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Le réalisateur poursuit, avec ce nouveau film tourné en langue basque, sans doute moins "un cinéma régionaliste" qu’une veine mythique à la fois légère et sérieuse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Eugène Green reste l’un des cinéastes vivants les plus audacieux et insolites. Un esthète capable de rassembler dans un même geste cinématographique la beauté de la peinture, les volutes de la poésie, la rythmique de la musique et la géométrie de l’architecture.
Fidèle au conte, Eugène Green n’en reste pas moins attaché à son propre style, très frontal et symétrique, bressonien, hiératique, systématique, rigoureux (janséniste ?), qui manie aussi l’humour anachronique et vachard sans vergogne.
Eugène Green, grand croyant dans les puissances du cinématographe, retrouve ses armes favorites pour animer, avec un archaïsme des moyens assumés, les personnages du mythe : filmage en pellicule, dépouillement extrême des décors et des costumes [...], et cette frontalité toujours impressionnante du cadre qui parie sur la matérialité des corps et des voix des acteurs pour donner vie à chacun des éléments du plan.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Attarabi et Mikelats recèle ainsi des éclats de beauté pure en jouant le chemin exigeant de l’élévation durable de l’âme contre les exultations faciles et éphémères du corps, tout en nous offrant les plaisirs enfantins du conte et en nous instruisant sur une mythologie et une culture méconnues.
Tour à tour bon et mauvais, naïf et acerbe, insupportable et déchirant, fuyant et tenu, on ne sait trop que faire de ce film qui s'écrase dans ses lignes brisées, pour déboucher sur une fin liturgique bouleversante. Atarrabi et Mikelats relève littéralement de l'aberration. Et c'est sans doute par cette monstruosité-là qu'il nous regarder dans tout son dénuement et parvient malgré tout à nous toucher.
Bande à part
En ressuscitant un mythe basque oublié, Eugène Green réalise une œuvre lumineuse, magique, généreuse, ouvrant ses bras à tous les publics.
Voici
Un film qui explore le mystère et la lumière.
Critikat.com
Le réalisateur poursuit, avec ce nouveau film tourné en langue basque, sans doute moins "un cinéma régionaliste" qu’une veine mythique à la fois légère et sérieuse.
La Septième Obsession
Eugène Green reste l’un des cinéastes vivants les plus audacieux et insolites. Un esthète capable de rassembler dans un même geste cinématographique la beauté de la peinture, les volutes de la poésie, la rythmique de la musique et la géométrie de l’architecture.
Le Monde
Ponctuée de phrases rêches, réduites à l'os, sur la condition humaine, l'oeuvre prend l'étoffe d'un grand film politique.
Les Inrockuptibles
Fidèle au conte, Eugène Green n’en reste pas moins attaché à son propre style, très frontal et symétrique, bressonien, hiératique, systématique, rigoureux (janséniste ?), qui manie aussi l’humour anachronique et vachard sans vergogne.
Libération
Eugène Green, grand croyant dans les puissances du cinématographe, retrouve ses armes favorites pour animer, avec un archaïsme des moyens assumés, les personnages du mythe : filmage en pellicule, dépouillement extrême des décors et des costumes [...], et cette frontalité toujours impressionnante du cadre qui parie sur la matérialité des corps et des voix des acteurs pour donner vie à chacun des éléments du plan.
Sud Ouest
Un film qui surprend et ravit.
Transfuge
Attarabi et Mikelats recèle ainsi des éclats de beauté pure en jouant le chemin exigeant de l’élévation durable de l’âme contre les exultations faciles et éphémères du corps, tout en nous offrant les plaisirs enfantins du conte et en nous instruisant sur une mythologie et une culture méconnues.
Cahiers du Cinéma
Tour à tour bon et mauvais, naïf et acerbe, insupportable et déchirant, fuyant et tenu, on ne sait trop que faire de ce film qui s'écrase dans ses lignes brisées, pour déboucher sur une fin liturgique bouleversante. Atarrabi et Mikelats relève littéralement de l'aberration. Et c'est sans doute par cette monstruosité-là qu'il nous regarder dans tout son dénuement et parvient malgré tout à nous toucher.
Télérama
C’est un peu filandreux parfois, mais assurément très original.
Première
Le bonheur enfantin d’un Rohmer filmant Les Amours d’Astrée et de Céladon fait ici cruellement défaut.