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Avec peu de moyens et animée par l’urgence de terminer le film avant la mort de son grand-père, Lina Soualem inscrit ces récits singuliers dans une histoire plus large de l’exil et des ouvriers algériens, souvent absents de la mémoire officielle. Un très beau premier film.
Douceur des souvenirs et de l’amour d’une jeune femme pour les siens. Par ces temps de rejet de toute altérité, ce petit film procure un grand apaisement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Leur Algérie raconte cette tentative d’émancipation d’une femme mais il retrace aussi l’histoire d’un oubli, d’une dépossession, celle de ces deux exilé·es, de cette succession d’arrachements dont leur vie est faite et du mystère silencieux qui entoure leurs douleurs.
Lina Soualem, dans ce qui allait ressembler à un classique documentaire familial, transforme sans cesse les faits muets en images irrépressiblement parlantes. Ce qui en jaillit est un film, tendre objet qui fait du scandale en prenant position pour la vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Lina Soualem filme ses grands-parents, séparés après 62 ans de mariage, et explore avec pudeur la souffrance de l’exil et les silences qui l’accompagnent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Trop intrusive au début avec ses questions directes gardées au son, et qui se heurtent aux silences des ancêtres peu enclins à se livrer, la documentariste opte par la suite avec bonheur pour une approche plus effacée, allusive et touchante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Ce que la cinéaste accomplit dans ce récit familial d’allure modeste relève du monumental.
Ouest France
Un film poignant.
L'Humanité
Avec peu de moyens et animée par l’urgence de terminer le film avant la mort de son grand-père, Lina Soualem inscrit ces récits singuliers dans une histoire plus large de l’exil et des ouvriers algériens, souvent absents de la mémoire officielle. Un très beau premier film.
Le Parisien
Douceur des souvenirs et de l’amour d’une jeune femme pour les siens. Par ces temps de rejet de toute altérité, ce petit film procure un grand apaisement.
Les Fiches du Cinéma
En questionnant le silence de ses grands-parents, Lina Soualem aborde le déracinement dans un documentaire qui touche à l’intime comme à l’Histoire.
Les Inrockuptibles
Leur Algérie raconte cette tentative d’émancipation d’une femme mais il retrace aussi l’histoire d’un oubli, d’une dépossession, celle de ces deux exilé·es, de cette succession d’arrachements dont leur vie est faite et du mystère silencieux qui entoure leurs douleurs.
Libération
Lina Soualem, dans ce qui allait ressembler à un classique documentaire familial, transforme sans cesse les faits muets en images irrépressiblement parlantes. Ce qui en jaillit est un film, tendre objet qui fait du scandale en prenant position pour la vie.
Positif
De l’intime, on passe à la société actuelle. Leur Algérie possède une résonance universelle.
aVoir-aLire.com
En revenant sur les traces algériennes de ses grands-parents, Lina Soualem livre un témoignage universel et touchant sur l’exil.
L'Obs
Un bouleversant voyage vers un affranchissement tardif mais salutaire.
La Croix
Lina Soualem filme ses grands-parents, séparés après 62 ans de mariage, et explore avec pudeur la souffrance de l’exil et les silences qui l’accompagnent.
Le Journal du Dimanche
Sous ses allures modestes, en captant les silences et les regards, cet émouvant film sur la mémoire en dit beaucoup avec peu.
Le Monde
C'est par bribes que la discussion s'installe et que prend forme un récit pudique et spontané.
Première
Le plus beau ici est de voir comment la parole parvient enfin à se libérer, entre les lignes, entre les images.
Sud Ouest
Un documentaire bouleversant.
Télérama
Trop intrusive au début avec ses questions directes gardées au son, et qui se heurtent aux silences des ancêtres peu enclins à se livrer, la documentariste opte par la suite avec bonheur pour une approche plus effacée, allusive et touchante.