Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Ouest France
par Cédric Page
L'atmosphère, entre giallo italien et le Chabrol des années 1970, envoûte franchement.
20 Minutes
par Caroline Vié
Jamais Benoît Poelvoorde n’avait été aussi tragiquement bouleversant que dans Inexorable.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par O.C.
Ce thriller tourné en 16 mm assume le côté prévisible de son histoire pour tisser sa toile flippante. Vous n'en sortirez pas indemne, c'est inexorable.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Deux ans après « Adoration », le Belge Fabrice du Welz retrouve le Belge Benoît Poelvoorde, qui livre l’un de ses plus beaux rôles dramatiques. Un récit étouffant, qu’il habite d’une rare puissance d’expression.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Un thriller psychologique aussi beau que méchant et d'une sincérité aussi rare que précieuse. Ou la preuve qu'un bon film, c'est tout simplement l'alliage d'un bon scénario, d'une esthétique travaillée et de comédiens impliqués.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Bien ficelé, intriguant et mystérieux, Inexorable fonctionne comme une petite horloge bien huilée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Nathanaël Bentura
Fabrice Du Welz a un incontestable talent pour filmer les marginaux, les personnes étranges. Surtout, il sait parfaitement instiller le malaise par petites touches, juste ce qu'il faut pour instaurer une inquiétante étrangeté dans son cadre, et la faire grandir à mesure que le film avance, pour arriver vers une horreur plus frontale.
L'Humanité
par Gregory Marin
Inexorable porte bien son nom : jusqu’au dénouement, le spectateur ne peut s’extraire de ce huis clos étouffant qui rappelle par moments la Main sur le berceau.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
On retrouve la cruauté calme d’« Alleluia » (2014) et l’ambiance empoisonnée de « Message from the King » (2016). Enthousiasmant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Noémie Luciani
Magie étrange que cet amour que le film nous offre par la finesse de l’écriture chorale (Du Welz, Joséphine Darcy Hopkins, Aurélien Molas), la mélancolie douce du 35 mm, Alba Gaïa Bellugi habitée si intensément qu’on croit voir son cœur battre au-dessus de sa peau, sa fièvre lui pourprer les lèvres.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Du Welz instaure un climat habilement étouffant, une tension déstabilisante jusqu’au malaise : la grande maison bourgeoise d’ Inexorable a des airs de château hanté qui prend ses protagonistes au piège et les enferme. Il faut toujours se méfier du bonheur.
Le Parisien
par La Rédaction
(...) la bonne idée du réalisateur ayant été d’aller chercher un Benoît Poelvoorde utilisé ici en mode 0 % comique et 100 % ambigu, puis carrément inquiétant. Un comédien belge poussé dans ses retranchements, nu à un moment, violent à un autre, probablement dans un des rôles les plus intenses de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
À travers une banale histoire de vengeance chabrolienne, Fabrice du Welz parvient à échafauder un suspense sur toile de fond littéraire, uniquement par la puissance d’une mise en scène atmosphérique et l’interprétation habitée d’Alba Gaïa Bellugi.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Cédric Delelée
Loin de sombrer dans le grand guignol, le film s'affiche comme une production modeste, fruit du travail d'un artisan en pleine possession de ses moyens mais jamais assagi, toujours malpoli et prompt à faire surgir la poésie au détour d'une idée de mise en scène, d'un regard ou d'un instant suspendu.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Une ambiance hitchcockienne qui vient d'inviter dans ce trio infernal, dans lequel on prend plaisir à retrouver Mélanie Doutey, pour chambouler un confort trop soyeux.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Habitué des réalisations chocs, Fabrice Du Welz signe ce suspense éprouvant à la mise en scène très travaillée, qui tourne peu à peu au cauchemar sanglant.
Voici
par L.S.
A partir d'une trame vraiment éculée, Fabrice du Welz construit un thriller sur l'imposture à la tension palpable.
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
Il faut se laisser porter par la mélancolie, l’énergie du désespoir d’"Inexorable" pour en apprécier pleinement les qualités, l’incandescence, cette manière de montrer des failles que le vernis social tente de recouvrir, de contenir, cette mise à nu de blessures que ni le temps ni les apparences ne peuvent guérir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré une intrigue très balisée, le film est captivant, grâce à la photographie et au travail sur le son qui entretiennent le malaise.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le thriller de Fabrice du Welz est porté par l’interprétation puissante de Benoît Poelvoorde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Sur le thème sans surprise de l'inconnu dans la maison, Fabrice Du Welz continue d'explorer la face la plus sombre de Benoît Poelvoorde.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Fabien Baumann
Quoi de plus convenu qu’un spectacle d’enfants pour goûter d’anniversaire ? En une minute, Fabrice du Welz fait déraper le somnolent poncif vers la subversion, la performance, la profession de foi, en un moment de cinéma exceptionnel. On ne saurait négliger un cinéaste capable de telles audaces, quand bien même cet Inexorable traîne derrière lui un chapelet de bringuebalants clichés.
Première
par Frédéric Foubert
Les comédiens sont tous très investis, à commencer par un Benoît Poelvoorde des grands jours, tour à tour touchant, ambigu et pathétique, qui emmène le film bien au-delà du simple exercice de style.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Un thriller dérangeant qui remue en rappelant que les fantômes du passé ne sont jamais loin.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Mais Fabrice du Welz a la main lourde en la matière. (…) Inexorable n’est pas dénué d’idées de mise en scène, mais elles sont toutes du même tonneau : appuyées et scolaires.
Paris Match
par Yannick Vely
Malgré ses indéniables qualités esthétiques (la photo de Manuel Dacosse est à tomber), « Inexorable » ne convainc pas, trop plombé par sa psychologie de mauvais roman de gare.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Intrigant, sans aucun doute, à défaut d’être captivant, malgré une interprétation fiévreuse.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Ce thriller soi-disant horrifique sombre vite dans le ridicule et ne réserve pas la moindre surprise. Même Poelvoorde a l'air de s'ennuyer. Et nous donc.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le cinéma de genre est un art difficile qui nécessite à la fois une mécanique irréprochable et des personnages authentiques. La menace qui rôde ne suffit pas si les motivations ne sont pas d’une absolue rigueur, et le film de Fabrice Du Welz s’en remet un peu trop à la coquille sans se soucier du fond.
Télérama
par Mathilde Blottière
Imposture et fatum, ce thriller psychologique écœurant repasse avec ses gros sabots sur des sentiers déjà mille fois empruntés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
L'atmosphère, entre giallo italien et le Chabrol des années 1970, envoûte franchement.
20 Minutes
Jamais Benoît Poelvoorde n’avait été aussi tragiquement bouleversant que dans Inexorable.
Closer
Ce thriller tourné en 16 mm assume le côté prévisible de son histoire pour tisser sa toile flippante. Vous n'en sortirez pas indemne, c'est inexorable.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Deux ans après « Adoration », le Belge Fabrice du Welz retrouve le Belge Benoît Poelvoorde, qui livre l’un de ses plus beaux rôles dramatiques. Un récit étouffant, qu’il habite d’une rare puissance d’expression.
Ecran Large
Un thriller psychologique aussi beau que méchant et d'une sincérité aussi rare que précieuse. Ou la preuve qu'un bon film, c'est tout simplement l'alliage d'un bon scénario, d'une esthétique travaillée et de comédiens impliqués.
Franceinfo Culture
Bien ficelé, intriguant et mystérieux, Inexorable fonctionne comme une petite horloge bien huilée.
L'Ecran Fantastique
Fabrice Du Welz a un incontestable talent pour filmer les marginaux, les personnes étranges. Surtout, il sait parfaitement instiller le malaise par petites touches, juste ce qu'il faut pour instaurer une inquiétante étrangeté dans son cadre, et la faire grandir à mesure que le film avance, pour arriver vers une horreur plus frontale.
L'Humanité
Inexorable porte bien son nom : jusqu’au dénouement, le spectateur ne peut s’extraire de ce huis clos étouffant qui rappelle par moments la Main sur le berceau.
L'Obs
On retrouve la cruauté calme d’« Alleluia » (2014) et l’ambiance empoisonnée de « Message from the King » (2016). Enthousiasmant.
La Septième Obsession
Magie étrange que cet amour que le film nous offre par la finesse de l’écriture chorale (Du Welz, Joséphine Darcy Hopkins, Aurélien Molas), la mélancolie douce du 35 mm, Alba Gaïa Bellugi habitée si intensément qu’on croit voir son cœur battre au-dessus de sa peau, sa fièvre lui pourprer les lèvres.
Le Dauphiné Libéré
Du Welz instaure un climat habilement étouffant, une tension déstabilisante jusqu’au malaise : la grande maison bourgeoise d’ Inexorable a des airs de château hanté qui prend ses protagonistes au piège et les enferme. Il faut toujours se méfier du bonheur.
Le Parisien
(...) la bonne idée du réalisateur ayant été d’aller chercher un Benoît Poelvoorde utilisé ici en mode 0 % comique et 100 % ambigu, puis carrément inquiétant. Un comédien belge poussé dans ses retranchements, nu à un moment, violent à un autre, probablement dans un des rôles les plus intenses de sa carrière.
Les Fiches du Cinéma
À travers une banale histoire de vengeance chabrolienne, Fabrice du Welz parvient à échafauder un suspense sur toile de fond littéraire, uniquement par la puissance d’une mise en scène atmosphérique et l’interprétation habitée d’Alba Gaïa Bellugi.
Mad Movies
Loin de sombrer dans le grand guignol, le film s'affiche comme une production modeste, fruit du travail d'un artisan en pleine possession de ses moyens mais jamais assagi, toujours malpoli et prompt à faire surgir la poésie au détour d'une idée de mise en scène, d'un regard ou d'un instant suspendu.
Public
Une ambiance hitchcockienne qui vient d'inviter dans ce trio infernal, dans lequel on prend plaisir à retrouver Mélanie Doutey, pour chambouler un confort trop soyeux.
Télé Loisirs
Habitué des réalisations chocs, Fabrice Du Welz signe ce suspense éprouvant à la mise en scène très travaillée, qui tourne peu à peu au cauchemar sanglant.
Voici
A partir d'une trame vraiment éculée, Fabrice du Welz construit un thriller sur l'imposture à la tension palpable.
Culturopoing.com
Il faut se laisser porter par la mélancolie, l’énergie du désespoir d’"Inexorable" pour en apprécier pleinement les qualités, l’incandescence, cette manière de montrer des failles que le vernis social tente de recouvrir, de contenir, cette mise à nu de blessures que ni le temps ni les apparences ne peuvent guérir.
Le Journal du Dimanche
Malgré une intrigue très balisée, le film est captivant, grâce à la photographie et au travail sur le son qui entretiennent le malaise.
Le Monde
Le thriller de Fabrice du Welz est porté par l’interprétation puissante de Benoît Poelvoorde.
Les Echos
Sur le thème sans surprise de l'inconnu dans la maison, Fabrice Du Welz continue d'explorer la face la plus sombre de Benoît Poelvoorde.
Positif
Quoi de plus convenu qu’un spectacle d’enfants pour goûter d’anniversaire ? En une minute, Fabrice du Welz fait déraper le somnolent poncif vers la subversion, la performance, la profession de foi, en un moment de cinéma exceptionnel. On ne saurait négliger un cinéaste capable de telles audaces, quand bien même cet Inexorable traîne derrière lui un chapelet de bringuebalants clichés.
Première
Les comédiens sont tous très investis, à commencer par un Benoît Poelvoorde des grands jours, tour à tour touchant, ambigu et pathétique, qui emmène le film bien au-delà du simple exercice de style.
aVoir-aLire.com
Un thriller dérangeant qui remue en rappelant que les fantômes du passé ne sont jamais loin.
Cahiers du Cinéma
Mais Fabrice du Welz a la main lourde en la matière. (…) Inexorable n’est pas dénué d’idées de mise en scène, mais elles sont toutes du même tonneau : appuyées et scolaires.
Paris Match
Malgré ses indéniables qualités esthétiques (la photo de Manuel Dacosse est à tomber), « Inexorable » ne convainc pas, trop plombé par sa psychologie de mauvais roman de gare.
Télé 7 Jours
Intrigant, sans aucun doute, à défaut d’être captivant, malgré une interprétation fiévreuse.
Le Figaro
Ce thriller soi-disant horrifique sombre vite dans le ridicule et ne réserve pas la moindre surprise. Même Poelvoorde a l'air de s'ennuyer. Et nous donc.
Sud Ouest
Le cinéma de genre est un art difficile qui nécessite à la fois une mécanique irréprochable et des personnages authentiques. La menace qui rôde ne suffit pas si les motivations ne sont pas d’une absolue rigueur, et le film de Fabrice Du Welz s’en remet un peu trop à la coquille sans se soucier du fond.
Télérama
Imposture et fatum, ce thriller psychologique écœurant repasse avec ses gros sabots sur des sentiers déjà mille fois empruntés.