Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) une histoire envoûtante, entre fable moderne et tragédie classique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Le film, peu bavard, insiste, parfois en de longs plans fixes, sur les visages, burinés, en sueur, sur la sécheresse des coeurs comme des sols, et l'on peut, parfois, s'irriter de son esthétisme un peu pesant. Pourtant, parce que l'histoire, belle, est contée sans aucune fioriture, parce que les interprètes, inconnus, sont aussi sobres que convaincants, et parce que le savoir-faire du réalisateur s'impose à chaque plan, on n'a pas grand mal à se laisser séduire...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Quant aux personnages, si Tonho et Clara forment un couple romantique crédible qui s'intègre parfaitement dans le déroulement de ce drame, si José Dumont est un patriarche convaincant, c'est Pacou qui conquiert le coeur des spectateurs.
Première
par Christophe Narbonne
A grand renfort d'esthétisme, son pêché mignon parfois plombant, Walter Salles affiche un savoir-faire imparable, bien que discuté, en matière de cinéma populaire de qualité et réfléchi.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) une pure tragédie que Walter Salles transforme avec lyrisme et cruauté en un bouleversant cri de révolte contre le respect aveugle des traditions.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par N. T. Binh
Mais le souci de faire joli l'emporte sur la violence de l'apologue. Et le film se regarde comme on feuillette un livre d'images: on se désintéresse peu à peu du drame pour contempler la photogénie des paysages.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une adaptation d'un roman de Kadaré alourdie par sa transposition dans la touffeur brésilienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Edouard Waintrop
Rarement on aura vu un film aussi figé, une recherche aussi vaine de la belle image. Tragédie de la vengeance familiale et de la pauvreté, Avril brisé se transforme en une interminable série de vignettes décoratives, de scènes qui jouent à "regarde-moi comme je suis jolie".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
(...) une histoire envoûtante, entre fable moderne et tragédie classique.
Les Echos
Le film, peu bavard, insiste, parfois en de longs plans fixes, sur les visages, burinés, en sueur, sur la sécheresse des coeurs comme des sols, et l'on peut, parfois, s'irriter de son esthétisme un peu pesant. Pourtant, parce que l'histoire, belle, est contée sans aucune fioriture, parce que les interprètes, inconnus, sont aussi sobres que convaincants, et parce que le savoir-faire du réalisateur s'impose à chaque plan, on n'a pas grand mal à se laisser séduire...
MCinéma.com
Quant aux personnages, si Tonho et Clara forment un couple romantique crédible qui s'intègre parfaitement dans le déroulement de ce drame, si José Dumont est un patriarche convaincant, c'est Pacou qui conquiert le coeur des spectateurs.
Première
A grand renfort d'esthétisme, son pêché mignon parfois plombant, Walter Salles affiche un savoir-faire imparable, bien que discuté, en matière de cinéma populaire de qualité et réfléchi.
TéléCinéObs
(...) une pure tragédie que Walter Salles transforme avec lyrisme et cruauté en un bouleversant cri de révolte contre le respect aveugle des traditions.
Zurban
Mais le souci de faire joli l'emporte sur la violence de l'apologue. Et le film se regarde comme on feuillette un livre d'images: on se désintéresse peu à peu du drame pour contempler la photogénie des paysages.
Les Inrockuptibles
Une adaptation d'un roman de Kadaré alourdie par sa transposition dans la touffeur brésilienne.
Libération
Rarement on aura vu un film aussi figé, une recherche aussi vaine de la belle image. Tragédie de la vengeance familiale et de la pauvreté, Avril brisé se transforme en une interminable série de vignettes décoratives, de scènes qui jouent à "regarde-moi comme je suis jolie".