Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
A force de lorgner vers différents genres sans jamais vraiment imposer son choix, le film perd aussi en crédibilité. On se demande alors quelles sont les motivations de chacun, et les sentiments ténus qui liaient si bien jusqu'ici les personnages finissent par s'essouffler.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Comme les meilleurs chocolats noirs, qui révèlent aux papilles des saveurs inexplorées, on trouve un vrai plaisir à l'amertume de La fille de son père. Les comédiens se faufilent dans l'histoire avec habileté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le film tend vers le romanesque mais ne le nourrit pas. Il y a un nœud dramatique mais pas d'histoire, si bien que le film génère au final une certaine indifférence.
La critique complète est disponible sur le site Aden
On décèle dans ce film tous les stigmates du conformisme français du moment : obligation de tragédie, vision dépressive de la vie en province, incapacité de sortir les acteurs de leurs emplois (Natacha Régnier encore une fois reléguée aux marges de la société).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Un point de départ assez singulier mais qui se fige très vite en une fastidieuse mécanique scénaristique. Reste la prestation des acteurs et le plaisir de revoir Fanny Cottençon.
(...) le cinéaste a concocté un mélo vaguement hitchcockien, englué de musique symphonique et de scènes décoratives. Seul Claude Chabrol pouvait traiter un tel sujet avec l'étrangeté et la sobriété indispensables.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ce film cumule deux problèmes de taille. D'une part, on ne comprend pas du tout les motivations du héros (...) Ensuite, le film n'offre pas de montée de tension propre à ce genre de thématique : pas de schizophrénie du menteur, pas de piège tendu, (...) Nous enchaînons scènes grises et personnages ternes.
Chronic'art.com
A force de lorgner vers différents genres sans jamais vraiment imposer son choix, le film perd aussi en crédibilité. On se demande alors quelles sont les motivations de chacun, et les sentiments ténus qui liaient si bien jusqu'ici les personnages finissent par s'essouffler.
L'Obs
Malgré des rebondissements à tiroirs, le film convainc par sa mise en scène à la fois rigoureuse et délirante et grâce à un casting irréprochable.
Le Parisien
Comme les meilleurs chocolats noirs, qui révèlent aux papilles des saveurs inexplorées, on trouve un vrai plaisir à l'amertume de La fille de son père. Les comédiens se faufilent dans l'histoire avec habileté.
Aden
Le film tend vers le romanesque mais ne le nourrit pas. Il y a un nœud dramatique mais pas d'histoire, si bien que le film génère au final une certaine indifférence.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
On décèle dans ce film tous les stigmates du conformisme français du moment : obligation de tragédie, vision dépressive de la vie en province, incapacité de sortir les acteurs de leurs emplois (Natacha Régnier encore une fois reléguée aux marges de la société).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
Trop sage, la mise en scène joue la transparence. (...) L'auteur traite à l'économie la lâcheté et le mensonge des pères.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Jacques Deschamps gâche une bonne idée avec une intrigue mécanique.
Zurban
Un point de départ assez singulier mais qui se fige très vite en une fastidieuse mécanique scénaristique. Reste la prestation des acteurs et le plaisir de revoir Fanny Cottençon.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
(...) le cinéaste a concocté un mélo vaguement hitchcockien, englué de musique symphonique et de scènes décoratives. Seul Claude Chabrol pouvait traiter un tel sujet avec l'étrangeté et la sobriété indispensables.
Les Inrockuptibles
En fait, ce film illustre un simple fantasme mal assumé, avec une mise en scène pompeuse (...)
MCinéma.com
Ce film cumule deux problèmes de taille. D'une part, on ne comprend pas du tout les motivations du héros (...) Ensuite, le film n'offre pas de montée de tension propre à ce genre de thématique : pas de schizophrénie du menteur, pas de piège tendu, (...) Nous enchaînons scènes grises et personnages ternes.
Première
(...) le film hésite entre plusieurs identités, sans en choisir aucune, ni polar, ni chronique familiale, ni histoire d'amour.