Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 27 octobre 2020
Quel dommage mais vraiment quel dommage le 1 er est un chef d’œuvre mais le 2 eme c’est du n’importe quoi trop scenariser humour lourd c’est simple j’ai arreter au bout de 5 minutes de film le doublage français qui était exceptionnel dans le 1 dans le 2 est horrible vraiment nul un seul mot FUYEZ VOUS SERAIS DÉÇU
Cette suite de Borat est selon moi moins bonne que le premier film, même si le film reste très drôle. Le problème, c'est que je trouve l'humour moins varié que dans le premier film : ici, Borat s'acharne surtout sur le féminisme et les Juifs, et le film tourne un peu au ridicule les républicains. C'est un peu dommage car dans le premier Borat, c'est vraiment toutes les catégories existantes qui en prenaient pour leur grade, et le premier film tournait au ridicule l'ensemble des Américains, là où ce second opus est beaucoup plus politisé. De plus, je m'attendais à ce que Sacha Baron Cohen tourne au ridicule la gestion du coronavirus aux États-Unis, mais c'est pas trop le cas au final, je dirais même que le fait que le film se passe en même temps que cette crise sanitaire est assez anecdotique car on en entend pas tant parler que ça. À par ça, ça reste un film hilarant qui repousse toujours plus loin les limites du politiquement correct. Je vous le conseille si vous avez aimé le premier film.
Borat, on l'aime ou on le déteste. Véritable poil à gratter pour les Trumpistes, il chatouille où ça fait mal. Parfois en faisant mouche, parfois avec moins de succès. Mais il est sincère dans ses convictions. Quand on est client du dessinateur de BD, Reiser, du mensuel satirique "Charlie hebdo" on ne peut qu'apprécier cette lourdeur volontaire pour mieux dénoncer, Sinon, ça coince. Mais plus il va loin dans son personnage de Borat, plus on se rend compte de l'absurdité, du manque de culture, de la bêtise et de l'ignorance crasse de ces gens. Même s'il est certain que ce long-métrage ne fera pas bouger les lignes concernant le vote à venir aux Etats-Unis, il permet de se rendre compte de l'ambiance mortifère qui règne là-bas, où les fake-news ont la dent dure...
Pour apprécier ce film de Sacha Baron Cohen il faut garder à l'esprit que c'est en partie tourné en caméra cachée comme l'a fait François Damiens dans "Mon Ket". Car si on le regarde comme une simple fiction ça pourrait sembler trop grotesque, pourtant ce sont des personnes de la vraie vie qu'on voit à l'écran... ça donne tout de suite une autre dimension aux situations.
Film indigent. Je n'ai même pas tout regardé, j'en ai eu marre. Je n'ai notamment pas vu la scène polémique. Ce que j'ai eu le courage de regarder n'était qu'une suite de gags lourds dans la veine du premier film, dont beaucoup sont, ai-je trouvé, extrêmement racistes pour bon nombre d'entre eux, et partageant par contre tous une caractéristique commune : des clichés paresseux sur des cibles faciles - les "arriérés" du Kazakhstan, ou les Américains moyens par exemple. Le tout enveloppé, et c'est à mon sens le pire aspect du film, dans une ambiguîté dans la manière de filmer pour fait croire à des caméras cachées, tentative ridicule et énervante de rendre les scènes encore plus comiques. Au contraire, il est évident que tout est mis en scène, à l'exception sans doute de la scène avec spoiler: Pence et de l'avocat de Trump . Bref, nul.
A ce niveau là c'est les Oscars : meilleurs scénario, meilleur second role pour "Tutar", meilleur premier rôle pour Borat, meilleur documentaire . Bref un chef d'œuvre extraordinaire qui mérite d'être vu et revu. Drôle et vrai dans la grande tradition des cinéastes juifs : Marx brothers, Charlie Chaplin, steven Spielberg, ...
Borat (2006) avait défrayé la chronique au moment de sa sortie. Tout d’abord au Kazakhstan, dont les autorités n’avaient vraiment pas appréciés la façon avec laquelle Sacha Baron Cohen se moquait du kazakh (un pays pauvre dont les habitants se délectaient de l’urine de cheval fermentée), sans oublier les retours négatifs ici et là, car il faut bien admettre que son humour n’était pas du goût de tous.
Toujours est-il que pour notre plus grand bonheur, Borat est de retour dans une nouvelle aventure, encore plus folle, délirante et drôle que la précédente. Après avoir humilié son pays aux yeux du monde entier, le reporter Borat Sagdiyev a une nouvelle chance de se racheter, pour cela, il doit marier sa fille à un puissant homme politique américain. Et c’est ainsi qu’il retourne chez l’Oncle Sam, pour mettre en lumière les travers de ce pays qui s’apprête à élire leur nouveau président (d’ici quelques jours !).
Toujours réalisé sous la forme d’un « mockumentaire » (un faux documentaire ou documentaire parodique), Sacha Baron Cohen étant désormais connu du monde entier sous les traits du moustachu kazakh, il a été obligé de se grimer en américain, afin de mieux se fondre dans la masse. S’il ne faisait déjà pas dans la dentelle avec son précédent film, cette fois-ci, il saute à pied joint sur la bien-pensance et ne se refuse rien pour critiquer l’Amérique conservatrice, à savoir les pro-Trump. Il met ainsi en lumière les pensées traditionnalistes, les complotistes & conspirationnistes des pro-Trump et ne se refuse jamais de les moquer.
On rit à gorge déployée devant des séquences telles que spoiler: le bal des débutantes ou celle chez le médecin pour l’avortement ou chez les rednecks. Et que dire du débat chez les républicains (lorsque la fille de Borat explique avoir trouvé le bonheur grâce à son vagin) ou l’irruption de Borat grimé en Donald Trump en plein meeting de Mike Pence (vice-président des États-Unis sous la mandature de Donald Trump). Sans oublier la séquence dans la synagogue ou l’interview de Rudy Giuliani (ancien maire de New York entre 1994 & 2001 et actuel avocat de Donal Trump) qui vire à la catastrophe !
Rappelons que le film a été tourné dans le plus grand secret et que le tournage a été entaché par l’arrivée de l’épidémie mondiale du Covid19 (raison pour laquelle certains protagonistes n’apparaissent pas masqués au début du film et apparaissent avec un masque vers la fin), d’où la présence ironique de Tom Hanks (qui avait annoncé avoir contracté la maladie en avril dernier pendant un tournage en Australie).
Une satire toujours aussi drôle et croustillante, le film prend une toute autre saveur à la veille l’élection présidentielle américaine. Si vous aviez détesté le précédent opus, détournez le regard, pour les autres, ruez-vous dessus !
Borat 2 est plus politique que son prédécesseur. Il est moins bancal également. Sacha Baron Cohen suit une ligne directrice plus précise, ce qui enlève une partie de son charme. Reste quelques caméras cachées hallucinantes, qui vont beaucoup plus loin.
Borat est de retour avec sa fameuse morale " Plus c'est gros et gras et plus ça marche " et ça fonctionne à merveille, c'est débile à souhait mais on se prend vite au jeu et aux personnages !
BorДt 2, le retour de Sacha Baron-Cohen, acteur, scénariste et producteur Britannique, dans le personnage du journaliste Kasakh Borat Sagdiyev dans un nouveau faux documentaire politico-satirique à base de caméra-cachées, plus ou moins mises en scène, réalisé par Jason Woliner, sorti en 2020 sur Prime Vidéo. Un film anti-Trump qui se moque de l’Amérique conservatrice républicaine, sorti juste avant l’élection présidentielle. Un faux documentaire iconoclaste, irrévérencieux et totalement déjanté. Une utilisation de caméra cachées qui a donnée lieu à un véritable piège pour l’ancien maire de New-York, où Sacha Baron-Cohen intervient pour que ça n’aille pas plus loin. Un film qui fait feu de tout bois. Le Kazakhstan en prend pour son grade, l’occident aussi, les États-Unis surtout et notamment le parti républicain. Beaucoup de clin d’œil au cinéma de Emir Kusturica et à la musique de Goran Bregović. C’est politiquement incorrect à souhait. C’est drôle et sans limites. Un film de propagande clairement pro-démocrate, mais aussi et avant tout une farce jouissive. A ne surtout pas prendre au premier degré.
Les 45 premières minutes, véritable festival d'humour trash, s'inscrivent résolument dans la lignée du premier volet (âmes sensibles s'abstenir). Puis le film s'essouffle, plombé par son message anti-Trump plutôt lourd et convenu. Le twist final, aussi fantaisiste que désopilant, sauve les meubles in extremis.