Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Ouest France
par Thierry Cheze
Un thriller sous haute tension où brille un comédien au charisme et à la bonhomie saisissants : Moussa Mansaly.
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est un portrait fascinant que brosse Steve Achepio dans son premier long métrage Le Marchand de sable. Celui d’un jeune homme (brillamment incarné par Moussa Mansaly) qui se laisse embrigader dans une organisation de marchands de sommeil alors qu’il voulait aider des réfugiés.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par J.B.
Un film fort pour ouvrir les yeux.
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
"Le Marchand de Sable" est émaillé de scènes puissantes, habitées par des personnages qui sortent des archétypes et questionnent ainsi finement la question morale soulevée par le sujet : en saisissant toute la complexité de la situation, Steve Achiepo dresse un constat troublant sur un dysfonctionnement voulant que le fait de devenir hors-la-loi se révèle une solution plus efficace que celles proposées par l’Etat.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Le premier long métrage de Steve Achiepo est une réussite, aussi bien pour sa portée sociale que pour son parti pris esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une plongée ultraréaliste dans le milieu sans scrupule des marchands de sommeil dont la photo soignée et les notes mélancoliques de trompette évoquent le cinéma new-yorkais des années 1970.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Il est toujours agréable de se laisser surprendre par le film d’un inconnu, de découvrir, au détour d’un premier long-métrage, les promesses d’un cinéaste en herbe. C’est ici le cas avec ce Marchand de sable (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film, Steve Achiepo met en scène les activités sinistres des marchands de sommeil et leurs conséquences dramatiques. Un thriller social intense.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un thriller social haletant et, hélas, pertinent, qui signale la naissance d’un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Premier film qui évite le manichéisme et l'angélisme, « Le Marchand de sable» convainc par son approche documentaire, sa manière de lier le conte social et le quotidien le plus cru.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par S.O.
La grande force de ce premier long métrage est de dresser le constat implacable d'une situation révoltante, celle du mal-logement, sans jamais perdre son efficacité de thriller coup de poing. Une réussite !
Voici
par La Rédaction
Steve Achiepo, héritier français de Ken Loach, est une révélation.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
L’essentiel de la mise en scène consiste (...) à isoler le personnage principal, piégé par son aveuglement, à le réduire à l’immobilité et au silence, avant de l’en extirper in extremis par une grandiloquence sacrificielle. Les meilleures séquences sont finalement celles qui ne sont pas subordonnées à l’exigence de fiction ou de caractérisation morale
L'Obs
par Sophie Grassin
Archives de la Françafrique, fête de famille, chaos d’une expulsion, Steve Achiepo donne une conscience à Djo (une enfant albinos qui le poursuit de son regard), de l’épaisseur à ses personnages, impose des visages noirs à l’écran. Un film social original et puissant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce premier film, tiré d’une expérience personnelle, Steve Achiepo décrit avec acuité la problématique complexe des marchands de sommeil.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Il y a du Ken Loach dans ce premier long-métrage poignant signé par un ex-agent immobilier et dont le final plus flottant ne nous fait pas oublier la force.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Pour son premier long-métrage, Steve Achiepo signe un bon polar, hélas alourdi par un didactisme pesant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Film social en apparence, le premier long métrage de Steve Achiepo se mue avec talent en un film noir étouffant qui bascule dans le drame.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le Marchand de sable porte un regard acéré, et particulièrement percutant, sur la situation du logement en France.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
S’appuyant sur cet anti- héros riche en contradictions, Les Marchands de sable transcende le banal film à sujet, par la qualité de son écriture (des situations comme des personnages) et le beau travail à la lumière de Sébastien Goepfert (Petit paysan) qui crée une ambiance très New- York des 70’s sans que rien ne paraisse factice.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Aux côtés de Moussa Mansaly, très touchant dans le rôle de Djo, Ophélie Bau apporte une émotion intense à chacune de ses apparitions. Et Benoît Magimel parvient encore à surprendre en magouilleur faussement bonhomme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par La Rédaction
Dans le rôle d’un ex-taulard animé de bonnes intentions et qui finalement dévisse, Moussa Mansaly est très juste. Malheureusement, le film pèche par excès de clichés et de misérabilisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
Le Marchand de sable manque de démesure, ni assez «bon» ni assez dingue. Il y avait une puissance humaine à trouver dans ce personnage de Djo, mélange de père courage et de loser, l’expression d’un désarroi qui n’émanerait plus de seules dispositions de scénario, du cercle vicieux attendu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Un thriller sous haute tension où brille un comédien au charisme et à la bonhomie saisissants : Moussa Mansaly.
20 Minutes
C’est un portrait fascinant que brosse Steve Achepio dans son premier long métrage Le Marchand de sable. Celui d’un jeune homme (brillamment incarné par Moussa Mansaly) qui se laisse embrigader dans une organisation de marchands de sommeil alors qu’il voulait aider des réfugiés.
Closer
Un film fort pour ouvrir les yeux.
Culturopoing.com
"Le Marchand de Sable" est émaillé de scènes puissantes, habitées par des personnages qui sortent des archétypes et questionnent ainsi finement la question morale soulevée par le sujet : en saisissant toute la complexité de la situation, Steve Achiepo dresse un constat troublant sur un dysfonctionnement voulant que le fait de devenir hors-la-loi se révèle une solution plus efficace que celles proposées par l’Etat.
Franceinfo Culture
Le premier long métrage de Steve Achiepo est une réussite, aussi bien pour sa portée sociale que pour son parti pris esthétique.
Le Journal du Dimanche
Une plongée ultraréaliste dans le milieu sans scrupule des marchands de sommeil dont la photo soignée et les notes mélancoliques de trompette évoquent le cinéma new-yorkais des années 1970.
Le Monde
Il est toujours agréable de se laisser surprendre par le film d’un inconnu, de découvrir, au détour d’un premier long-métrage, les promesses d’un cinéaste en herbe. C’est ici le cas avec ce Marchand de sable (...).
Les Echos
Dans son premier film, Steve Achiepo met en scène les activités sinistres des marchands de sommeil et leurs conséquences dramatiques. Un thriller social intense.
Marianne
Un thriller social haletant et, hélas, pertinent, qui signale la naissance d’un grand cinéaste.
Paris Match
Premier film qui évite le manichéisme et l'angélisme, « Le Marchand de sable» convainc par son approche documentaire, sa manière de lier le conte social et le quotidien le plus cru.
Télé 2 semaines
La grande force de ce premier long métrage est de dresser le constat implacable d'une situation révoltante, celle du mal-logement, sans jamais perdre son efficacité de thriller coup de poing. Une réussite !
Voici
Steve Achiepo, héritier français de Ken Loach, est une révélation.
Cahiers du Cinéma
L’essentiel de la mise en scène consiste (...) à isoler le personnage principal, piégé par son aveuglement, à le réduire à l’immobilité et au silence, avant de l’en extirper in extremis par une grandiloquence sacrificielle. Les meilleures séquences sont finalement celles qui ne sont pas subordonnées à l’exigence de fiction ou de caractérisation morale
L'Obs
Archives de la Françafrique, fête de famille, chaos d’une expulsion, Steve Achiepo donne une conscience à Djo (une enfant albinos qui le poursuit de son regard), de l’épaisseur à ses personnages, impose des visages noirs à l’écran. Un film social original et puissant.
La Croix
Dans ce premier film, tiré d’une expérience personnelle, Steve Achiepo décrit avec acuité la problématique complexe des marchands de sommeil.
La Voix du Nord
Il y a du Ken Loach dans ce premier long-métrage poignant signé par un ex-agent immobilier et dont le final plus flottant ne nous fait pas oublier la force.
Le Figaro
Pour son premier long-métrage, Steve Achiepo signe un bon polar, hélas alourdi par un didactisme pesant.
Les Fiches du Cinéma
Film social en apparence, le premier long métrage de Steve Achiepo se mue avec talent en un film noir étouffant qui bascule dans le drame.
Les Inrockuptibles
Le Marchand de sable porte un regard acéré, et particulièrement percutant, sur la situation du logement en France.
Première
S’appuyant sur cet anti- héros riche en contradictions, Les Marchands de sable transcende le banal film à sujet, par la qualité de son écriture (des situations comme des personnages) et le beau travail à la lumière de Sébastien Goepfert (Petit paysan) qui crée une ambiance très New- York des 70’s sans que rien ne paraisse factice.
Télérama
Aux côtés de Moussa Mansaly, très touchant dans le rôle de Djo, Ophélie Bau apporte une émotion intense à chacune de ses apparitions. Et Benoît Magimel parvient encore à surprendre en magouilleur faussement bonhomme.
Le Parisien
Dans le rôle d’un ex-taulard animé de bonnes intentions et qui finalement dévisse, Moussa Mansaly est très juste. Malheureusement, le film pèche par excès de clichés et de misérabilisme.
Libération
Le Marchand de sable manque de démesure, ni assez «bon» ni assez dingue. Il y avait une puissance humaine à trouver dans ce personnage de Djo, mélange de père courage et de loser, l’expression d’un désarroi qui n’émanerait plus de seules dispositions de scénario, du cercle vicieux attendu.