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    Impionçable
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    4,4
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    92 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 octobre 2020
    Babor n'en est pas à son coup d'essai : il a déjà plusieurs longs-métrages à son actif (Irregardable, Intrompable par exemple). Lors de l'annonce de "Impionçable" je me suis donc dit : peut-il faire aussi bien ? Car faire mieux ne semblait pas possible... J'avais adoré chacun de ses films ; que dis-je ? Ils m'avaient passionné, à un point où je ne pouvais plus sortir de ma chambre ( cause : je les regardais en boucle ). Mais j'ai laissé sa chance à ce nouveau long-métrage.
    Je n'ai pas été déçue. J'ai été éblouie, fascinée, passionnée, investie physiquement et mentalement. Nous suivons dans "Impionçable" Jean-Phi et Xav, deux frères qui se battent tous deux contre leur destin, que dis-je ? Contre le MONDE. Je n'y croyais pas, mais j'ai pleuré. Ah ça oui, j'ai pleuré. Fêteman m'a fait pleurer de rire, Jean-Phi m'a fait pleurer de tristesse et d'empathie, Xav m'a fait pleurer de peine... Et j'en oublie. "Venez comme vous êtes" ; le célèbre slogan des restaurants Mc'Donalds pourrait aussi s'appliquer au film puisque spoiler: , au final, Jean-Phi décide d'être celui qu'il est vraiment, celui qui lui a permis d'obtenir le rôle dans le biopic sur David Guetta d'Etienne Besson, fils prodige de Luc Besson : Fêteman. Un homme sans prétention qui, malgré deux meurtres à son actif, a un cœur d'or.


    Emotion. Anticipation. Cliifhanger. J'ai aimé chacun des personnages. Sans oublier les choix de plans, les zooms sur les personnages aussi bien réalisés que révélateurs quant à l'intrigue.
    Je commence à manquer de mots, je terminerai donc mon humble critique comme ceci : Etienne Besson, fils prodige de Luc Besson, n'a qu'à bien se tenir devant l'ascension évidente de Babor.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Tellement chaud dans le second degré qu'il participe au réchauffement climatique. Sah quel plaisir de regarder un film aussi mystique
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Un film magnifique à voir. J'ai ris, pleuré et encore pleuré. J'ai été émerveillé. Un film d'auteur trop peu connu, trop peu reconnu, si seulement la presse en parlait. Ce réalisateur est incroyable, deuxième film et deuxième claque que je prend. A ne pas rater !
    Alex M.
    Alex M.

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    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Meilleur film de la décennie incontestablement. Un scénario unique en son genre et un casting de haut niveau, sah quel plaisir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Encore un drame français qui aura toutes ses chances aux prochains César. Les personnages de Xav et Jean Fi traversent chacun une crise existentielle forte et l'interprétation des comédiens magnifique. C'est simple j'ai chialé avec Xavier.

    Les musiques sublimes et le message à la fin... Renversant et boulversifiant.

    On avait déjà eu un aperçu du génie de Babor avec son premier film mais là, il revient encore plus fort. C'est simple c'est son Parrain 2.

    Casting 9 étoiles en plus que demande le peuple.
    MikeG
    MikeG

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2020
    Sans doute la dernière grande fresque romanesque que le cinéma français ai été capable de produire. On se demandait si on verrait un jour naitre un David Lean français : oui, c'est Babor.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    J'ai regardé sans trop connaître le réalisateur et acteur principal, Babor Lelefan alias Clément Bérut, et je m'attendais à un film moyen comme le cinéma français en fait tellement. Eh bien je dois avouer, j'ai pris une sacré claque. La dernière fois que ça m'était arrivé c'était probablement devant Le Prestige de Nolan.
    Babor, tout en faisant semblant de faire une parodie du cinéma français de mauvaise qualité, donne ici en fait une leçon magistrale de créativité et d'humour absurde en nous livrant un film très rythmé. Parfois terrifiant, parfois émouvant, toujours surprenant, ce film ne vous laissera pas neutre, c'est une certitude.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Quel talent. Une réalisation bluffante, une histoire qui nous tient en haleine jusqu’à la scene finale. Touchant, émouvant, prenant.
    A consommer sans modération
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    "Impionçable" laisse bouche-bée. Chaque plan, digne d'une peinture de grand maître, donne envie d'arrêter le temps pour en admirer les contours.
    Vivien g.
    Vivien g.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Un drame familial haletant, des acteurs charismatiques, un scénario digne de Nolan, une réalisation aux petits oignons : ce long métrage est un vrai chef-d'œuvre !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    De ce superbe effet d'entrée jusqu'aux scènes post credit, je n'ai pu retenir mon ébahissement continu.
    Fort de dialogues forts, d'un mixage approximatif, de performances d'acteurs remarquables et d'un étalonnage hasardeux, Impionçable nous fait voyager à travers un drame social qui n'a rien à envier aux cadors de son genre.
    Film de maboul, chef d'oeuvre, pièce maitresse. Autant d'euphémismes qui ne permettent pas à eux seuls de représenter dignement la qualité de ce bijou cinématographique.

    Irregardable avait su nous surprendre, Intrompable nous bluffer, mais le 3eme volet du Babor Cinematic Universe nous confirme que sa place est au dessus des plus grands.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Est-ce un film parlant de la folie de l’amour ou de l’amour de la folie ? Peut-être un peu des deux. Mais c’est une œuvre dont on tombe fou amoureux sans aucun doute.
    C’est surtout un film qui parle de l’identité, des troubles de l’identité, de la perte de l’identité, de la recherche de son identité et vol d’identité. Les véritables héros de ce film ne sont pas tant les personnages que la notion même d’identité qui semble tous les poursuivre.
    Le personnage principal est ironiquement frappé de trouble de l’identité en même temps qu’il se cherche une nouvelle identité après avoir été viré, comme si la solution a ses maux étaient devant lui mais qu’il choisissait de le nier. Nier son identité, un combat impossible. Son frère perd confiance en lui face à l’échec de l’amour. Il tente de trouver réconfort dans une autre identité et pourtant sa véritable identité revient sur le devant. La dialectique entre ces deux hommes recherchant à fuir ce qu’ils sont, l’un pour se protéger, l’autre pour faire souffrir, se servant de l’un et de l’autre mais se blessant mutuellement dans cette lutte sans fin.
    C’est une dynamique que nous retrouvions déjà dans le chef d’œuvre du même auteur « Irregardable », une histoire de lutte fraternelle et d’autodestruction. Car parlons-en de la destruction, ce thème si cher à l’auteur. La destruction de l’identité semble conduire à la destruction du monde aussi. Se détruire, c’est détruire ceux qu’on aime, semble être le motif de ce film. Tel Mufassa affirmant à Simba qu’en s’oubliant, il a oublié son père, l’auteur nous rappelle ici que notre identité n’est pas seulement la conscience de notre être mais également la conséquence de notre entourage.
    Mais je ne fais que parler très brièvement malheureusement des thématiques du film sans parler de sa réalisation, et quelle réalisation. Un retour au fondamentaux du cinéma, le retour à la source la plus pure du cinéma, une simplicité qui cache un complexe et méticuleux travail du réel. Derrière ce que certains plébéiens appellent des erreurs techniques, des faux raccords ou un jeu d’acteur/rices désastreux, se cachent un véritable questionnement sur la réalité de la fiction. Comme Godard avant lui (ou l’inverse), cette rupture continuelle des codes traditionnels du cinéma nous percute directement comme pour installer un dialogue méta-textuel avec son spectateur :
    « Qu’est-ce que la fiction, qu’est-ce que le réel ? Dans ce monde où les identités sont et ne sont pas, dans ce monde où les personnages ne semblent pas comprendre leur propre réalité, comment nous spectateur pouvons même croire et comprendre la réalité qui nous est dépeinte ? »
    Sans oser divulgâcher la fin de cette épopée poignante, telle la toupie d’inception, les derniers mots sauront laisser les spectateurs sur une note finale grandiose et le faire questionner tout le restant de sa vie. Nous sommes sur le nouveau « rosebud » de cette génération.
    Ce film aura pour moi l’effet d’une nouvelle vague, que dis-je, un nouveau tsunami dans le cinéma français et international. Quand dans quelques années, je dirai « j’y étais », ce grandiose spectacle sera enseigné dans les écoles de cinéma pour un avenir glorieux qui pourra peut-être sauvé ce monde fou en perte d’identité.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Un chef d'œuvre poignant, bouleversant et touchant. Le meilleur film de la décennie avec de grande star tel que Etienne besson le fils prodige de luc besson ou encore Babor.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    1:23:12 de pur bonheur. Un drame social bien ancré dans notre époque. Rajoutez à cela des personnages attachants et vous obtiendrez la recette miracle qui fera j’en suis certain de ce film un immense succès commercial
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    L'auteur acteur réalisateur interprète est purement un jeune prodige, très prometteur.
    Il incarne la définition du cinéma future
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