Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
La grande et la petite histoire s’entrelacent avec poésie, et s’achèvent de belle façon, dans l’imagination d’un gosse, avec un rayon d’espoir – vite déçu ? Un film rare, un film de cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film sensible et d’une actualité toujours aussi tragique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
par Vincent Ostria
Pour donner plus de force au film, sans pour autant se téléporter sur les lieux mêmes de l’action violente, il aurait fallu faire intervenir un événement quelconque dans le cocon préservé de cette école pour enfants huppés : chute d’une roquette, arrivée d’un rescapé ensanglanté. Bref, un signe ou un élément exogène qui aurait pu générer un sentiment de danger et produire un contraste fort avec la principale strate du récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
De jeunes acteurs touchants de naturel et Nadine Labaki (Yasmine), parfaite, servent l’émotion de ce récit de culbute dans la guerre, rendu plus poignant encore par cette juxtaposition des grands qui savent et des petits qui devinent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Si l'ensemble reste appliqué, on se souviendra de cette interminable journée où l'anxiété aura pris le pas sur l'insouciance, avec pour fil rouge le regard chargé d'angoisse de Nadine Labaki en institutrice sans nouvelle de sa famille.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Frédéric Strauss
Autour d’une journée d’inquiétude, le réalisateur construit un film d’atmosphère attachant, qui s’inspire de ses propres souvenirs et parlera d’abord aux enfants – comme celui qu’il était alors : occupé par une amourette primordiale devant laquelle le bruit des bombardements et la panique des adultes devraient presque s’effacer… Un mélange de dureté et de tendresse très évocateur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
Cet hymne à l’innocence de l’enfance ne manque pas de charme mais souffre d’une mise en scène trop plate pour que ses belles intentions se déploient visuellement à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
L’enfance ici montrée manque beaucoup de singularité, enchantant l’horreur par des moments de grâce surécrits. Cette enfance, lénifiée par le regard de l’adulte qui la produit, emprunte tous les passages obligés, obéissant moins à l’expérience de cet âge qu’aux poncifs d’une certaine enfance au cinéma.
L'Obs
La grande et la petite histoire s’entrelacent avec poésie, et s’achèvent de belle façon, dans l’imagination d’un gosse, avec un rayon d’espoir – vite déçu ? Un film rare, un film de cœur.
Les Fiches du Cinéma
Un film sensible et d’une actualité toujours aussi tragique.
L'Humanité
Pour donner plus de force au film, sans pour autant se téléporter sur les lieux mêmes de l’action violente, il aurait fallu faire intervenir un événement quelconque dans le cocon préservé de cette école pour enfants huppés : chute d’une roquette, arrivée d’un rescapé ensanglanté. Bref, un signe ou un élément exogène qui aurait pu générer un sentiment de danger et produire un contraste fort avec la principale strate du récit.
La Croix
De jeunes acteurs touchants de naturel et Nadine Labaki (Yasmine), parfaite, servent l’émotion de ce récit de culbute dans la guerre, rendu plus poignant encore par cette juxtaposition des grands qui savent et des petits qui devinent.
Le Journal du Dimanche
Si l'ensemble reste appliqué, on se souviendra de cette interminable journée où l'anxiété aura pris le pas sur l'insouciance, avec pour fil rouge le regard chargé d'angoisse de Nadine Labaki en institutrice sans nouvelle de sa famille.
Télérama
Autour d’une journée d’inquiétude, le réalisateur construit un film d’atmosphère attachant, qui s’inspire de ses propres souvenirs et parlera d’abord aux enfants – comme celui qu’il était alors : occupé par une amourette primordiale devant laquelle le bruit des bombardements et la panique des adultes devraient presque s’effacer… Un mélange de dureté et de tendresse très évocateur.
Première
Cet hymne à l’innocence de l’enfance ne manque pas de charme mais souffre d’une mise en scène trop plate pour que ses belles intentions se déploient visuellement à l’écran.
Cahiers du Cinéma
L’enfance ici montrée manque beaucoup de singularité, enchantant l’horreur par des moments de grâce surécrits. Cette enfance, lénifiée par le regard de l’adulte qui la produit, emprunte tous les passages obligés, obéissant moins à l’expérience de cet âge qu’aux poncifs d’une certaine enfance au cinéma.