dans sa prestation. Le film est au final moins percutant que le 1, mais son objectif n’était pas le même.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    681 abonnés 2 994 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 octobre 2020
    Le seul intérêt véritable à trouver à ces nouvelles tribulations du Kazakhstanais réside non pas dans la relation père-fille que le long métrage met en scène de façon laborieuse et facile, pas non plus dans les déguisements que porte Borat pour échapper à sa popularité en Amérique – sauf celui de Donald Trump en voleur de femme, jubilatoire –, mais dans la conversion ici opérée de l’échiquier politique à l’heure des élections présidentielles en vaste foire où les partisans républicains, entre deux bières, reprennent le refrain débile chanté par celui qui se joue d’eux. C’est dire que la suite ne cherche plus l’exotisme d’un regard étranger mais la communion dans la bêtise la plus pure et régressive, à l’image des deux hôtes persuadés d’avoir débusqué un complot politique en la personne de Tutar ou encore de ce vendeur qui conseille Borat en cage et en bombonne de gaz. Dès lors, si certaines provocations renvoient une impression de gratuité dommageable, résidu malvenu du précédent long métrage en ce sens où la nécessité de faire rire à tout prix force la caricature, la provocation politique, elle, s’avère réussie et aurait mérité une immersion plus fouillée. Car à vouloir rire de toute chose et de tout le monde, le film s’égare et semble tirer partout dans l’espoir d’atteindre une cible quelconque ; le montage accentue l’émiettement de séquences mal découpées en scènes trop courtes. En outre, l’articulation de la caméra cachée et de la fiction se fait mal et les deux approches se desservent l’une l’autre. La date de sortie et le contexte politique dont il s’empare font de Borat Subsequent Moviefilm une œuvre incandescente et militante qui perd son feu à mesure qu’il s’éloigne de l’affrontement Républicains/Démocrates, retombant alors sur des sentiers déjà explorés précédemment, dans une zone de confort qui agace plus qu’elle n’amuse ou ne déconcerte.
    Kana57
    Kana57

    38 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2020
    Vu Borat 2 un peu moins drôle que le 1er peut être que celui-là est un peu plus scénarisé pourtant tout y passe le Covid 19 les hommes politique et surtout l'amérique sous Trump a voir une fois pour le plaisir mais révolutionne rien ⭐⭐
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 981 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 avril 2021
    Summum de vulgarité, et de mauvais goût sans la drôlerie crasse du premier film. Tout ou presque y est - mal - scénarisé avec très peu de scènes de caméra cachée ( la plus connue impliquant Guliani). Reste une satire de l'Amerique Trumpiste qui, si elle fait souvent mouche, ne parvient pas à faire rire, a de très rares exceptions près (les vraies scènes de caméra cachée). Notons que Sacha Baron Cohen ressemble vraiment à Frank Zappa. C'est à peu près tout. Pourvu qu'il n'y ait pas d'épisode 3.
    @fredlvdf
    @fredlvdf

    17 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 novembre 2020
    Je le trouve toujours aussi marrant et culotté, le personnage de sa fille rajoute vraiment quelque chose dans le film et elle joue très bien.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 573 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2020
    Je suis incapable de comprendre par quel tour de passe-passe cet animal de Borat parvient encore aujourd’hui à mystifier ses victimes. Cela fait certes quatorze ans qu’il s’était “fait l’Amérique” une première fois mais tout de même…! Les personnalités publiques, d’accord, ça tombe sous le sens qu’elles n’ont pas participé de leur plein gré à leur propre mise en boîte mais j’ai vraiment du mal à accepter que les gens ordinaires qui ont participé à la mascarade, comme le type qui vend sans sourciller une cage pour que Borat puisse y loger sa fille ou les obsédés de la théorie du complot Qanon convaincus qu’ Hillary Clinton boit le sang des enfants pour se filer des shoots d’adrénaline, soient de simples pigeons et pas des complices. Ou alors, c’est que les Américains moyens sont, au choix, très placides ou très professionnels (voire même très cons). De toute façon, l’objectif du trublion est accompli, avec ou sans complices : commenter l’Amérique trumpienne de 2020, ou plutôt laisser l’Amérique se commenter elle-même, ce qui est sans doute pire. Le prétexte invoqué est cette fois d’offrir d’abord un singe connu au Kazakhstan pour ses prestations pornographiques, puis sa propre fille nubile, à Mike Pence pour s’attirer les bonnes grâces du président Trump. Bien saisir tous l’aspect délirant des actions et déclarations de Borat nécessite une connaissance relativement pointue de la politique américaine et des petites phrases dont leur président a abreuvé le monde depuis quatre ans. Dans le cas contraire, il reste toujours le don de Sacha Baron Cohen d’aller toujours un cran plus loin que ce dont on le pensait capable, et c’est sans doute déjà suffisant, vu le nombre de séquences extrêmes, à déconseiller aux âmes sensibles, qu’il propose encore une fois. Entrer dans une synagogue déguisé en juif tel qu’il se les imagine (donc, avec des doigts griffus, des ailes de chauve-souris et de l’argent plein les mains) ou se livrer à une danse de la fertilité célébrant les menstruations de sa fille devant les participants atterrés d’un bal des débutantes ne sont que quelques unes des moment les plus délectables du documenteur. Forcément, on est moins surpris que lors des premiers Impersonator de Baron Cohen, les mises en scène rament parfois sévère pour tenir debout et sa série ‘Who’s America’ était à la fois plus variée et plus pertinente puisqu’elle dépendait moins d’une pseudo-trame à suivre. Il n’empêche que malgré un résultat nettement inférieur à ses précédentes tentatives, sous couvert d’un humour crade et extrême comme on n’en rencontre pratiquement plus, , ‘Borat’ fonctionne comme un authentique révélateur de la face la plus sombre de l’humanité, bien plus que n’importe quel documentaire, même si on a un peu trop souvent du mal à croire à l’aspect “spontané” de la mystification pour que l’ensemble fonctionne parfaitement.
    vivaBFG
    vivaBFG

    13 abonnés 1 276 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2024
    Ce film pourrait passer pour une immense farce, fait pour divertir et se moquer gentiment des gens que Borat rencontre. Mais à y regarder de plus près, c'est bien une immense dénonciation de tout les petits et gros travers de bon nombre de peuple, de nations, de pays. Et beaucoup de chose y passe. Pêle-mêle : la manipulation des femmes dans le monde par l'entremise d'une éducation manipulatrice, les américains qui croient tout ce qu'on leur dit, de l'avortement aux US etc.. Et c'est superbement amené, construit, qu'on peut croire longtemps qu'il s'agit juste de quiproquo ou de donner la parole aux gens, mais que nenni. Ce film est une immense tribune pour tenter de remuer les consciences.
    A voir par les amateurs de comédies lesquelles ont quelque chose à dénoncer!
    Cinéma Exclusif
    Cinéma Exclusif

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2020
    Comment dénigrer un film aussi dur à réaliser ? Les nombreux messages et allusions du films nécessitent de nombreux visionnages mais quel travail ! Encore bravo
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