Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Ouest France
par Sylvestre Picard
Du ciné d'exploitation autour d'une idée très forte : la terreur de s'occuper de ses vieux à la fin de leur vie.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Abuela » privilégie une atmosphère angoissante plutôt que des effets gores pour faire frissonner le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Paco Plaza refuse les effets de surprise faciles pour explorer l'inéluctabilité de la vieillesse et nous confronter à une terreur universelle, qu'on choisit souvent d'ignorer.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Théodore Anglio-Longre
C'est peut-être en retournant dans les fondements de son genre de prédilection que Paco Plaza signe son oeuvre la plus aboutie, faire peur est avant tout un choix, celui de ne pas tout montrer.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Un film fort, perturbant, qu’il n’est pas conseillé de voir… avec sa grand-mère.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Ce récit sur la fin de vie bluffe par la précision de sa mise en scène et l’interprétation habitée de Vera Valdez, 86 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Paco Plaza, en virtuose des effets de terreur, construit avec économie et savoir-faire les conditions d’un dérèglement qui prend place dans un décor quasi unique, un appartement bourgeois, dont chaque pièce, chaque porte, chaque couloir semble contenir une menace voilée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Plaza nous prend régulièrement à rebrousse-poil, jouant abondamment du contraste entre la jeune femme top-modèle au physique sublime et sa mamie décatie, interprétée par Vera Valdez, Brésilienne qui a été mannequin chez Chanel dans les années 1950 et 1960 !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Plaza mélange épouvante et thriller psychologique, et provoque des étincelles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Abuela initie un conte sur le désir de jeunesse éternelle, motif connu du cinéma d’épouvante. Sans dévier de ce commentaire, le film se double d’un regard aussi déchirant qu’effrayant sur la dégénérescence d’un corps et la douleur de ne plus reconnaître un être proche.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Vincent Malausa
Peu de films, ces dernières années, auront su allier avec une telle efficacité vertus réconfortantes du genre et inquiétude lancinante, bonne vieille trouille et visions d'une radicale et mortifère étrangeté.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Spécialiste du genre, Paco Plaza réserve une nouvelle fois une sacrée dose de frissons.
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Levaufre
Contrairement aux cinéastes standard qui veulent toujours accentuer l’impression de vie, Plaza, le réalisateur de Rec, ne fuit pas le plan fixe. C’est qu’il veut montrer la vie saisie par la mort : le désir d’être une image, l’existence intégralement planifiée, encadrée par une volonté désincarnée.
Positif
par Philippe Rouyer
Grâce aussi au jeu des deux comédiennes, l’amateur de sensations fortes sera contenté.
Première
par Sylvestre Picard
Filmer deux élégantes jeunes femmes nues dans un appartement sans tomber dans les travers les plus racoleurs du male gaze est un des exploits qu’Abuela accomplit haut la main.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Loin de vouloir révolutionner le cinéma fantastique, Abuela en revisite avec soin le pouvoir de fascination.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Quand une grand-mère atteinte d’une hémorragie cérébrale persécute sa petite-fille, cela donne une récit haletant mais parfois confus.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le postulat est prometteur – la jeunesse et la beauté face à la vieillesse et la décrépitude dans un thriller en huis clos –, le film, décourageant, l’indiscutable sens de la mise en scène de Paco Plaza croulant sous un scénario poussif et sans intérêt.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Camille Nevers
Malgré les qualités de mise en scène, d’ubiquité captive, on a vite fait le tour du propriétaire, on cherche dans le tapis une image plus sépulcrale, il n’y a pas de double-fond thématique : variation trop claire autour de la peur de vieillir comme de la répulsion face au naufrage, aux stigmates de la maladie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Du ciné d'exploitation autour d'une idée très forte : la terreur de s'occuper de ses vieux à la fin de leur vie.
20 Minutes
« Abuela » privilégie une atmosphère angoissante plutôt que des effets gores pour faire frissonner le spectateur.
Ecran Large
Paco Plaza refuse les effets de surprise faciles pour explorer l'inéluctabilité de la vieillesse et nous confronter à une terreur universelle, qu'on choisit souvent d'ignorer.
L'Ecran Fantastique
C'est peut-être en retournant dans les fondements de son genre de prédilection que Paco Plaza signe son oeuvre la plus aboutie, faire peur est avant tout un choix, celui de ne pas tout montrer.
Le Figaro
Un film fort, perturbant, qu’il n’est pas conseillé de voir… avec sa grand-mère.
Le Journal du Dimanche
Ce récit sur la fin de vie bluffe par la précision de sa mise en scène et l’interprétation habitée de Vera Valdez, 86 ans.
Le Monde
Paco Plaza, en virtuose des effets de terreur, construit avec économie et savoir-faire les conditions d’un dérèglement qui prend place dans un décor quasi unique, un appartement bourgeois, dont chaque pièce, chaque porte, chaque couloir semble contenir une menace voilée.
Le Parisien
Plaza nous prend régulièrement à rebrousse-poil, jouant abondamment du contraste entre la jeune femme top-modèle au physique sublime et sa mamie décatie, interprétée par Vera Valdez, Brésilienne qui a été mannequin chez Chanel dans les années 1950 et 1960 !
Les Fiches du Cinéma
Plaza mélange épouvante et thriller psychologique, et provoque des étincelles.
Les Inrockuptibles
Abuela initie un conte sur le désir de jeunesse éternelle, motif connu du cinéma d’épouvante. Sans dévier de ce commentaire, le film se double d’un regard aussi déchirant qu’effrayant sur la dégénérescence d’un corps et la douleur de ne plus reconnaître un être proche.
Mad Movies
Peu de films, ces dernières années, auront su allier avec une telle efficacité vertus réconfortantes du genre et inquiétude lancinante, bonne vieille trouille et visions d'une radicale et mortifère étrangeté.
Télé Loisirs
Spécialiste du genre, Paco Plaza réserve une nouvelle fois une sacrée dose de frissons.
Cahiers du Cinéma
Contrairement aux cinéastes standard qui veulent toujours accentuer l’impression de vie, Plaza, le réalisateur de Rec, ne fuit pas le plan fixe. C’est qu’il veut montrer la vie saisie par la mort : le désir d’être une image, l’existence intégralement planifiée, encadrée par une volonté désincarnée.
Positif
Grâce aussi au jeu des deux comédiennes, l’amateur de sensations fortes sera contenté.
Première
Filmer deux élégantes jeunes femmes nues dans un appartement sans tomber dans les travers les plus racoleurs du male gaze est un des exploits qu’Abuela accomplit haut la main.
Télérama
Loin de vouloir révolutionner le cinéma fantastique, Abuela en revisite avec soin le pouvoir de fascination.
aVoir-aLire.com
Quand une grand-mère atteinte d’une hémorragie cérébrale persécute sa petite-fille, cela donne une récit haletant mais parfois confus.
L'Obs
Le postulat est prometteur – la jeunesse et la beauté face à la vieillesse et la décrépitude dans un thriller en huis clos –, le film, décourageant, l’indiscutable sens de la mise en scène de Paco Plaza croulant sous un scénario poussif et sans intérêt.
Libération
Malgré les qualités de mise en scène, d’ubiquité captive, on a vite fait le tour du propriétaire, on cherche dans le tapis une image plus sépulcrale, il n’y a pas de double-fond thématique : variation trop claire autour de la peur de vieillir comme de la répulsion face au naufrage, aux stigmates de la maladie.