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emmanuelle decorte
1 abonné
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5,0
Publiée le 11 mars 2024
Un excellent film. J ai adoré l histoire .ka façon dont c est tourné. Et la musique est juste magnifique envoutante.je recommande ce film qui dure 2h mais cela passe vite.
J'ai bien aimé l'ambiance générale de ce film notamment sur les premiers 2/3. On en connaît évidemment le dénouement mais le spectateur que je suis s'est laissé embarquer par le scénario et le jeu des acteurs. J'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs sur la fin mais j'ai néanmoins passé un bon moment de Cinéma.
Anatomie d'un tube, ce fameux Bolero dont l'aura a depuis l'origine fasciné, bien au-delà du monde de la musique classique, ou bien biopic d'un compositeur très mal connu, tellement exigeant envers lui-même, le film d'Anne Fontaine tente de jouer sur les deux tableaux, l’œuvre et l'homme. Certains spectateurs se souviendront peut-être du formidable Ravel de Jean Echenoz, un livre fulgurant dans sa brièveté, qui ne racontait pas une vie mais essayait de capter son essence, avec brio. A l'opposé, même si le mystère Ravel demeure en grande partie, notamment grâce à la sobriété d'un excellent Raphaël Personnaz, le film cherche sans cesse à éclairer l'inexplicable comme la création artistique et à montrer, ce qui est plus intéressant, en quoi sa pièce musicale la plus emblématique, aux yeux du monde, n'est absolument pas représentative de sa carrière ni de son talent. Totalement dépourvu de rythme et assez mal agencé entre ses différentes époques, Bolero fait aussi la part belle à quelques-unes des femmes qui ont entouré Ravel, pour mieux comprendre que la plus importante était bel et bien sa mère, mais peine à rendre passionnante une existence peu flamboyante d'un artiste tourmenté (lieu commun ?) et qui n'avait d'ailleurs, jusqu'alors, peu inspiré le cinéma, pourtant très amateur des vies de compositeurs.
Une sensibilité d'un autre temps où la retenue était l'expression d'une grande profondeur des sentiments. Un excellent travail. Félicitations à toute l'équipe !
MAgnifique film sur la musique du Bolero écrite par un musisien pudique et rêveur Maurice Ravel à une époque ou l'on commandait des ballets à un illustre musicien . Ce film est comme ce Bolero un envoutement , une histoire d'un homme, la rencontre avec lui-même et cet amour dans la pudeur et le non dit. Ce film m'a envouté autant que a bande annonce et que l'interprétation de Raphael Personnaz qui est autant fort que sensible créateur que en recherche de LA musique. Je le conseille fortement même si on est dans un registre loin des films d'action mais là dans la beauté de la création musicale et la vie d'un homme : Mr Ravel
Très très décevant. Même pour une musicienne ou amatrice. Tout est laid sans ce film. Les personnages, les vies, les expressions, les retours en arrière, et le peu d'événements que l'on y trouve. Perdu 2 h, ou plutôt abimé 2 h. Car on en sort même un peu abîmé ... Alors le boléro, imaginez ...
Le film commence par la musique du Boléro jouer un peu partout dans le monde puis s’attache à la création de l’oeuvre par Maurice Ravel. De fait le rythme est cassé, la mise en scène est réussie. Raphaël Personnaz incarne avec brio ce grand musicien toujours doutant de lui. Quand Jeanne Balibar apparait, elle illumine l’écran. C’est vraiment dommage que des longueurs ternissent l’ensemble.
Quel spectacle !!! Anne Fontaine a pu mettre le paquet sur les costumes, les décors, les comédiens et bien sûr la musique. On en a plein les yeux et plein les oreilles au point de vouloir mettre sur pause pour scruter ces images plus belles les unes que les autres. Maurice Ravel est si beau sous les traits de Raphaël Personnaz, aux côtés de Jeanne Balibar fantasque, Emmanuelle Devos si sage et bienveillante... Un reproche néanmoins, c'est d'avoir passé si rapidement sur le rôle que le jazz a eu sur le musicien. Il reste un beau et émouvant spectacle couronné par cette magistrale scène finale hommage sans doute à Maurice Béjart. Chapeau !!!
Élégant 🤩 Et une très belle scène finale😍 Le trio d’acteurs est formidable même si je crains que Balibar ne joue Balibar. Je place d’ores et déjà Personnaz (et ses deux principales coéquipières)dans la course aux César. C’est agréable également qu’un film (et donc la vision de quelqu’un) vous donne envie d’aller plus loin dans la connaissance du personnage. Au delà du tube🤩
Enfin on connaît la création du boléro. Film magnifique, prenant, envahissant on a du mal à le quitter. Excellente note à Raphael Personnaz, pour sa justesse, sa sensibilité . On aime le personnage à la fois subtil mais malgré tout imprégné de musique, de bruits qui crée sans relâche au fil du temps malgré les échecs. Heureux moment.
J'étais déçu du film. Je m'attendais à voir beaucoup plus de la composition du Boléro. C'était plus sur la psychologie du compositeur. 2 heures c'est trop 1h30 c'est mieux. C'était pas assez exploiter.
Au contraire du Boléro, ce film n’est ni rythmé, ni sensuel, ni érotique. Il est d’un ennui sublime. La réalisation est magistrale, les photos transcendantes et Raphaël Personnaz incarne un Ravel exceptionnel de vérité. Mais à part quelques séquences, le rendu du processus créatif reste intellectuel au lieu d’être angoissant. Quant au casting féminin, il ne provoque aucun désir obsédant. Le début et la fin sont des moments absolus.
Une jolie surprise, un film en finesse et intensité qui nous dévoile cette personnalité très particulière de Ravel, et les affres de la création. Un casting parfait, et une mention spéciale à Jeanne Balibar qui nous montre l'étendue de sa fantaisie, de sa créativité. Une interprétation fine et juste de Raphaël Demmonaz.
On aime ...on aime pas ....J ai adoré ❤️...Le sujet la réalisation...les paysages.... le jeu d acteurs l atmosphère...qui s y dégage et cette musique qui touche au plus profond quand on y est sensible ...
N'y courez pas les yeux fermés, car même les images sont magnifiques!
Et ne parlons pas des dialogues, un vrai festival (en particulier les répliques d'Ida Rubinstein).
Quant à la musique, bon, on savait évidemment à quoi s'attendre.
Petit bémol, quand même: lors de l'audition au conservatoire, la réalisatrice n'a pas fait l'effort de donner une impression de prise directe du piano. Mais en regard de cette somptueuse réalisation, peanut...