Avis : 65 - la Terre d'avant - Page 8

Un petit film de SF sans grandes ambitions mais qui se tient et qui mérite le détour. Cela raconte une petite histoire en mode catastrophe et surtout en mode survivaliste qui a un début et une fin. Oui, le scénario est simpliste et les acteurs et dialogues sont réduits au minimum. Il faut juste accepter que ce ne sera pas un blockbuster qui déménage. Juste un film intimiste qui va briller par son ambiance. Car oui, le film est assez lent. Il permet de bien accompagner les 2 acteurs dans leur détresse et leur difficulté. 2 personnages pour une union très improbable dans le seul but de survivre et trouver une solution à leur enfer. Les effets spéciaux sont bien mais souvent plongés dans l'obscurité. Par contre, les images sont régulièrement impressionnantes avec des décors naturels au coeur de la nature sauvage. Il y a bien quelques incohérences et simplicités dans le déroulement mais rien de grave, cela tient la route. Adam driver est pour moi très convainquant dans son rôle de protecteur : il est pratiquement à lui seul la force du film. Je pensais voir un gros nanar à la lecture des critiques et j'ai plutôt été agréablement surpris. Je sais, j'ai une analyse encore à contre-courant et cela va me couter des pouces vers le bas. Mais pour moi, ce film est un bon divertissement, loin d'être exceptionnel, mais qui mérite d'être vu une fois.

Agréablement surpris par ce film. Il faut dire que le synopsis ressemble à un gros nanard. Je m'attendais donc à rien. Mais voilà... Les effets spéciaux sont aux rendez-vous ! Et ça change tout. Un petit survival qui ne casse pas trois pattes a un cannard, mais plutôt sympathique à regarder.

Bien meilleur que ce qu'on peut raconter... L'immersion est très réussie. Peut être faut il avoir une bonne installation visuelle et sonore pour en profiter!?!

Ce petit survival de science fiction n'est pas sans rappeler "After earth" avec Will Smith, le budget en moins. Néanmoins, la prestation est globalement correcte et l'on passe un moment sans prise de tête. C'est pas inoubliable mais pas épouvantable.

Malgré les nombreux avis négatifs, j'étais comme aimanté par ce film de science-fiction. Il y a 65 millions d'années, le personnage du talentueux Adam Driver est chargé de transporter un équipage cryogénisé. Il accepte cette mission pour payer les soins de sa petite fille malade. Le voyage interstellaire ne se passe pas comme prévu et le vaisseau se crashe sur une planète qui est en réalité la Terre. Le film prend alors une tournure de survival parmi les dinosaures et... voilà. Le scénario léger aurait pu suffire s'il n'avait pas été aussi ancré dans le monde actuel (race humaine, économie, costumes, matériel et communication finalement assez aisée avec la petite survivante). "65 : la Terre d'avant" souffre trop de ces lacunes et de ses comparaisons avec d'autres films ("Star Wars", "Jurassic Park", "Sans un bruit"...). Dommage.

Un sympathique divertissement, honnête dans ce qu'il a à proposer. C'est de la Série B de science fiction plutôt efficace avec des effets spéciaux très corrects et de bons décors. On ne s'y ennuie pas et même si le scénario est simple et les dialogues assez pauvres, c'est assez dynamique pour que l'on passe un moment agréable. Dommage que la fin soit si brutale en revanche.

« 65 » est un blockbuster ambitieux en termes de budget et d’effets spéciaux mais riquiqui en ce qui concerne son scénario. Le film étire sur 93 minutes son histoire montrée dans la bande-annonce sans nous en donner beaucoup plus.

Certes, le scénario n'est pas étoffé puisque les deux héros doivent se rendre d'un point A à un point B en affrontant mille dangers. De plus, les protagonistes sont à peine esquissés et il y en a même un qui a du mal à communiquer du fait de sa langue différente ! Quant aux monstres, ils sont tout de même très proches de l’univers de « Jurassic Park » ! Toutefois, ce n’est pas grave, on ne cherchait pas de toute manière le survival ultime avec son script aux multiples rebondissements et l’on prend ce film pour ce qu’il est : un divertissement récréatif ! Et en cela, il remplit parfaitement le cahier des charges car il nous tient en haleine lors de certaines séquences (cf. celle de la grotte), les acteurs jouent juste et son rythme est relativement bien soutenu, même si l’ensemble a un air de déjà-vu !

Je n'ai pas envie d'être sévère...
Il y a des films où on sent le petit budget. C’est le cas pour « T 65 - Terre d’Avant ». Ça se voit. Mais celui-ci est compensé par des effets spéciaux qui me paraissent tout à fait présentables.
« Jurassic Park » est passé par là lit-on ici ou là, et alors ? Il semblerait que ce soit un reproche.
Ce n’est pas le sujet. Le sujet c’est le fait d’accepter que des extra-terrestres bien humains se soient retrouvés naufragés sur la Terre, 65 millions d’années avant notre ère. Et pile poil au moment où une météorite va anéantir les dinosaures.
Un moment historique.
J’exagère évidemment, mais Scott Beck et Bryan Woods, auteurs du très surprenant « Sans un bruit » ont assumé leur propos avec un certain plaisir popcorn.
On retrouve leur patte, en montrer le moins possible. Un film d’ambiance comme l’était « Sans un bruit », plus anxiogène que celui-ci, nous sommes d’accord.
A noter qu’ils n’ont pas abusé de jump scare.
Budget consacré certainement au salaire d’Adam Driver et aux effets spéciaux.
A ce propos, il n’y a pas de surenchère d’effets spéciaux. Le film débute sur une plage. On ne voit ni habitation, ni ville. Aucune information sur cette planète où vivent Mills et Koa. Les réalisateurs vont à l’essentiel, ils ne s’embarrassent pas de décors.
Budget oblige !
Evidemment, ce film sans prétention a ses défauts mais en ce qui me concerne, je ne me suis pas ennuyé.
Un film de série B honorable.

quand je vois les premiers plans séquences et les cadrages au milieu des marécages je me dis que sa ve être un bon film de 90 minutes avec de beaux plans, de vrais arbres et un vrai milieu naturel, du moins pour les séquences rapprochées avec les personnages ,greenblatt et Adam Driver se sentent bien dans ce milieu et ils jouent naturellement en mode survie.. Adam qui accélère sa respiration et son rythme cardiaque face a cette Terre hostile sur plusieurs séquences c'est pour nous communiquer la peur de découvrir un monde inconnu et effrayant qu'est la Terre. il a montré qu'il est a deux doigt d'être terrorisé..c'est bien jouer de sa part et a sa place j'aurais eu du mal a respiré sachant qu'il y a un Tyrannosaure Rex de 12 mètres caché quelque part .. le film est simple mais combien naturel au maximum.. on nous donne des plans superbe je trouve .. les scènes sont accompagnées d'une belle lumière qui nous enfonce rarement dans l'obscurité.. les scènes justement sombres sont visuellement propre on arrive à voir d'avance la terreur de la terre d'avant qui devait être vraiment effrayant a cette époque.. et invivable pour nous.. parlons des créatures terrorisables..on est loin des dinosaures postiches de la saga Cartoon nommé jurassic world...qui eux ne servaient a rien a part mettre en valeur 2,3 acteurs... ici tout est équilibré dans le sens où chaque dinosaures se confond avec son environnement ( ce qui devait être le cas quand on vois les lézard et autres caméléons d'aujourd'hui ) et leurs nombres est bien calculé.. pour ne pas en faire trop ou pas assez .. Sam Raimi a la production ici a su mettre sa petite touche effrayante en produisant un mélange de sons et d'ambiances jurassique ou crétacé mêlant des créatures effrayantes et épouvantables qui donneraient pas aujourd'hui de s'y intéressé comme on peut le voir avec les enfants qui jouent avec les dinosaures dans le 1er jurassic World.. la photographie est propre et bien produite en réalisation.. elle est souvent proche du sol pour mettre plus de profondeur vers l'arrière plan ou le ciel qui amènera vers la destination de l'épilogue final... la relation des deux acteurs est simple mais émouvante si on prends le temps de se mettre dans l'histoire et a la place de leur rôle...une relation qui peut touché les pères avec leurs filles . et eux même comprendront le sens du film .. même si on se perds quelque part en ayant tout perdu.. on peut gagner autre chose... une nouvelle vie.. une nouvelle famille.. il manque quoi finalement dans ce film ?.. pas grand chose.. juste peut être une fin un peu moins précipité.. pour gagner encore quelques minutes de suspens... et qui sait... il y a 65 Millions d'années.. un extraterrestre perdu a atterri sur notre Terre d'avant et y a découvert nos dinosaures... pour le meilleur.. et surtout pour le pire...

La nullité du film est assez exagérée, il est vrai qu'il y a un très gros problème de découpage des scènes, plusieurs incohérences et une relation de personnages assez mal foutu, mais dans l'ensemble il y a une belle imagerie, un climat de tension et de danger permanent très bien fichu et un Adam Driver toujours aussi bon acteur. Ça ne fait aucun doute qu'il y avait le potentiel de faire beaucoup mieux, mais ça reste un bon divertissement.

65 entend extraire un père de famille confronté à la maladie incurable de sa fille pour mieux, en le projetant dans un milieu hostile rempli de dinosaures, matérialiser sa lutte. La planète Terre mute ainsi en espace dans lequel exercer une catharsis, couronnée à terme par l’adoption symbolique d’une jeune fille orpheline sauvée des griffes des méchantes bébêtes à la place de celle qui disparaît, par hologramme interposé, entre les mâchoires d’un tyrannosaure. Cette relecture psychanalytique de Jurassic Park aurait pu s’avérer digne d’intérêt si seulement le cinéma s’y invitait, ne serait-ce qu’un tout petit peu. Rien de tel.
Car la (mauvaise) surprise tient à l’absence complète de mise en scène qui ne restitue pas la fragilité des êtres humains parmi des forêts et des créatures gigantesques ; ce défaut d’échelles est accentué par un montage charcutier qui ne sait faire durer ses scènes plus d’une minute. À cela s’ajoute des effets numériques moyens, tantôt acceptables tantôt hideux, que les réalisateurs n’exploitent guère ; le recours massif au hors-champ ou à la suggestion par plan instantané produit une impression d’amateurisme digne des téléfilms SyFy. Les panneaux textuels suscitent l’hilarité générale, l’ouverture sur la plage, qui présente péniblement le protagoniste principal, est reprise sous la forme de flashbacks ridicules qui jamais n’apparaissent comme des réminiscences. L’ensemble ne convainc jamais, et le pauvre Adam Driver retrouve une amplitude de jeu digne des Star Wars. C’est dire… Seule la partition musicale de Chris Bacon, cosignée avec Danny Elfman, confère une atmosphère aurorale par son mélange de sonorités électroniques et d’instruments comme le piano. Procurons-nous l’album, non le film.

65 - LA TERRE D'AVANT (2023): Une mission dans l'espace déviera de sa trajectoire et échouera sur une planète inconnue. Le pilote Mils et la jeune Koa, les deux seuls survivants de la catastrophe, devront survivre à l'hostilité des lieux. Une histoire pas vraiment étoffée, pas le temps de s'attarder aux niaiseries scénaristiques habituelles, il faudra avancer, aller vite, tenir le silence et éviter de se faire dévorer. On entendra des sons, remarquera des mouvements, suspectera des présences, si bien que l'on comprendra le stress de nos deux fugitifs. Toutes les cinq minutes il se passera quelque chose, toutes les cinq minutes leur vie sera mise en danger. Du suspense, de la tension, et très rapidement un grand nombre de spécimens sortis de la préhistoire dont plusieurs Tyrannosaures assez impressionnants. Un périple mouvementé agrémenté d'effets spéciaux aussi bien réussis que dans les films "Jurassic World". Certes on notera l'absence de musique emblématique, de romance, d'humour potache, pas de bonnet vissé sur la tête et de pectoraux saillants, pas d'héroïsme inutile, mais simplement une ambiance sérieuse tenue par deux acteurs, Adam Driver (Mils) et Ariana Greenblatt (Koa), crapahutant dans l'isolement d'un paysage montagneux forestier. La peur se lira dans leurs regards, une impuissance qui ne pourra déstabiliser la détermination à aller plus loin. Loin d'être une réalisation minable, loin d'être un grand film SF spectaculaire, "65-La Terre d'avant" sera tout de même une survie dans un monde jurassique assez sympa à suivre.

J'ai pris sur moi d'aller le voir malgré les critiques assez négatives. Perso, j'ai plutôt passé un bon moment... Il se laisse regarder, pas besoin de réfléchir et c'est ça qui compte dans ce genre de film.

"65 - La Terre d'avant" de Scott Beck explore brièvement le passé et le futur ou plutôt le futur dans le passé (ou l'inverse). Le Twist des deux est INTÉRESSANT tout comme le concept. Le film reste PRÉVISIBLE et PEU SURPRENANT.

Mention honorable aux effets spéciaux SPECTACULAIRES et RÉUSSIS.