Avis : Impionçable - Page 6

L'auteur acteur réalisateur interprète est purement un jeune prodige, très prometteur.
Il incarne la définition du cinéma future

1:23:12 de pur bonheur. Un drame social bien ancré dans notre époque. Rajoutez à cela des personnages attachants et vous obtiendrez la recette miracle qui fera j’en suis certain de ce film un immense succès commercial

Plié de rire à de nombreuses reprises et captivé par l’intrigue, merci Babor pour ce délicieux moment de cinéma !!!

Impionçable au final c'est quoi ? J'ai ma petite idée sur le sujet.
Je dirais personnellement que c'est un concentré de rebondissements, d'audace et d'émotions !
On y suis deux frères au final très humains chacun avec leurs problèmes mais qui avancent ensemble à travers les obstacles, quand l'un chute l'autre le relève et fait tout pour le tirer vers le haut, pour le faire aller plus loin encore !
Les rebondissements s'expriment par ailleurs à travers les différentes émotions que les protagonistes et les spectateurs traversent. Car en effet le jeu d'acteur dans ce long est très touchant, les qualités de ce long s'entremêlent comme mon argumentaire et c'est ça la beauté des choses au final !
Pour ce qui est de l'audace je parle évidemment de la réalisation et de ses plans très fignolés, notamment dans les transitions. La BO du film contribue elle aussi à cette ambiance unique, j'aime beaucoup les inspirations très " techno germanisée" si je peux me permettre ce terme un peu barbare, les compositeurs sont très probablement fans de Gefickt Kontrollieren ( et moi donc !)
Au final ce long est un repas unique et extraordinaire , vous savez ce genre de repas que l'on ne mange qu'une fois avec des ingrédients dont on ne soupçonnais pas l'alchimie. Je ne saurais tarir d'éloge pour ce bijoux du cinéma indé moderne français, il ne vous reste qu'à le regarder ! A bon entendeur !

Quel film !!! Le souffle coupé par la perfection de chaque petit détail. Je l’ai vu 1 fois 1/2 sans aucune coupure (je l’ai vu, puis recommencé immédiatement mais malheureusement j’ai du aller faire des trucs dehors).
Sublime hommage au quartier « Belleville », que j’habite moi aussi. J’aurai plaisir à croiser Babor au carrefour city ou à la boulangerie qui à remplacé Thierry Meunier.

Enfin un film français mêlant drame, suspens et adrénaline pouvant clairement rafler 2 oscars. Bravo

Impionçable, n'est pas seulement un film d'auteur sur la société post-covid-crypto-macronienne, c'est un film avec de nombreux rebondissements qui vous tiendront en haleine jusqu'à sa fin. Bref un film bouleversif qui vous ne fera pas oublier que votre espoir n'est pas si désespéré, a condition d'analyser que l'absolu ne doit pas être annihilé, et surtout que l'absolu ne doit pas être annihilé par l'illusoire précarité de nos amours et qu'il ne faut pas cautionner l'irréalité sous des aspérités absentes et désenchantées de nos pensées iconoclastes et désoxydées par nos désirs excommuniés de la fatalité destituée.

Ce film incroyable qui relate la vie de Jean-phi un homme soufrant du maladie qu'il devra essayer de soigner avec l'aide de frérot Xav qui quant a lui essayera d'oublier son ex et de peut être retrouver l'amour
Un film des digne des plus grand qui vous fera passer un moment des plus mémorable avec des acteurs de qualité ainsi que des personne connu de youtube
A ne rater sous aucun prétexte
ET QUE LA FETE SOIT AVEC VOUS !!

J'ai fait une critique vidéo dans ce film, je vous invite à regarder: https://www.youtube.com/watch?v=rnhjO_Aq7YI

Est-ce un film parlant de la folie de l’amour ou de l’amour de la folie ? Peut-être un peu des deux. Mais c’est une œuvre dont on tombe fou amoureux sans aucun doute.
C’est surtout un film qui parle de l’identité, des troubles de l’identité, de la perte de l’identité, de la recherche de son identité et vol d’identité. Les véritables héros de ce film ne sont pas tant les personnages que la notion même d’identité qui semble tous les poursuivre.
Le personnage principal est ironiquement frappé de trouble de l’identité en même temps qu’il se cherche une nouvelle identité après avoir été viré, comme si la solution a ses maux étaient devant lui mais qu’il choisissait de le nier. Nier son identité, un combat impossible. Son frère perd confiance en lui face à l’échec de l’amour. Il tente de trouver réconfort dans une autre identité et pourtant sa véritable identité revient sur le devant. La dialectique entre ces deux hommes recherchant à fuir ce qu’ils sont, l’un pour se protéger, l’autre pour faire souffrir, se servant de l’un et de l’autre mais se blessant mutuellement dans cette lutte sans fin.
C’est une dynamique que nous retrouvions déjà dans le chef d’œuvre du même auteur « Irregardable », une histoire de lutte fraternelle et d’autodestruction. Car parlons-en de la destruction, ce thème si cher à l’auteur. La destruction de l’identité semble conduire à la destruction du monde aussi. Se détruire, c’est détruire ceux qu’on aime, semble être le motif de ce film. Tel Mufassa affirmant à Simba qu’en s’oubliant, il a oublié son père, l’auteur nous rappelle ici que notre identité n’est pas seulement la conscience de notre être mais également la conséquence de notre entourage.
Mais je ne fais que parler très brièvement malheureusement des thématiques du film sans parler de sa réalisation, et quelle réalisation. Un retour au fondamentaux du cinéma, le retour à la source la plus pure du cinéma, une simplicité qui cache un complexe et méticuleux travail du réel. Derrière ce que certains plébéiens appellent des erreurs techniques, des faux raccords ou un jeu d’acteur/rices désastreux, se cachent un véritable questionnement sur la réalité de la fiction. Comme Godard avant lui (ou l’inverse), cette rupture continuelle des codes traditionnels du cinéma nous percute directement comme pour installer un dialogue méta-textuel avec son spectateur :
« Qu’est-ce que la fiction, qu’est-ce que le réel ? Dans ce monde où les identités sont et ne sont pas, dans ce monde où les personnages ne semblent pas comprendre leur propre réalité, comment nous spectateur pouvons même croire et comprendre la réalité qui nous est dépeinte ? »
Sans oser divulgâcher la fin de cette épopée poignante, telle la toupie d’inception, les derniers mots sauront laisser les spectateurs sur une note finale grandiose et le faire questionner tout le restant de sa vie. Nous sommes sur le nouveau « rosebud » de cette génération.
Ce film aura pour moi l’effet d’une nouvelle vague, que dis-je, un nouveau tsunami dans le cinéma français et international. Quand dans quelques années, je dirai « j’y étais », ce grandiose spectacle sera enseigné dans les écoles de cinéma pour un avenir glorieux qui pourra peut-être sauvé ce monde fou en perte d’identité.

Chef d'oeuvre, on se sent transcender par la morale de ce film qui nous montre par une allégorie la douleur de la trahison, et de l'importance de s'amuser en faisant la mega teuf.

Un chef d'œuvre comme on n'en voit plus depuis de nombreuses années. J'ai été profondément touché par le sens caché du film. C'est si émouvant, cette vision des jeun's moderne et open-minded qui permet de montrer les difficultés auxquelles ils font face, telle la promiscuité familiale et le deuil. Des effets spéciaux de qualité, et des dialogues et un jeu d'acteur titanesque.
La peur de la maladie et de la famille est si bien représentée par Jean qui n'ose plus accepter la réalité de face en s'endormant de douleur.
Comment se fait-il que cet homme ne soit pas président de la planète ?

Un thrilleur poignant, ce film n’est malheureusement pas un thrilleur mais dieu sait que (point de suspension à venir) ...
Ce film est tout ce qu’il y a de plus poignant, je l’ai vu hier et mes larmes ne cessent de couler.
Si un baba cool me demande si il doit regarder ce film, je lui dirais sans hésitation...
« Allez y, faites man ! »
(Jeu de mots copyrighté le 05/10/20)

Le voilà enfin. LE vrai FILM qui va sauver Hollywood. Et non pas cette bouse de Tenet.... Merci pour ce film expectionnel. Trop de rebondissements, de passion et de rire. Que dire mis à part, BRAVO !!!

Tout simplement le film le plus poignant de ces 40 dernières années! Malgré les touches sombres, et le thème difficile à aborder, Babor arrive à garder, tout le long de ce chef d’œuvre, une légèreté qui lui est propre.