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DUDU
3 abonnés
2 critiques
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4,0
Publiée le 17 mars 2024
Très belle interprétation de Ravel par Raphaël Personnaz. Belle mise scene, des actrices et acteurs crédibles, qu on a du plaisir à revoir. Le processus de création de Ravel décrit, son obsession musicale, ses doutes et sa recherche de l'excellence à un moment où sa santé décline. Le plaisir d entendre sa musique. Tout cela constitue un excellent moment de cinéma. Félicitations à Anne Fontaine.
Film qui nous plonge en immersion avec l'époque. Un grand remerciement pour l'hymne à la danse, tant en introduction, formidable tour du monde autour du Boléro, que dans le bouquet final avec l'excellent danseur aux prouesses aériennes. 10/10 à ce danseur qui côtoie les étoiles. Je découvre Jeanne Balibar sublime dans ce rôle d' excentricité inspirée. Le quatuor fonctionne très bien. Merci au collègue qui m' a recommandé ce film.
Film pour mélomane qui nous présente un Maurice Ravel plutôt taciturne , nous assistons juste à la création de l’œuvre de Ravel le Boléro et grande démonstration de la danseuse qui l’a incité à le créer
Malgré un histoire intéressante, une bonne performance de Raphaël Personnaz et quelques bonne idées de réalisation. L'histoire reste assez poussive et la relation entre les personnages est barbant.
Je n'avais aucune idée de la vie de Ravel j'ai donc appris beaucoup de choses. Le film est bien construit, bien réalisé, bien joué. Il mérite mes étoiles !
Il y a le film que l’on aurait aimé voir, à savoir l’histoire de la création de ce chef d‘œuvre qu’est le Boléro de Ravel. Et celui que nous propose Anne Fontaine, à savoir un biopic sur Maurice Ravel. En cela, le titre est donc un peu trompeur. En effet, c’est l’homme Maurice Ravel, son parcours, ses rencontres et sa personnalité qui ont intéressé la réalisatrice. Ce n’est pas un mauvais axe, puisqu’on connait tellement le Boléro et si peu Ravel que, découvrir qui se cache derrière cette œuvre majeure du vingtième siècle est fort à propos. Le morceau a d’ailleurs vampirisé toute une partie de la carrière du compositeur français, et cela aurait été injuste de réduire sa vie à cette création. Et puis, on aurait pu imaginer une création exaltante, pleine de fièvre et de fureur, mais il n’en fut rien. En effet, la personnalité de Ravel n’avait rien de comparable avec le final grisant du mythique Boléro. Le scénario nous plonge dans le caractère atypique d’un homme d’une douceur infinie, à la fragilité latente. Et Raphaël Personnaz nous offre une composition très intéressante du musicien. Son physique fluet et son interprétation très sensible nous permet d’avoir une grande empathie pour cet homme hors du commun. L’excellente Doria Tillier incarne Misia Sert, la muse de l’artiste, avec une fraicheur et une énergie réjouissante. Jeanne Balibar interprète la danseuse Ida Rubinstein, destinataire de la célèbre composition, mais elle verse un peu trop dans la caricature. Au final, on en apprend beaucoup sur Ravel mais trop peu sur le Boléro pour être pleinement emballé par le film.
Reconstitution historique, costumes et décors soignés mais deux heures c’est long sauf pour Maurice Ravel qui ne vieillit pas d’un cheveu tout au long du film et pour lequel on nous présente avec insistance et complaisance l’addiction dont il était affligé.
Je m'attendais à vraiment autre chose peut-etre trop ? Je m'attendais à quelque chose de captivant ou d'enivrant à l'image du Boléro ... mais le film s'est révélé très monotone. Aucune action, pas vraiment d'émotions, peu ou pas de rebondissement. Le film retrace la génèse du Bolero de Ravel au travers d'un biopic assez fade, à l'image de la vie de Ravel ? Si c'est le cas alors c'est réussi. On subit le film comme Ravel subit la genèse et finalement le succès de son œuvre. Même l'esthétisme manque à l'appel. En bref, rien ne m'a fait vibrer dans ce film ... si bien que je me demande si je ne suis pas passer à coté.
Film très beau, costumes,, accessoires ,images. Très bon acteurs on apprend beaucoup de choses sur Ravel et cela nous donne envie d'en connaître plus. J'ai adoré.
Un bon film sur un sujet intéressant. Les costumes, les décors, la musique bien évidemment emportent le spectateur dans l'univers du compositeur. Le boléro nous accompagne pendant deux heures dans une réflexion sur la création artistique.
J'ai été captivée par ce film envoûtant. J'ai beaucoup apprécié la réalisation, fine, délicate. J'ai adoré le générique de début, clin d’œil à la postérité et l'universalité du fameux Bolero. Et j'ai adoré la fin. Bref, j'ai adoré. Cette évocation du musicien Maurice Ravel, par petites touches, comme des coups de pinceaux d'un portrait, m'a fait penser à une sorte de méditation bercée par une superbe musique, ravie par la beauté des images, portée par l'ambiance. Et les moments de la vie du musicien sont comme autant de pensées qui nous traversent. C'est intelligent, c'est subtil. Et le jeu des acteurs est excellent (Raphaël Personnaz, Jeanne Balibar, Doria Tillier, Vincent Perez, Emmanuelle Devos). C'est une invitation à se poser, loin de la frénésie habituelle, pour admirer la beauté et découvrir le long cheminement du processus créatif.
La scène finale est grandiose. Celles décrivant son processus de création sont intéressantes. La peinture du milieu de la bourgeoisie du début du XXème siècle est bien représentée. Mais que le film est long ! Avec une demi-heure en moins et le propos ainsi condensé serait mieux passé.
Raphaël PERSONNAZ, tout simplement majestueux, grandiose, très professionnel dans ce rôle sachant qu'il n'a pas été ou très peu doublé. Des longueurs dans ce film, qui ne m'ont pas gêné car je pense cela illustre bien la vie de ce compositeur ; du temps pour composer, du temps pour vivre lentement : une autre époque.
Je me suis ennuyée du début à la fin, film en longueur très bon acteur pourtant , beau décor , il ne se passe pas grand chose je déconseille dans la salle des gens baillent et d autres sont sortis je déconseille