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Céline Ange
1 abonné
14 critiques
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2,5
Publiée le 14 mars 2024
Je reviens du cinéma à l'instant et quelle déception. La première partie du film a des longueurs à n'en plus finir. Je me suis ennuyée ferme. La seconde partie sauve un peu le film. Mais je ne suis pas rentrée dans cette histoire . Les personnages ne m'ont pas happée. Est ce le sujet du film qui ne méritait pas deux heures de projection, est ce la crédibilité des acteurs ? Certainement un peu des deux. Sinon les décors étaient parfaits et le plaisir d'entendre le boléro toujours intact.
Film avec une réalisation catastrophique, on y croit pas une minute, acteur dans l’ensemble peu convaincant, zoom et flou insupportable, les dialogues sont mal filmés… je déconseille
Un bon et beau film. Les images et la manière de filmer son superbes. Contrairement à ce que j'ai pu lire, les décors et les costumes sont parfaitement intégrés à l'histoire. Le tout est de s'intéresser au sujet...
Dommage. La vie d'un musicien aussi célèbre que Maurice Ravel aurait du être relatée de façon moins banale et susciter beaucoup plus d'émotions. Seule la scène finale nous permet d'apprécier le célèbre Boléro.
pour découvrir le personnage qui se cache derrière son enthousiasmant Bolero. Le film est historiquement fidèle ça n'en fait pas un scénario enthousiasmant
Envoûtant ... du début à la fin ! J'ai aimé le mode séquences/retours en arrière de Anne Fontaine . Respect à Raphaël Personnaz pour la qualité de sa prestation. Un grand merci à toutes les femmes de ce film, tellement justes en interprétation. Je n'oublie pas Vincent Perez, frère de Misio. Il y a dans ce film beaucoup d'amour, de tendresse, de beaux sentiments. Et ça fait beaucoup de bien !
Intéressant Biopic d'Anne Fontaine sur ce célèbre compositeur Mondialement connu à travers son magnifique et envoûtant Boléro composé dans la douleur et c'est peu de le dire ! On y découvre un Maurice Ravel , interprété par Raphaël Personnaz aussi subtile qu'investi par le rôle , exigeant , minutieux et torturé aussi !
Un beau film avec une belle interprétation de Raphael Perssonaz qui vit une romance forte platonique. J'ai ressenti des frissons par moment et le final avec l'apparition du beau François ALU est époustouflante.
Beauté des images, précision de la bande son, précision des comédiens et du montage... Le personnage central, plutôt froid, avec un petit humour pince sans rire n'est pas véritablement sympathique mais finit par être attachant.
Film sensible, émouvant. La force de la musique emportant et dépassant la vie d’un homme. Une musique comme la vie qui se répète, explose puis s’arrête.
Un ennuie ambiant, des dialogues inutilement élaborés, une danseuse qui ne danse même ps bien, des flash back mal gérés, malgré quelques belles scènes et quelques bons acteurs. Heureusement que la musique relève tout cela.
Des acteurs/rices de talent et une très belle interprétation du compositeur, à la fois pleine de pudeur mais aussi nourrie de tout un voyage intérieur qui se ressent parfaitement… pour autant qu’on sache être patient avant certains flashbacks dont on aurait pu se dispenser et qui peuvent faire perdre l’émotion. Au tout début, un formidable florilège de toutes les interprétations du Boléro de par le monde. Eu la chance de partager mes émotions avec de jeunes artistes à la fin du film, ce sont elles qui ont évoqué la pudeur bienvenue dans ce film ! Un film certes trop «parfait », de très belles images, très classiques et on aurait pu se dispenser de l’évocation finale des femmes de la vie de l’artiste, heureusement la danse finale témoigne de la modernité du Boléro, même si ce serait vraiment dommage de réduire ce formidable compositeur qu’était Ravel.
Anne Fontaine confirme qu’elle est une réalisatrice de grand talent. Sa caméra exprime les tourments d’un Ravel introverti et anxieux. Les décors et les costumes sont somptueux. Raphaël Personnaz incarne un Ravel tout en intériorité et intensité. Jeanne Balibar apporte la touche romanesque à l’ensemble. La relation complexe entre Maurice et Micia est rendue avec une grande sensibilité. En prime la musique du maître et une interprétation savoureuse d’Alexandre Tharaud en critique frustré et acerbe. Un biopic inspiré et personnel.