Mon compte
    Novecento (1900)
    Note moyenne
    4,0
    1011 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Novecento (1900) ?

    111 critiques spectateurs

    5
    45 critiques
    4
    33 critiques
    3
    16 critiques
    2
    8 critiques
    1
    6 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 août 2020
    Un pur chef-d'œuvre, on y trouve tout, politique, amitié, violence, romance, esthétique. Une saga qui traverse le siècle, jouée par des acteurs monumentaux.
    Estonius
    Estonius

    3 474 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 avril 2020
    Ce long film souffre de deux défaut majeurs, d'abord sa longueur, on sent la volonté du réalisateur de vouloir absolument faire long, même quand cela ne se justifie pas, d’où certaines séquences étirées parfois jusqu'à l'absurde notamment dans spoiler: la toute dernière partie,
    comme si la répétition valait mieux que la concision. La seconde est d'ordre historique et idéologique, Bertolucci a le droit de penser ce qu'il veut, mais, même si on peut le déplorer, le spoiler: fascisme fut aussi un mouvement de masse en Italie, et très implanté dans les classes populaires, par ailleurs sa vision angélique de la lutte des classes peut faire sourire, (on se croirait chez Dovjenko) mais le sourire devient jaune quand ça tourne au léninisme radical (un propriétaire est un adversaire par définition, la justice est expéditive).
    Malgré ces casseroles de taille, le film est attachant car, à l'exception de la dernière demi-heure, le film nous montre autre chose, des tas d'autres choses, au début spoiler: c'est un film sur l'enfance
    et c'est réalisé en finesse sans aucune mièvrerie, il y a des scènes très fortes, et à ce propos Sutherland assume parfaitement le rôle ingrat qui lui est attribué, de même que sa maîtresse, (comme disait Hitchcock quand le méchant est réussi, le film l'est aussi), la terreur, la lâcheté et l'idiotie fasciste sont montrés sans fard dans au moins quatre scènes chocs, et puis comment passer sous silence cette scène fabuleuse où Stefania Casini spoiler: dans le rôle d'une gentille ribaude prodigue une branlounette simultanée à DeNiro et Depardieu, f
    açon pour le réal de dire, je montre ce que je veux, quand je veux. Et puis il y a Dominique Sanda qui a rarement été aussi belle et aussi impliquée par un rôle. Et puis Lancaster, Hayden, ils sont tous impeccables. La mise en scène est soignée et parfois inventive, même baroque, la musique de Moriconne est bien placée et se garde d'être envahissante. Et puis cette histoire d'amitié entre Dapardieu et DeNiro sur l'air de spoiler: " je t'aime, moi non plus est passionnante"
    . Quand ou vous dit qu'il y a plein de bonnes choses, alors oublions la dernière demi-heure, oublions spoiler: le filigrane marxiste
    et laissons-nous conquérir par cette épopée hors norme.
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2020
    *1900* n’est pas qu’un simple film merveilleux signé du grandiose Bernardo Bertolucci. Non, *1900* est aussi et surtout une grande contemplation de l’Italie du début du XXème siècle. Une époque où les pensées se confrontent et où passé et progrès s’affrontent ! *1900* parle d’une Italie sombre et authentique, qui voit son identité se jumeler à travers une Europe entière à l’aube du totalitarisme de masse et des grandes guerres. Bertolucci embrasse cette époque à travers une fresque monumentale et passionnante de 5 heures retraçant l’amitié de deux hommes, qui vont s’avérer devenir comme de véritable acteurs de cette époque charnière.

    Olmo Dalco (Gérard Depardieu) est fils de paysan. Toute sa grande famille travaille sur le domaine des riches propriétaires Berlinghieri. Olmo est un garçon dur et débrouillard, mais cela ne l'empêche de se lier d'amitié avec le fils de ses exploitants : Alfredo Berlinghieri (Robert De Niro). Les deux garçons vont vivre une grande histoire d'amitiés à partir de leurs jeunesses jusqu'aux ages les plus avancés, et tout cela malgré leurs statuts sociales différents, les guerres à répétition et une Italie voyant son identité majoritaire sombrer dans le fascisme. Leurs fougue et leurs amour fraternel vont les conduire à s'aimer coûte que coûte malgré les pensées qui divergent.

    Les classes sociales commencent à prendre conscience de leurs statut. Les paysans ne sont plus de simples exploités minoritaires mais deviennent une véritable masse dont la force insoupçonnée jusqu'alors peut s’avérer bénéfique pour sortir d'une certaines misère pesante. Mais c'est une confrontation douloureuse à laquelle doivent faire face les agriculteurs qui ont toujours comptés sur l'agilité de leurs mains et la force de leurs bras : le progrès s'invite dans les campagnes italienne ! Les propriétaires veulent remplacer les hommes par les machines. Ceux-ci qui ont alors toujours vécu de la terre sont tout proche de se retrouver à la marge. Les révoltes s'intensifient et les répressions augmentent. L'émergence du communisme connait la douleur face à celle grandissante du fascisme incarné par un véritable proche sanguinaire du père Berlinghieri : Attila Mellanchini (Donald Sutherland).

    Olmo et Alfredo assistent à cette véritable transformation d'une Italie quittant le passé pour s'ouvrir à l'époque industrielle du XXème siècle. Mais les deux compères ne sont pas indemnes face à cette magistrale évolution historique. Olmo découvre le communisme et devient un porte-parole du droit des paysans. Alfredo quant à lui, est asphyxié par les sombres pensées émergentes au cœur du patronat. Voulant quitter le plus rapidement possible cette réalité grandissante, Alfredo privilégie la fuite des idées néfaste de son père et de son entourage au profit d'une vie aux côtés d'artistes, de leurs libertés et leurs pensées socialistes. Ce qui est sûr, c'est qu'aucun de ne peut vraiment quitter sa classe sociale d'origine. Il est indéniable que si Alfredo fuit le fascisme ambiant, il ne n'en reste pas moins un futur propriétaire ! C'est dans ces contradictions politiques magistralement reconstituées que Olmo et Alfredo découvrent leurs futurs indéniablement imprégnés de leurs origines. Je retiendrai une scène représentant de manière très intéressante cette idée fondatrice de ce chef d'oeuvre de Bernardo Bertolucci : une scène du 2ème acte représentant Olmo se battant avec Attila, le tout avec Alfredo au milieu de ce combat acharné des idées. Une contradiction entre milieu social et idées profondes d'Alfredo qui pourraient lui coûter cher tant la situation est amenée à dégénérer les années à venir !

    Il n'est pas nouveau de dire que Bertolucci n'est pas un sain dans la question cinématographique (référence à la scène sulfureuse et problématique du *Dernier Tango à Paris* sorti en 1972). Dans son fort naturalisme, *1900* devient inévitablement une oeuvre violente tant son propos passionnant soit-il, est imprégné d'une identité sombre. Mais ici, les nombreuses scènes de sexes et de tueries marquent les caractéristiques sur les rapports entre les personnages. Rien n'est amenés par hasard et au cœur de cette grande reconstitution, Bernardo Bertolucci amène son sens de la poésie, de la provocation et de l'amour du cinéma lui-même. Sa mise en scène tant sa face magistrale est saisissante, embrasse de la manière la plus belle possible une époque fondatrice et profondément perdu de l'Italie ! Même si dans la grande majeure partie du film, le point de vue prend le côté des paysans et du communisme, Bertolucci n'oublie pas les dérives de cette pensée et ramène bien-sûr aux limites incassables qui feront sombrer une grande partie de l'Europe de l'est sous l'asphyxiante tutelle de l'URSS.

    Les mots ne sont pas assez grands pour parler de *1900* ! Bernardo Bertolucci signe une immense et passionnante fresque de 5 heures pour parler de l'Italie et de ses contradictions, aux débuts d'un XXème siècle mouvementé ! Pour donner encore plus d'ampleur et de personnification à ces idées, Bertolucci fait appel à une grande histoire d'amitié qui va traverser cette longue et douloureuse période. Une forte amitié entre Olmo et Alfredo, séparés par leurs statut et quelques fois par leurs idées, mais réuni dans la fougue et l'amour fraternel ! **Chef-d'oeuvre incontestable !**
    Jean H.
    Jean H.

    3 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 mai 2019
    revoir ce film 40 ans après il n'a pas pris une ride Depardieu est remarquable les images d'un esthétisme d'une force et parfois d'une violence surtout dans la seconde partie époustouflante à voir et revoir
    Ghighi19
    Ghighi19

    70 abonnés 1 877 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2019
    Découvert chez moi en une superbe édition Blue ray j ai un peu honte de voir pour la première fois un film dans ces conditions mais parfois ça permet de découvrir de grand film . C est le cas ici pour cette fresque humaine qui déborde dans tous les sens .
    Un plaisir gargantuesque de cinéma.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 632 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2019
    Et c’est parti pour un film gargantuesque ; 5 heures de cinéma pour balayer, à travers cette grande fresque, l’histoire italienne de la première moitié du XXème siècle ; d’où le titre. Condition paysanne, montée du fascisme et du communisme ; Bernardo Bertolucci livre sa version, quelquefois partisane, de ces 50 ans de folie européenne. Et pour incarner la Grande Histoire quoi de mieux que de passer par la petite histoire ; un fils de paysan et le fils du propriétaire terrien (le patron) naissent le même jour et deviennent des amis fidèles malgré leurs profondes différences de classe. Et Bertolucci nous montre leurs relations au prisme de l’évolution de la société italienne et des nouvelles revendications d’une classe ouvrière miséreuse et sur exploitée. Dans sa mise en place longuette, peu de signe de satisfaction ; pourtant friand de films au long court, celui-ci sera coupé en deux, l’ennui frappant à ma porte. Burt Lancaster sera de la première partie ; mais dès lors qu’entre en scène Depardieu, Sutherland (incarnant un rôle de chefaillon psychologiquement déséquilibré), Betti (la compagne de ce dernier à son image ; tous deux impressionnants), De Niro, Sanda ; le film retrouve du souffle. Ce souffle retrouvé s’explique en grande partie par la qualité de l’écriture des histoires humaines dont la belle histoire d’amitié impossible entre Depardieu et De Niro ; les deux enfants devenus adultes et rattrapés par leurs conditions sociales. Gargantuesque, et c’est ce qui m’a dérangé le plus, dans ce lyrisme dérapant bien trop souvent dans la grandiloquence : les gros plans appuyés, la musique puissante et omniprésente souvent surprenante, un jeu théâtral, des intentions manquant de finesse,… Même si souvent léché avec des mouvements de caméras souples et des plans très picturaux ; la mise en scène est tapageuse. Adepte de films épiques, celui-là, que j’attendais de voir depuis longtemps ne restera pas dans ma mémoire… à part quelques scènes d’une cruauté sans nom dont celle de l’enfant massacré dans un grenier, une horreur totale.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Simplicissimus
    Simplicissimus

    10 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2019
    Peut-on dire que "1900" ne nous a pas convaincu?
    Non pas la fresque de grande ampleur avec le duo Robert de Niro - Gérard Depardieu,aux tableaux magnifiques,esthétiquement superbe,mais le pénible exercice de style marxiste du film,sur fond de lutte des classes,qui apparente le film de Bertolucci à une oeuvre de pure propagande.
    Et rien ne nous sera épargné des turpitudes d'aristocrates et de fascistes forcément pervers et tarés(le personnage caricatural et monstrueux de Donald Sutherland),qui s'opposent aux figures pures et saines du peuple..
    marmottefurieuse
    marmottefurieuse

    10 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2019
    Un bon film remarquable de par son casting mais surtout pour sa durée de plus de cinq heures. Bertolucci brosse ici une partie de la vie politique et sociale (la lutte des classes, le communisme et le fascisme) de l'Italie rurale (région Emilie-Romagne) du début du vingtième siècle. C'est surtout l'histoire de l'amitié entre deux individus, l'un, Alfredo (incarné par un excellent Robert De Niro), propriétaire terrien qui a hérité de son père et l'autre, Olmo incarné par un impeccable Gérard Depardieu, fils de paysan qui résistera malgré toutes les différences. Un film qui ne laisse pas indifférent même si il y a de nombreuses longueurs qui viennent quelque peu appesantir le récit. A voir au moins une fois.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    108 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    Chef-d’œuvre mésestimé du cinéma italien et mondial, film monumental à l’ambition démesurée, fresque épique et éminemment politique retraçant un demi-siècle de l’histoire de l’Italie, tableau d’une beauté saisissante sur la vie, les mœurs et les traditions des paysans d’Émilie-Romagne au début du siècle dernier, production hollywoodienne au fort parfum communiste, (très) long-métrage au casting démentiel, œuvre nostalgique sur l’amitié, le temps qui passe et les utopies perdues,... 1900 (Novecento) est tout cela à la fois. Réalisé par Bernardo Bertolucci au milieu des années 70 dans la foulée du succès du Dernier tango à Paris, ce film aux mille paradoxes semble à la fois intemporel, de par les thèmes qu’il développe et le panorama qu’il dresse sur la campagne et les paysans, et à la fois très ancré dans son temps, de par sa grande politisation, son engagement pro-communiste et son incroyable liberté de ton – plusieurs séquences sont sexuellement explicites. Remarquablement mis en scène par un cinéaste au sommet de son art (et de sa mégalomanie), magnifiquement mis en lumière par un Vittorio Storario qui s’apprêtait à travailler sur Apocalypse now de Francis Ford Coppola, bénéficiant de décors naturels somptueux, Novecento est porté par des acteurs étourdissants de fougue, de folie et de passion : Gérard Depardieu, Robert De Niro, Dominique Sanda, Donald Sutherland, Burt Lancaster, Sterling Hayden, Laura Betti, Stefania Sandrelli, Romolo Valli, Alida Valli, Maria Monti,... Extraordinaire de bouillonnement et d’exaltation.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 196 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2019
    Je suis loin d’avoir été conquis. Effectivement quelques passages sont amples et passionnés dans leur contexte politique mais les petites histoires n’ont pas la force d’un Leone qui brossait le portrait de l’Amérique.
    La longueur du film n’aide pas non plus.
    J’ai pensé dans toute la première partie à Cuore de Comencini qui faisait aussi un portrait des enfants paysans mais avec tellement plus d’émotion. Mais ici quand les enfants grandissent je les trouve peu intéressants.
    Bref déçu dans l’ensemble.
    Prométhée
    Prométhée

    4 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2018
    Si Bertolucci fait preuve d'une grande maitrise technique, dans ses plans, ses cadrages, ses mouvements de caméra, le propos d'une fresque historique sur la naissance de la conscience prolétarienne et du fascisme en Italie est terriblement naïf et manichéen. Le jeu des acteurs difficilement appréciable du fait des doublages pour les différents comédiens ne facilite pas l'identification aux personnages.

    12/18
    Le blat 0
    Le blat 0

    3 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 décembre 2018
    Une grande fresque avec du souffle. Toutefois rien ne saurait justifier la maltraitance animale omniprésente dans le film. À gerber de ce point de vue là. Ça suffit. On est en rien supérieur quand on fait des saloperies aux animaux
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 décembre 2018
    Fresque politique et idéologique tout aussi somme que modèle, 1900 de Bernardo Bertolucci est un film d’une ambition folle. L’immensité de ce diptyque monumental ne réside pas uniquement dans sa durée (5h17). Le casting international convoqué, la narration filant sur près d’un demi-siècle, la réalisation impeccable, un tournage sur neuf mois embrassant les quatre saisons annuelles sont autant d’éléments qui nous poussent à considérer cette saga familiale comme l’un des plus grands films italiens des années 1970. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    pierrre s.
    pierrre s.

    441 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 janvier 2018
    1900 est une fresque démesurée et hautement ambitieuse, qui finalement tombe à plat. L'histoire a pourtant de quoi nous intéresser. Mais elle a tendance à faire dans le manichéisme, voir dans la propagande. Un film trop inégal, qui aurait gagné a être plus court (d'au moins une heure) et dont la violence constante n'apporte pas grand chose.
    Eselce
    Eselce

    1 420 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2018
    Oui, c'est long ! Une fresque historique retraçant la vie de deux hommes de leur naissance à l'âge adulte. L'un est né chez des propriétaires fortunés au début du siècle dernier lorsque le même jour naissait l'autre chez les paysans des propriétaires. Les deux vont se lier d'amitié. Nous suivons leurs parcours très liés avec pourtant une abstraction totale de la Première Guerre Mondiale. Déception. Beaucoup de scènes "crues" avec du sexe inutile, de l'abattage d'animaux et du meurtre. Les deux parties, propriétaires et paysans, vont se faire face peu à peu dans une lutte de l'un contre l'autre avec... Beaucoup d'attente ! En effet, il faut se taper plus des 3/4 du film pour avoir la suite de l'introduction. Alors, c'est plutôt bien joué, par quelques grands du cinéma et il faut oublier l'aspect la scène de l'enfant qui trait la vache et du papy le spoiler: qui fait sa demande de main dans la braguette !
    et replacer le tout dans le contexte de l'époque années 70 pour apprécier l'oeuvre aujourd'hui. Car il faut être honnête, c'est parfois limite ! La bataille de crottin, les frotti-frotta et les allusions sexuels de tous bords vont bon train à mesure que la pellicule se déroule ! Et pourquoi ? C'est gratuit !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top