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22 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Raphaël Personnaz, lui-même pianiste, fait jouer ses mains sur le clavier du biopic qui suit la ligne tout en nuances de l'ostinato mélancolique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
On tourne autour de son mystère, de sa distance, d'une opacité finement incarnée par Raphaël Personnaz.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une des réussites d'Anne Fontaine est d’avoir réalisé plus le "biopic" d’un morceau de musique qu’une biographie de son compositeur. La réalisatrice inscrit le "Boléro" dans une époque, à travers sa perception par Ravel.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Ici, même les réveille-matin empruntent leur sonnerie au « Boléro » (joué toutes les quinze minutes dans le monde), et le ravélien Alexandre Tharaud a enregistré les musiques du film. La bonne surprise ? Raphaël Personnaz, qui, en misant sur un jeu sobre et rentré, pare son personnage d’un mystère insondable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il n'est pas certain que la cinéaste ait retrouvé Ravel, authentiquement, mais ses affres, oui : le génie hanté par la peur de ne jamais être à la hauteur de ses propres aspirations.
Le Point
par La Rédaction
Pour raconter sa genèse et la personnalité mystérieuse de son créateur, Anne Fontaine a préféré au biopic une sorte de plongée sensorielle, de parcours intime dans l'univers d'un génie. Suivant les conseils de Truffaut, selon qui 75 % de la réussite d'un film repose sur le choix des acteurs, elle a réuni un solide casting (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans ce biopic singulier, Anne Fontaine évoque la personnalité complexe du créateur du « Boléro » et revient sur la naissance d'un monument de la musique classique. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Dans ce faux biopic, Anne Fontaine décortique malicieusement l’œuvre pour laisser l’artiste à son mystère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Olivier Delaunay
On pense à cette scène où Raphaël Personnaz joue la « Pavane pour une infante défunte » devant le public de Boston, reproduisant une tournée mythique que le musicien a faite quelques mois avant de composer son « Boléro ». Faire entendre sa musique, et conserver sa part de mystère, c'est peut-être le plus bel hommage que l'on pouvait lui faire.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Librement adapté de la biographie de Maurice Ravel, ce film sans fausse note s’enveloppe d’un romantisme raffiné pour se mettre à la portée de tous les spectateurs curieux de musique classique sans avoir osé l’aborder.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
On regrettera cependant un manque de rythme et une mise en scène qui tourne parfois en rond, malgré la supervision musicale d'Alexandre Tharaud et l'ultime chorégraphie de François Alu dans un subtil jeu de contrastes.
La critique complète est disponible sur le site CNews
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Centré autour de la personnalité énigmatique de Maurice Ravel, l’auteur du fameux Boléro, le nouveau film d’Anne Fontaine repose sur le talent de ses interprètes, Raphaël Personnaz en particulier.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Thierry Hillériteau
Si le comédien convainc dans le rôle du compositeur, le film d’Anne Fontaine, lui, laisse sur un sentiment frustrant d’inabouti.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Anne Fontaine impose une mise en scène contemplative et languissante, à l'unisson du caractère introverti et torturé d'un artiste profondément insatisfait.
Le Monde
par V. Cau.
Boléro opère cette symbiose de la musique, de l’homme et du monde concret qui l’entoure. Là réside l’une des grandes qualités du film d’Anne Fontaine, dont la structure, la forme et la bande-son marchent à l’unisson de l’œuvre de Ravel. Jusqu’au dérèglement et à la catastrophe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
À force de nuances ou peut-être parce qu’elle a voulu être trop fidèle au parcours de ce musicien qui n’avait pas un caractère aussi flamboyant que certains de ses morceaux, Anne Fontaine brosse un portrait un peu sage et parfois froid de Maurice Ravel. Il y a cependant des moments fougueux (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Olivier Lamm
Dans un biopic fantaisiste, Anne Fontaine enveloppe d’une brume de légèreté la vie intime de Maurice Ravel et revient à l’origine du tube.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Raphaël Personnaz est animé d'une belle fièvre [...]. Mais quand sortira-t-on des biopics vantant les artistes et leurs "femmes", petites soldates au service du génie masculin ?
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Si le film se perd dans sa dernière partie, son casting impeccable lui donne toute sa chair, dont notamment Raphaël Personnaz en musicien troublé et Jeanne Balibar en muse excentrique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Raphaël Personnaz séduit, lui, par sa composition traduisant parfaitement l’effacement de celui que le monde allait ensuite célébrer. Dommage alors que la cinéaste n’aille pas au bout de son parti pris et ne clôt pas son récit, dans la foulée de la première du Boléro. Le geste aurait été plus fort.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Hélène Boons
Au milieu des femmes et devant la caméra qu’il fascine trop nettement, Ravel se pavane comme un infant défunt. Boléro fugue néanmoins par instants vers la grâce, comme quand l’adulte assiste au surgissement d’un souvenir d’enfance depuis l’embrasure d’une porte.
Télérama
par Jacques Morice
Des tourments du compositeur Ravel à la création de son fameux “hit”, ce biopic maladroit se perd, malgré les efforts de Jeanne Balibar et Raphaël Personnaz.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Raphaël Personnaz, lui-même pianiste, fait jouer ses mains sur le clavier du biopic qui suit la ligne tout en nuances de l'ostinato mélancolique.
Femme Actuelle
On tourne autour de son mystère, de sa distance, d'une opacité finement incarnée par Raphaël Personnaz.
Franceinfo Culture
Une des réussites d'Anne Fontaine est d’avoir réalisé plus le "biopic" d’un morceau de musique qu’une biographie de son compositeur. La réalisatrice inscrit le "Boléro" dans une époque, à travers sa perception par Ravel.
L'Obs
Ici, même les réveille-matin empruntent leur sonnerie au « Boléro » (joué toutes les quinze minutes dans le monde), et le ravélien Alexandre Tharaud a enregistré les musiques du film. La bonne surprise ? Raphaël Personnaz, qui, en misant sur un jeu sobre et rentré, pare son personnage d’un mystère insondable.
Le Dauphiné Libéré
Il n'est pas certain que la cinéaste ait retrouvé Ravel, authentiquement, mais ses affres, oui : le génie hanté par la peur de ne jamais être à la hauteur de ses propres aspirations.
Le Point
Pour raconter sa genèse et la personnalité mystérieuse de son créateur, Anne Fontaine a préféré au biopic une sorte de plongée sensorielle, de parcours intime dans l'univers d'un génie. Suivant les conseils de Truffaut, selon qui 75 % de la réussite d'un film repose sur le choix des acteurs, elle a réuni un solide casting (...).
Les Echos
Dans ce biopic singulier, Anne Fontaine évoque la personnalité complexe du créateur du « Boléro » et revient sur la naissance d'un monument de la musique classique. Une réussite.
Les Fiches du Cinéma
Dans ce faux biopic, Anne Fontaine décortique malicieusement l’œuvre pour laisser l’artiste à son mystère.
Sud Ouest
On pense à cette scène où Raphaël Personnaz joue la « Pavane pour une infante défunte » devant le public de Boston, reproduisant une tournée mythique que le musicien a faite quelques mois avant de composer son « Boléro ». Faire entendre sa musique, et conserver sa part de mystère, c'est peut-être le plus bel hommage que l'on pouvait lui faire.
aVoir-aLire.com
Librement adapté de la biographie de Maurice Ravel, ce film sans fausse note s’enveloppe d’un romantisme raffiné pour se mettre à la portée de tous les spectateurs curieux de musique classique sans avoir osé l’aborder.
CNews
On regrettera cependant un manque de rythme et une mise en scène qui tourne parfois en rond, malgré la supervision musicale d'Alexandre Tharaud et l'ultime chorégraphie de François Alu dans un subtil jeu de contrastes.
La Croix
Centré autour de la personnalité énigmatique de Maurice Ravel, l’auteur du fameux Boléro, le nouveau film d’Anne Fontaine repose sur le talent de ses interprètes, Raphaël Personnaz en particulier.
Le Figaro
Si le comédien convainc dans le rôle du compositeur, le film d’Anne Fontaine, lui, laisse sur un sentiment frustrant d’inabouti.
Le Journal du Dimanche
Anne Fontaine impose une mise en scène contemplative et languissante, à l'unisson du caractère introverti et torturé d'un artiste profondément insatisfait.
Le Monde
Boléro opère cette symbiose de la musique, de l’homme et du monde concret qui l’entoure. Là réside l’une des grandes qualités du film d’Anne Fontaine, dont la structure, la forme et la bande-son marchent à l’unisson de l’œuvre de Ravel. Jusqu’au dérèglement et à la catastrophe.
Le Parisien
À force de nuances ou peut-être parce qu’elle a voulu être trop fidèle au parcours de ce musicien qui n’avait pas un caractère aussi flamboyant que certains de ses morceaux, Anne Fontaine brosse un portrait un peu sage et parfois froid de Maurice Ravel. Il y a cependant des moments fougueux (...).
Libération
Dans un biopic fantaisiste, Anne Fontaine enveloppe d’une brume de légèreté la vie intime de Maurice Ravel et revient à l’origine du tube.
Marie Claire
Raphaël Personnaz est animé d'une belle fièvre [...]. Mais quand sortira-t-on des biopics vantant les artistes et leurs "femmes", petites soldates au service du génie masculin ?
Paris Match
Si le film se perd dans sa dernière partie, son casting impeccable lui donne toute sa chair, dont notamment Raphaël Personnaz en musicien troublé et Jeanne Balibar en muse excentrique.
Première
Raphaël Personnaz séduit, lui, par sa composition traduisant parfaitement l’effacement de celui que le monde allait ensuite célébrer. Dommage alors que la cinéaste n’aille pas au bout de son parti pris et ne clôt pas son récit, dans la foulée de la première du Boléro. Le geste aurait été plus fort.
Cahiers du Cinéma
Au milieu des femmes et devant la caméra qu’il fascine trop nettement, Ravel se pavane comme un infant défunt. Boléro fugue néanmoins par instants vers la grâce, comme quand l’adulte assiste au surgissement d’un souvenir d’enfance depuis l’embrasure d’une porte.
Télérama
Des tourments du compositeur Ravel à la création de son fameux “hit”, ce biopic maladroit se perd, malgré les efforts de Jeanne Balibar et Raphaël Personnaz.