Mon compte
    Bolero
    Note moyenne
    3,4
    1387 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Bolero ?

    265 critiques spectateurs

    5
    44 critiques
    4
    104 critiques
    3
    61 critiques
    2
    37 critiques
    1
    12 critiques
    0
    7 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    lacroix p
    lacroix p

    20 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mars 2024
    Presqu’ennuyeux la dernière demi-heure, le propos du film se perd entre les tranches de vie de Ravel, non abouties et la composition musicale du Boléro imparfaite elle aussi. Les contre jours et les ambiances sombres finissent par desservir le film et sont pénibles.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    176 abonnés 1 145 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2024
    Le Boléro est peut-être l’œuvre de musique française la plus connue dans le monde. Il faut reconnaître que sa spirale infernale et son final orgasmique ne peuvent que plaire. Ce film nous parle de sa genèse et de son créateur à la recherche perpétuelle d’une reconnaissance. Malheureusement Anne Fontaine emploie un ton un peu trop académique hormis à la fin de son film où elle inscrit ce morceau dans ce qu’il est : un chef d’œuvre extrêmement moderne.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    184 abonnés 1 084 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2024
    Un biopic qui s'avère frustrant malgré ses qualités -casting, reconstitution- car il n'est bizarrement pas assez musical et ne permet pas d'en apprendre tant que ça sur Ravel. Reste l'intérêt pour l'histoire de la création d'une œuvre mythique.
    La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2024/03/bolero-danne-fontaine-frustrant.html
    Fiers R.
    Fiers R.

    98 abonnés 426 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 août 2024
    Mais qu’arrive-t-il à Anne Fontaine depuis une décennie? C’était l’une des rares cinéastes féminines françaises installées depuis longtemps dans le paysage cinématographique tricolore, plus exactement le début des années 90, et dont les films étaient de qualité relativement constante. Révélée avec les « Augustin » et consacrée par le troublant « Nettoyage à sec », on lui doit d’excellents films tels que « Entre ses mains », l’un des premiers rôles sérieux de Benoît Poelvoorde, ou encore le sublime mélodrame tourné en Australie avec des actrices américaines « Perfect Mothers ». Depuis dix ans, soit elle tourne trop, privilégiant sans le vouloir la quantité plutôt que la qualité, soit elle a perdu sa « libido cinématographique ». En tout cas, aucune de ces œuvres n’a marqué les esprits depuis le film historique en noir et blanc « Les Innocentes » il y a dix ans. De son anecdotique « Marvin et la belle éducation » à son tristement raté « Présidents » au sujet pourtant en or, elle ne convainc plus.

    En choisissant de narrer l’histoire de la création de l’un des morceaux de musique classique les plus célèbres de l’Histoire, le « Bolero » de Maurice Ravel qui donne son nom au film, on avait envie de croire à son retour. Malheureusement, le film est encore une fois raté si l’on excepte quelques (rares) fulgurances. La cinéaste cale à rendre intéressante la naissance et l’origine de la composition de morceau phare. Tout comme elle ne parvient pas à rendre passionnant le portrait du musicien, compositeur et chef d’orchestre, pourtant magnifiquement interprété par Raphael Personnaz, un acteur de qualité bien trop rare sur le grand écran. Il est peut-être l’une des seules raisons qui rend le film relativement agréable par instants. Et peut-être aussi Emmanuelle Devos, la seule dans tous ces seconds rôles féminins que l’on retiendra. En effet, on a connu Doria Tillier plus convaincante qu’ici où elle joue de manière trop moderne en comparaison de ses camarades quand Jeanne Balibar nous a déjà joué ce rôle de diva (comme dans le récent chef-d’œuvre « Illusions perdues ») et en fait un peu trop en Ida Rubinstein.

    On retiendra tout de même dans la seconde partie les séquences où le mythique morceau fait office de bande originale récurrente avec en point d’orgue sa première présentation par la Rubinstein. Envoûtant comme peut l’être cette magistrale musique qui a marqué son temps et galvanise encore aujourd’hui, elle hypnotise et magnifie lesdites scènes. Hormis cela, c’est lent, c’est long et c’est monotone, surtout dans la première partie. La réalisation chic mais sage de Fontaine n’aide pas. Un tel morceau qui devient de plus en plus intense aurait dû accoucher d’un film du même acabit. Ce qui n’est jamais le cas entre flashbacks inutiles et maladroits, histoire d’amour contrariée inintéressante et explication de la création du morceau plutôt maladroite. Le scénario et la mise en scène n’ont pas choisi le bon angle et « Boléro » en devient conséquemment un film peu engageant où l’ennui gagne vite le spectateur. Alors on aura appris quelque chose certes, mais on en attendait bien plus. Soit une œuvre dans la lignée de cet illustre chef-d’œuvre de la musique classique...

    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    80 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mars 2024

         Lorsqu'on pense à tous ces compositeurs aux personnalités tourmentées, aux vies difficiles ou romanesques, à la sexualité contrariée, de Beethoven à Britten, que de sujets de biopics! Mais s'il y en a bien un qu'on ne mettrait jamais dans cette cohorte, c'est Maurice Ravel! Bourgeois né au sein d'une famille unie, compositeur rapidement reconnu, mondain élégant... une vie dépourvue de tout scandale sentimental ou sexuel. Pas d'amoureuse, mais en même temps, même pas un petit peu queer! C'est dire s'il faut du courage pour s'atteler à son biopic, et on devrait donc être reconnaissant à Anne Fontaine de s'y être mise. Et d'ailleurs, les personnages lisses ne sont ils pas les plus intéressants parce que l'on suppose, derrière la façade, un monde souterrain?
         Hélas! Eut il fallu encore respecter les faits... Et de ceux là, Anne Fontaine se fiche complètement. On nous dira qu'elle n'a pas tourné une biographie de Ravel, mais bien du Boléro, cette scie qui à cet instant même est forcément jouée en quelque point du globe, qui a été plagiée, torturée de toutes les façons possibles et imaginables. Moi qui suis une inconditionnelle de Pierre Dac et Francis Blanche, j'ai un faible pour l'hymne du parti de tous ceux qui n'ont pas pris de parti. Vu comme ça....
         Premier mensonge: on a l'impression que Ravel est le fils unique d'une mère poule, d'une mère seule (interprétée ici par Anne Alvaro). On le voit se réfugier dans ses jupons après ses échecs répétés au prix de Rome (aux mains d'un jury hostile à toute innovation). Or, non seulement son père, qui avait toujours encouragé sa vocation musicale, était encore vivant, alors, et la famille était unie, mais Maurice a toujours entretenu des liens étroits avec son frère Edouard, totalement absent du film. Donc, l'histoire du complexe d'Oedipe, ça ne marche pas. Raté. Et puis, sa mère n'est pas morte dans ses bras, à son retour de la guerre où il avait insisté pour s'engager, alors qu'il devait être réformé à cause de sa constitution malingre. Elle est morte, à son grand désespoir, alors qu'il était encore au front.
       Ensuite, Fontaine prête à Ravel (excellement incarné par Raphaël Personnaz, qui arrive même à vaguement lui ressembler) une amitié exclusive avec Misia Sert (Doria Tillier), pianiste de talent et surtout mondaine, trois fois mariée et accumulant les aventures,  la reine, la vedette absolue des salons de l'époque, ainsi qu'avec son frère Cipa Godebski (Vincent Perez). Or, absolument rien ne prouve qu'il y ait eu la moindre love affair entre Maurice et Misia, Pourquoi imaginer qu'il ait été le grand amour de cette briseuse de coeurs, et qu'il ait renoncé à elle, uniquement parce qu'il voulait se consacrer à la musique et rien qu'à la musique? Pourquoi inventer cela? Pourquoi Ravel n'appartiendrait-il pas à la dernière catégorie des LGBT+ discriminés, les "no-sex", ceux que ça n'intéresse pas plus que ça...En fait, tous appartenaient à cette grande bourgeoisie parisienne cultivée...
         Pour en revenir à ce fameux Boléro -mais heureusement, on n'entend pas que lui, mais aussi beaucoup de compositions pour piano interprétées par Alexandre Tharaud qui joue par ailleurs le rôle du critique Lalo, très virulent contre la musique de Ravel-, il lui a été commandé par la danseuse et chorégraphe Ida Rubinstein, dont Jeanne Balibar, qui n'a peur de rien et surtout pas du ridicule brosse le portrait d'une excentrique exaltée et envahissante, collante et insupportable. Il n'arrive pas à écrire cette espagnolade, partageant ses doutes avec son amie et, en quelque sorte, conseillère musicale, la pianiste Marguerite Long (Emmanuelle Devos)
         Ida en fera un ballet vulgaire et ridicule, mais pour les autres, c'est la révélation: pour la première fois, le sec, le cérébral Maurice a écrit une musique érotique! Il déteste cette musique qui occulte ses autres oeuvres. Qu'y a t-il de vrai là dedans? Je pense que les vrais ravelliens (dont je ne suis pas) ont du faire des bonds... Oui, Ravel avait des difficultés à composer, on le sait; sans doute a t-il été agacé du triomphe d'une  oeuvre de commande, alors qu'il considérait bien d'autres partitions comme très supérieures.
       Et puis, il y a sa triste fin, atteint d'une maladie neuro-dégénérative, entièrement livré aux soins de sa gouvernante (Sophie Guillemin),une véritable Céleste Albaret. Bref, Anne Fontaine, avec l'autorisation de tourner dans la maison du compositeur, à Montfort l'Amaury, avec cette belle distribution, aurait pu réaliser une oeuvre passionnante, mais sans doute moins romanesque. Mais on n'a pas le droit, quand on ne sait pas, d'inventer une fausse vérité. Dommage, c'est raté!!

    capirex
    capirex

    93 abonnés 312 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2024
    Intéressant Biopic d'Anne Fontaine sur ce célèbre compositeur Mondialement connu à travers son magnifique et envoûtant Boléro composé dans la douleur et c'est peu de le dire ! On y découvre un Maurice Ravel , interprété par Raphaël Personnaz aussi subtile qu'investi par le rôle , exigeant , minutieux et torturé aussi !
    Roger D
    Roger D

    80 abonnés 881 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2024
    Toujours friand de fait historique , ici on parle plus d'une oeuvre plutôt que de son créateur en tout cas le "héros" reste pour moi cette musique. Tout le monde l'a au moins entendu une fois, que ce soit dans des films (dont "Conan le Barbare") ou pub etc...J'ai apprécié le film dans ce sens là, et puis la vie de cette homme souvent seul, qui vivait la musique sans l'aimer pour autant (en tous cas ses propres créations) et qui fini avec une maladie dégénérative...il est tout de même bien noté que le film c'est librement inspiré de sa vie et de la création de son oeuvre. Le soucis reste que la dynamique du film est assez mollassonne et on peut décrocher si un tantinet fatigué!^^Personnaz le joue bien...son...personnage...(ok ok pas drôle quoique...) et puis la musique obligé de l'avoir en tête et de la fredonner en rentrant.
    NOTE : 6.25/10
    Boby 53
    Boby 53

    16 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2024
    Non pas un biopic à l'américaine, mais une réflexion sur la création de cette pièce fameuse, célébrissime de Ravel avec un R.Personnaz extrêmement crédible et sensible accompagné par 4 actrices aux rôles plus ou moins importants, mais toutes inspirées (E.Devos, J.Balibar, S.Guillermain, D. Tillier). Bref une réussite.
    Richardmagan
    Richardmagan

    7 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2024
    Film envoûtant comme le Boléro, film bien tourné et qui avance lentement mais sûrement comme le Boléro. Interprétations à la hauteur du défi, bravo à tous les protagonistes ❤️❤️❤️❤️de ce beau film;. Film qui doit avoir du succès car tout est parfait. ❤️❤️❤️❤️
    Ma note: **** / *****
    #richardmagan #jadorelecinema #jadore #movies #filmavoirabsolument #voirlesfilmsaucine
    remyll
    remyll

    191 abonnés 435 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2024
    La réalisatrice excelle dans le mise en scène des nombreuses difficultés qu’a eu le compositeur à créer son si fameux « Boléro ». La première heure et demi du film est à cet égard vraiment bonne.
    Après, une fois mis au point et révélé le chef d’œuvre, ça patine un peu. Mais au global le film reste bon avec une scène finale assez grandiose.
    Culturevsnews
    Culturevsnews

    85 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2024
    Anne Fontaine offre une œuvre visuellement somptueuse, où chaque cadre ressemble à une peinture en mouvement. Les décors, méticuleusement reconstitués, nous plongent dans le Paris des années 1920 avec une précision historique impressionnante. Les costumes et la direction artistique capturent l'essence des années folles, avec leurs couleurs vibrantes et leur élégance raffinée. La caméra de Fontaine saisit à la fois la grandeur des performances scéniques et l'intimité des moments de doute et de réflexion de Ravel.
    Raphaël Personnaz incarne un Maurice Ravel fragile et tourmenté, offrant une performance nuancée qui explore les démons intérieurs du compositeur. Doria Tillier, en Ida Rubinstein, apporte une énergie vivifiante à l'écran, tandis que Jeanne Balibar, dans le rôle de Misia Sert, incarne à la perfection la muse insaisissable et inspiratrice de Ravel.
    "Boléro" d'Anne Fontaine est un film captivant qui nous plonge dans l'univers créatif et tumultueux de Maurice Ravel. Avec des performances puissantes et une réalisation visuelle époustouflante, le film nous invite à découvrir les coulisses de la création d'une œuvre musicale intemporelle.
    Narnet
    Narnet

    28 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2024
    C'est plutôt bien. Même si écouter le Boléro est plus intéressant que suivre la vie de son auteur. Trop ascète à mon goût (ça m'a rappelé les longueurs et les fantasmes non réalisés d'à la recherche du temps perdu ...). Néanmoins instructif
    Herve B.
    Herve B.

    14 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2024
    Pas terrible du tout c est lent c est très mal joué la seule chose de bien c est encore la musique du boléro de la pavane et du concerto pour la main gauche c est d un ennui mortifère
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    228 abonnés 984 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2024
    Tout le monde connaît cet air musical de Maurice Ravel. Mais tout le monde ne connaît pas son histoire et celle de son compositeur. Dans Boléro, Anne Fontaine tente de raconter les coulisses de cette création. Dommage que le scénario soit si peu riche. Bien avant la fin du film, le spectateur est plongé dans une longue période d’ennui, entre scènes inutiles et autres longueurs…
    Judithtexas
    Judithtexas

    50 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2024
    Je sors du ciné avec le Boléro en tête... Les actrices sont fabuleuses, Emmanuelle Devos en tête, mais la réalisation m'a semblé manquer de rythme. Le scénario analyse bien le syndrome de la page blanche et la façon dont Maurice Ravel composera son chef d'oeuvre.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top