Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Une odyssée bouleversante qui fait l’effet d’une grande claque (nécessaire).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Un documentaire sur la crise climatique à découvrir de toute urgence.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Emmanuel Cappellin signe un premier long-métrage documentaire passionnant et singulier sur le réchauffement climatique et ses conséquences dévastatrices.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
En mêlant intime et constat scientifique, Une fois que tu sais livre une réflexion profonde sur l’effondrement de notre civilisation et appelle à l’action collective.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film indispensable à voir et à méditer.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Un film instructif et méditatif, qui accorde un intervalle de résonance à ses images et laisse ainsi une place au spectateur pour trouver son chemin, lui aussi.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Positif
par Éric Derobert
Il y a de la conviction, dans Une fois que tu sais, une belle photographie, de la poésie parfois un peu forcée avec des enfants qui rient dans le soleil. On ne nomme pas trop ce qui fâche, le capitalisme par exemple, mais bon, on milite.
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
À la fin de ce voyage initiatique, l’espoir ne renaît pas forcément, mais le débat concernant une nécessaire adaptation individuelle et collective, plus inclusive et solidaire, semble lancé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Clarisse Fabre
Sorte de road movie intellectuel, qui cède parfois aux images faciles, sur un plan émotionnel, le film n’en est pas moins très instructif sur l’état des réflexions et des possibles aménagements à notre mode de vie que certains qualifieraient de « train d’enfer ».
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thomas Baurez
Et si les intentions d’un tel film sont forcément bonnes et louables, le ton faussement intimiste du documentaire avec cette prépondérance d’une voix off lénifiante, altère un peu la force de persuasion de l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Une odyssée bouleversante qui fait l’effet d’une grande claque (nécessaire).
CNews
Un documentaire sur la crise climatique à découvrir de toute urgence.
Culturopoing.com
Emmanuel Cappellin signe un premier long-métrage documentaire passionnant et singulier sur le réchauffement climatique et ses conséquences dévastatrices.
Les Fiches du Cinéma
En mêlant intime et constat scientifique, Une fois que tu sais livre une réflexion profonde sur l’effondrement de notre civilisation et appelle à l’action collective.
aVoir-aLire.com
Un film indispensable à voir et à méditer.
Bande à part
Un film instructif et méditatif, qui accorde un intervalle de résonance à ses images et laisse ainsi une place au spectateur pour trouver son chemin, lui aussi.
Positif
Il y a de la conviction, dans Une fois que tu sais, une belle photographie, de la poésie parfois un peu forcée avec des enfants qui rient dans le soleil. On ne nomme pas trop ce qui fâche, le capitalisme par exemple, mais bon, on milite.
Télérama
À la fin de ce voyage initiatique, l’espoir ne renaît pas forcément, mais le débat concernant une nécessaire adaptation individuelle et collective, plus inclusive et solidaire, semble lancé.
Le Monde
Sorte de road movie intellectuel, qui cède parfois aux images faciles, sur un plan émotionnel, le film n’en est pas moins très instructif sur l’état des réflexions et des possibles aménagements à notre mode de vie que certains qualifieraient de « train d’enfer ».
Première
Et si les intentions d’un tel film sont forcément bonnes et louables, le ton faussement intimiste du documentaire avec cette prépondérance d’une voix off lénifiante, altère un peu la force de persuasion de l’ensemble.